Les élus envisageraient, ainsi, selon le JDD de "créer une société d'économie mixte, (SEM), dans laquelle la CTC serait majoritaire aux côtés d'autres investisseurs publics et privés".
Pour le JDD "une fois la compagnie maritime placée en redressement judiciaire, la SEM deviendrait propriétaire des navires et les louerait au nouvel exploitant des liaisons entre le continent et l'île de Beauté. Même s'il sera difficile de trouver une entreprise prête à reprendre la desserte, sans avoir la possession des bateaux, qui restent les seuls actifs de l'entreprise."
Des repreneurs privés, ont, déjà, fait preuve de leur intérêt à maintes reprises ; le Norvégien Siem industries, l'Américain Baja Ferries. Eux, entendent récupérer toute la compagnie, flotte comprise.
Mais auront-ils le choix ?
"Le repreneur devra décrocher l'agrément de la CTC" rappelle Paul Giacobbi dans le JDD. "Il devra trouver un accord avec nous" en faisant allusion à l'enveloppe de la délégation de service public.
Pour l'heure on n'en est pas encore là.
Les actionnaires de la compagnie et les syndicats ont signé un moratoire de quatre mois pour tenter de sortir l'entreprise de l'ornière ou du redressement judiciaire que tout le monde lui promet.
Dans ce cas de figure, c'est le tribunal de commerce de Marseille qui aura donc le dernier mot et le scénario qu'évoque le JDD, s'il devait se réaliser, n'interviendrait qu'au terme du jugement de la juridiction marseillaise.
Mais à la CTC on débat régulièrement d'une compagnie régionale maritime.
On va peut être en parler plus longtemps et d'une manière plus précise au cours des mois à venir.
Pour le JDD "une fois la compagnie maritime placée en redressement judiciaire, la SEM deviendrait propriétaire des navires et les louerait au nouvel exploitant des liaisons entre le continent et l'île de Beauté. Même s'il sera difficile de trouver une entreprise prête à reprendre la desserte, sans avoir la possession des bateaux, qui restent les seuls actifs de l'entreprise."
Des repreneurs privés, ont, déjà, fait preuve de leur intérêt à maintes reprises ; le Norvégien Siem industries, l'Américain Baja Ferries. Eux, entendent récupérer toute la compagnie, flotte comprise.
Mais auront-ils le choix ?
"Le repreneur devra décrocher l'agrément de la CTC" rappelle Paul Giacobbi dans le JDD. "Il devra trouver un accord avec nous" en faisant allusion à l'enveloppe de la délégation de service public.
Pour l'heure on n'en est pas encore là.
Les actionnaires de la compagnie et les syndicats ont signé un moratoire de quatre mois pour tenter de sortir l'entreprise de l'ornière ou du redressement judiciaire que tout le monde lui promet.
Dans ce cas de figure, c'est le tribunal de commerce de Marseille qui aura donc le dernier mot et le scénario qu'évoque le JDD, s'il devait se réaliser, n'interviendrait qu'au terme du jugement de la juridiction marseillaise.
Mais à la CTC on débat régulièrement d'une compagnie régionale maritime.
On va peut être en parler plus longtemps et d'une manière plus précise au cours des mois à venir.
Envoyer à un ami
Version imprimable
