Le GFCA a connu des débuts laborieux dans ce championnat avec trois déplacements et une seule rencontre à domicile. Sa première sortie aurait pu tout aussi bien lui permettre de l’emporter mais il en a été autrement et pour la suite, exception faite du « raté » contre Angers, les rouge et bleu ont affronté des équipes de haut niveau technique. Malgré le fait qu’ils aient perdu à Lille juste avant la trêve, ils ont fourni dans le Nord une belle prestation, notamment en seconde période, ce qui pourrait laisser présager une éventuelle montée en puissance de l’équipe. L’adversaire monégasque présente, pour son standing, un bilan mitigé à l’heure actuelle, malgré un effectif que bon nombre d’entraîneurs de Ligue 1 aimeraient avoir à leur disposition. Il faudra pourtant se méfier de cet adversaire plusieurs fois touché dans son orgueil.
L’entraîneur ajaccien dispose de la quasi-totalité de son effectif et c’est une bonne nouvelle pour le moral des troupes. Certaines choses ont été revues et corrigées durant la trêve internationale, tant sur le plan physique que technique et le travail effectué tout au long de ces quinze jours pourrait, qui sait, apporter un peu de changement dans le comportement des joueurs.
L’entraîneur ajaccien dispose de la quasi-totalité de son effectif et c’est une bonne nouvelle pour le moral des troupes. Certaines choses ont été revues et corrigées durant la trêve internationale, tant sur le plan physique que technique et le travail effectué tout au long de ces quinze jours pourrait, qui sait, apporter un peu de changement dans le comportement des joueurs.
Pablo Martinez : vers le milieu de terrain ?
Parmi eux, Pablo Martinez, 26 ans, originaire de Nîmes. Il s’agit d’un solide gaillard qui vient de CFA 2. Il a rejoint le GFCA après un passage en national.
- Vous êtes un pur produit nîmois ?
- Tout à fait. Après ma formation au Nimes Olympique, je suis parti en Espagne, à Majorque plus précisément où j’ai passé deux années. Je suis revenu et suis resté six mois sans jouer puis j’ai signé une licence à Uzès Pont du Gard en championnat CFA 2 après quoi j’ai été enrôlé à Martigues où j’ai connu la montée en Nationale et je suis revenu à Uzès pour une saison en Nationale avant d’accepter l’offre du GFCA.
- Pourquoi ce choix ?
- Un bon choix que je ne regrette pas dans la mesure où j’ai trouvé chaussure à mon pied dans ce club qui ressemble à une grande famille au sein de laquelle je me sens bien. Le GFCA venait de redescendre de Ligue 2 et le discours des dirigeants m’a séduit, les valeurs du club correspondaient à l’idée que je me faisais de cette équipe. Le challenge aussi car le club voulait de nouveau accéder à la Ligue 2. Ma venue a également été liée à la réputation de ce club omnisports, je n’ai pas hésité une seconde lorsqu’il s’est agit de répondre.
- Début de saison difficile, ouverture à Mezzavia manquée, l’apprentissage de la Ligue 1 est difficile, la confiance demeure ?
- Bien sûr ! Nous avons une équipe compétitive, avec des « anciens » qui servent d’exemple et contribuent grandement à nous encourager, à forger notre expérience. Je pense que l’apprentissage du haut niveau est plus long que prévu à se manifester mais on garde confiance, on fait notre possible pour débloquer le compteur. Je ne m’inquiète pas outre mesure d’autant qu’aujourd’hui nous présentons une équipe complète dans toutes ses lignes face à une grosse cylindrée certes, mais il faut garder confiance et croire en nos chances. Nous devons une revanche à notre public…
J. F.
- Vous êtes un pur produit nîmois ?
- Tout à fait. Après ma formation au Nimes Olympique, je suis parti en Espagne, à Majorque plus précisément où j’ai passé deux années. Je suis revenu et suis resté six mois sans jouer puis j’ai signé une licence à Uzès Pont du Gard en championnat CFA 2 après quoi j’ai été enrôlé à Martigues où j’ai connu la montée en Nationale et je suis revenu à Uzès pour une saison en Nationale avant d’accepter l’offre du GFCA.
- Pourquoi ce choix ?
- Un bon choix que je ne regrette pas dans la mesure où j’ai trouvé chaussure à mon pied dans ce club qui ressemble à une grande famille au sein de laquelle je me sens bien. Le GFCA venait de redescendre de Ligue 2 et le discours des dirigeants m’a séduit, les valeurs du club correspondaient à l’idée que je me faisais de cette équipe. Le challenge aussi car le club voulait de nouveau accéder à la Ligue 2. Ma venue a également été liée à la réputation de ce club omnisports, je n’ai pas hésité une seconde lorsqu’il s’est agit de répondre.
- Début de saison difficile, ouverture à Mezzavia manquée, l’apprentissage de la Ligue 1 est difficile, la confiance demeure ?
- Bien sûr ! Nous avons une équipe compétitive, avec des « anciens » qui servent d’exemple et contribuent grandement à nous encourager, à forger notre expérience. Je pense que l’apprentissage du haut niveau est plus long que prévu à se manifester mais on garde confiance, on fait notre possible pour débloquer le compteur. Je ne m’inquiète pas outre mesure d’autant qu’aujourd’hui nous présentons une équipe complète dans toutes ses lignes face à une grosse cylindrée certes, mais il faut garder confiance et croire en nos chances. Nous devons une revanche à notre public…
J. F.
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