L’histoire du football insulaire est remplie d’anecdotes pour ces rencontres face au Olympiens. ACA, SCB, GFCA, elles sont toutes ancrées dans la mémoire collective des supporters et de tous les observateurs qui se déplacent sans hésiter pour y assister. Celle de demain risque de nous valoir une bien belle empoignade à tous les sens du terme.
Au GFCA, la motivation est intacte, les joueurs attendent leurs adversaires de pied ferme et se sont entraînés toute la semaine avec cette volonté de bien faire qui leur colle à la peau.
Certes, au cours des dernières journées, ils ont manqué de cette hargne dans la finalité, pêchant souvent par manque de précision, sans parler d’erreurs individuelles sans lesquelles des points auraient pu alourdir le capital. Mais bon, le football est ainsi fait et il faut savoir l’accepter. Souvent ça se joue à pas grand-chose, c’est le moins que l’on puisse dire. On a pu le constater à Toulouse puis à Bordeaux samedi dernier avec un retour au premier plan, en fin de match.
Des petites erreurs qui comptent…
Thierry Laurey l’a encore répété mardi au terme d’une matinée de travail avec les joueurs : « Pour revenir sur le match de Toulouse, rebelote, on fait les mêmes constats. C’était un peu mieux en termes de respect des consignes, néanmoins, la petite erreur derrière nous fait perdre deux points ô combien précieux. C’est notre lot du moment. A partir de maintenant, nous n’allons plus jouer contre des équipes qui se trouvent dans notre environnement, j’espère qu’ils vont se lâcher un peu plus, et s’ils le font bien, cela peut amener de bonnes surprises. »
L’entraîneur du GFCA avoue volontiers que tous les jokers ont été joués ! En clair, tous les matches importants de ces dernières semaines ont été mal négociés. Cela ne fait pas l’ombre d’un doute. Les points pris sur les quatre derniers matches sont nettement insuffisants, il faut bien l’avouer, ce qui signifie qu’il va falloir aller les chercher ailleurs…Contre des équipes à priori meilleures ou mieux placées. Ce qui dérange le plus c’est de payer cash la moindre erreur. C’est en tout cas l’avis de Thierry Laurey :
« On n’est jamais à l’abri d’une erreur, mais nous en commettons pas mal en ce moment. Il est une période pas très lointaine où l’on avait une dépense d’énergie qui était supérieure la norme, et cela nous permettait rattraper certains coups. On s’aperçoit que lorsqu’on est moins bien physiquement ou moins bien en termes de concentration, on est vite dans le mur. C’est anormal de prendre autant de buts comme nous l’avons fait au cours de ces dernières semaines. »
Groupe plus étoffé
Pour ce qui est de l’effectif, Thierry Laurey pourra compter sur les suspendus qui ont purgé comme Rodéric Filippi.
Il disposera d’assez d’éléments pour composer une équipe à même de tenir la route. Thierry Laurey n’est pas inquiet pour autant dans la mesure où il sait pouvoir compter sur tous ses joueurs et leur motivation : « Les garçons donnent le meilleur d’eux mêmes, ils se battent avec courage et volonté d’aller de l’avant. La charnière centrale a fort bien fonctionné. Il faut bien rester dans notre match, moins s’énerver pour éviter des cartons. En clair, rester concentré. »
En revanche, l'entraîneur ajaccien, Thierry Laurey, sera toujours privé de Jérémie Bréchet et Grégory Pujol, blessés.
Marseille : sans Diarra
Touché à un genou, Lassana Diarra est incertain pour le déplacement en Corse. Dimanche contre Toulouse il est sorti à la pause, remplacé par Abdelaziz Barrada. Face au Gazélec, Michel devrait plutôt le remplacer par un autre récupérateur, Alayxis Romao dont ce sera le retour. Lundi, les titulaires face au TFC sont restés aux soins.
L'ambiance est lourde à l'OM après le 12e match de rang sans victoire au vélodrome en L1. Basile Boli, ambassadeur du club et conseiller du président, appelle à "un sursaut d'orgueil". Seul rayon de soleil, le jeune attaquant Antoine Rabillard (20 ans), qui vient de signer son premier contrat professionnel pour trois ans.
J.-F. V.
Au GFCA, la motivation est intacte, les joueurs attendent leurs adversaires de pied ferme et se sont entraînés toute la semaine avec cette volonté de bien faire qui leur colle à la peau.
Certes, au cours des dernières journées, ils ont manqué de cette hargne dans la finalité, pêchant souvent par manque de précision, sans parler d’erreurs individuelles sans lesquelles des points auraient pu alourdir le capital. Mais bon, le football est ainsi fait et il faut savoir l’accepter. Souvent ça se joue à pas grand-chose, c’est le moins que l’on puisse dire. On a pu le constater à Toulouse puis à Bordeaux samedi dernier avec un retour au premier plan, en fin de match.
Des petites erreurs qui comptent…
Thierry Laurey l’a encore répété mardi au terme d’une matinée de travail avec les joueurs : « Pour revenir sur le match de Toulouse, rebelote, on fait les mêmes constats. C’était un peu mieux en termes de respect des consignes, néanmoins, la petite erreur derrière nous fait perdre deux points ô combien précieux. C’est notre lot du moment. A partir de maintenant, nous n’allons plus jouer contre des équipes qui se trouvent dans notre environnement, j’espère qu’ils vont se lâcher un peu plus, et s’ils le font bien, cela peut amener de bonnes surprises. »
L’entraîneur du GFCA avoue volontiers que tous les jokers ont été joués ! En clair, tous les matches importants de ces dernières semaines ont été mal négociés. Cela ne fait pas l’ombre d’un doute. Les points pris sur les quatre derniers matches sont nettement insuffisants, il faut bien l’avouer, ce qui signifie qu’il va falloir aller les chercher ailleurs…Contre des équipes à priori meilleures ou mieux placées. Ce qui dérange le plus c’est de payer cash la moindre erreur. C’est en tout cas l’avis de Thierry Laurey :
« On n’est jamais à l’abri d’une erreur, mais nous en commettons pas mal en ce moment. Il est une période pas très lointaine où l’on avait une dépense d’énergie qui était supérieure la norme, et cela nous permettait rattraper certains coups. On s’aperçoit que lorsqu’on est moins bien physiquement ou moins bien en termes de concentration, on est vite dans le mur. C’est anormal de prendre autant de buts comme nous l’avons fait au cours de ces dernières semaines. »
Groupe plus étoffé
Pour ce qui est de l’effectif, Thierry Laurey pourra compter sur les suspendus qui ont purgé comme Rodéric Filippi.
Il disposera d’assez d’éléments pour composer une équipe à même de tenir la route. Thierry Laurey n’est pas inquiet pour autant dans la mesure où il sait pouvoir compter sur tous ses joueurs et leur motivation : « Les garçons donnent le meilleur d’eux mêmes, ils se battent avec courage et volonté d’aller de l’avant. La charnière centrale a fort bien fonctionné. Il faut bien rester dans notre match, moins s’énerver pour éviter des cartons. En clair, rester concentré. »
En revanche, l'entraîneur ajaccien, Thierry Laurey, sera toujours privé de Jérémie Bréchet et Grégory Pujol, blessés.
Marseille : sans Diarra
Touché à un genou, Lassana Diarra est incertain pour le déplacement en Corse. Dimanche contre Toulouse il est sorti à la pause, remplacé par Abdelaziz Barrada. Face au Gazélec, Michel devrait plutôt le remplacer par un autre récupérateur, Alayxis Romao dont ce sera le retour. Lundi, les titulaires face au TFC sont restés aux soins.
L'ambiance est lourde à l'OM après le 12e match de rang sans victoire au vélodrome en L1. Basile Boli, ambassadeur du club et conseiller du président, appelle à "un sursaut d'orgueil". Seul rayon de soleil, le jeune attaquant Antoine Rabillard (20 ans), qui vient de signer son premier contrat professionnel pour trois ans.
J.-F. V.