Le village de Monticello d'ordinaire si paisible est toujours sur le coup de ce fait divers au cours duquel un échange de coups de feu a opposé des jeunes bien connus dans la région à un quinquagénaire.
Pour rappel, les faits se sont déroulés peu après 14h30 à l'intérieur du Lotissement Caralivu sur la commune de Monticello.
Dans des conditions que les enquêteurs s'attachent à définir, suite à un différend semble t-il d'ordre financier, des jeunes gens se sont rendus au domicile d'un quinquagénaire.
C'est là, dans son jardin de la villa que le ton est rapidement monté avant que des coups de feu aient été échangés et que deux personnes soient blessées: la première à l'aine et la seconde à un pied. Cette dernière n'est autre que le fils du quinquagénaire qui aurait riposté voyant celui-ci blessé. Une version qui demande bien évidemment à être vérifiée.
La tension est rapidement montée dans le lotissement et la situation était tendue à l'arrivée très rapide des gendarmes et des pompiers.
Toujours selon les premiers témoignages, le quinquagénaire s'est ensuite réfugié dans son domicile, sans avoir auparavant braqué son arme en direction d'un pompier et d'un gendarmes.
Face à cette situation très tendue, les gendarmes de l'Ile-Rousse ont fait preuve de beaucoup de sang-froid et ont géré au mieux.
Des gendarmes équipés de gilets pare balles se sont aussitôt positionnés mais rapidement le quinquagénaire s'est rendu aux forces de l'ordre.
Les deux blessés âgés d'une vingtaine d'années ont été pris en charge par les pompiers de l'Ile-Rousse et de Belgodère ainsi que le médecin du SMUR alors que l'hélicoptère de la Sécurité Civile était dépêché depuis Bastia avec à son bord du personnel médicale mais aussi des poches de sang demandées par les secours.
Blessé à l'aine, l'un des protagoniste de cette affaire était évacué par le Dragon 2B, alors que le second touché au pied était évacué par l'ambulance des pompiers de Belgodère sous bonne escorte des gendarmes du SPIG.
Sur le terrain, la tension retombait légèrement, alors que les opération de gendarmerie étaient coordonnées par le chef d'escadron De Carvalho, commandant la Compagnie de Gendarmerie de Calvi.
Alerté, Joseph Mattei, Maire de Monticello,qui se trouvait au moment des faits à une petite fête au complexe sportif Saint-François se rfendait aussitôt sur place.
Caroline Tharot, Procureure de la République de Bastia arrivaient sur place, dans le même temps que les spécialistes en identification criminelle.
L'enquête était confiée à la section de recherches de Bastia, avec le concours de la Gendarmerie de Calvi.
L'utilisation d'un fusil de chasse de calibre 12 et d'une arme de poing de calibre 9 devait se confirmer, attestant ainsi de l'échange de coups de feu.
Au lendemain de cette fusillade qui a mis en émoi toute la population de Monticello, malgré le plus grand mutisme observé par les enquêteurs, on apprenait que de nombreuses perquisitions étaient menées dans le bassin de vie de l'Ile-Rousse et que de nombreuses personnes étaient auditionnées dans le cadre de cette affaire alors que 5 personnes se trouvaient toujours en garde à vue dans les locaux de la Brigade de Gendarmerie à l'Ile-Rousse et à la Caserne Tramariccia à Calvi.
Pour rappel, les faits se sont déroulés peu après 14h30 à l'intérieur du Lotissement Caralivu sur la commune de Monticello.
Dans des conditions que les enquêteurs s'attachent à définir, suite à un différend semble t-il d'ordre financier, des jeunes gens se sont rendus au domicile d'un quinquagénaire.
C'est là, dans son jardin de la villa que le ton est rapidement monté avant que des coups de feu aient été échangés et que deux personnes soient blessées: la première à l'aine et la seconde à un pied. Cette dernière n'est autre que le fils du quinquagénaire qui aurait riposté voyant celui-ci blessé. Une version qui demande bien évidemment à être vérifiée.
La tension est rapidement montée dans le lotissement et la situation était tendue à l'arrivée très rapide des gendarmes et des pompiers.
Toujours selon les premiers témoignages, le quinquagénaire s'est ensuite réfugié dans son domicile, sans avoir auparavant braqué son arme en direction d'un pompier et d'un gendarmes.
Face à cette situation très tendue, les gendarmes de l'Ile-Rousse ont fait preuve de beaucoup de sang-froid et ont géré au mieux.
Des gendarmes équipés de gilets pare balles se sont aussitôt positionnés mais rapidement le quinquagénaire s'est rendu aux forces de l'ordre.
Les deux blessés âgés d'une vingtaine d'années ont été pris en charge par les pompiers de l'Ile-Rousse et de Belgodère ainsi que le médecin du SMUR alors que l'hélicoptère de la Sécurité Civile était dépêché depuis Bastia avec à son bord du personnel médicale mais aussi des poches de sang demandées par les secours.
Blessé à l'aine, l'un des protagoniste de cette affaire était évacué par le Dragon 2B, alors que le second touché au pied était évacué par l'ambulance des pompiers de Belgodère sous bonne escorte des gendarmes du SPIG.
Sur le terrain, la tension retombait légèrement, alors que les opération de gendarmerie étaient coordonnées par le chef d'escadron De Carvalho, commandant la Compagnie de Gendarmerie de Calvi.
Alerté, Joseph Mattei, Maire de Monticello,qui se trouvait au moment des faits à une petite fête au complexe sportif Saint-François se rfendait aussitôt sur place.
Caroline Tharot, Procureure de la République de Bastia arrivaient sur place, dans le même temps que les spécialistes en identification criminelle.
L'enquête était confiée à la section de recherches de Bastia, avec le concours de la Gendarmerie de Calvi.
L'utilisation d'un fusil de chasse de calibre 12 et d'une arme de poing de calibre 9 devait se confirmer, attestant ainsi de l'échange de coups de feu.
Au lendemain de cette fusillade qui a mis en émoi toute la population de Monticello, malgré le plus grand mutisme observé par les enquêteurs, on apprenait que de nombreuses perquisitions étaient menées dans le bassin de vie de l'Ile-Rousse et que de nombreuses personnes étaient auditionnées dans le cadre de cette affaire alors que 5 personnes se trouvaient toujours en garde à vue dans les locaux de la Brigade de Gendarmerie à l'Ile-Rousse et à la Caserne Tramariccia à Calvi.