Jamais derby n’avait, depuis des lustres, suscité autant de passions dans la cité impériale. GFCA-ACA, les épisodes d’il y a deux ans, où la pression pour éviter tout dérapage à l’aller (août 2014 à Mezzavia) était telle que l’on avait assisté à une rencontre assez moyenne pour ce genre de match.
Au retour, le Gaz avait donné la leçon à des acéistes passés complètement à côté de leur sujet (0-3). Mais depuis, de l’eau a coulé sous les ponts. Le GFCA a accédé en Ligue 1, asseyant, du coup, sa suprématie sur la ville. L’ACA est, de son côté, rentré dans le rang, frôlant deux fois consécutivement la correctionnelle en bas du tableau de L2.
Mais voilà que les données semblent, de nouveau, s’inverser. De retour dans l’antichambre de l’élite pour une poignée de points, le GFCA mesure – un sentiment que connaît son voisin pour l’avoir déjà vécu à deux reprises (2006 et 2014) - toute la difficulté inhérente à une relégation. De surcroît quand on quitte l’élite.
Aujourd’hui, la rivalité, quand bien même elle reste saine, semble bien palpable. A ce constat, s’ajoute le caractère « particulier » de tous ces derbies entre « frères ennemis ».
Le premier en février 1968 (16e de finale de coupe de France disputé en deux parties à Marseille et Paris) où le « petit » de CFA avait dompté le pensionnaire de l’’élite. Les deuxième et troisième (5e et 6e tour de la coupe de France 1995 et 1997) toujours remportés par le GFCA, cette fois pensionnaire de National face à l’ACA (NIII et National).
Les quatrième et cinquième inversant, pour la première fois, les données et installant l’ACA en chef de file du football professionnel ajaccien (1997-1998). Jusqu’à un nouveau retournement dix-huit ans plus tard avec les deux derniers face-à-face entre ACA et GFCA (2014-2015).
Si l’on se souvient de bien des confrontations Ajaccio-Bastia dont beaucoup ont marqué les esprits – pas souvent en bien malheureusement - GFCA-ACA reste un vrai derby entre deux clubs d’une même ville. Et là, où que l’on se place en Europe ou même ailleurs, la rivalité reste, quoiqu’on en dise, viscéralement ancrée.
Même si le résultat de cette rencontre n’aura pas de réelle incidence sur le classement final des deux clubs, il va de soi que l’enjeu est plus qu’évident…
Au retour, le Gaz avait donné la leçon à des acéistes passés complètement à côté de leur sujet (0-3). Mais depuis, de l’eau a coulé sous les ponts. Le GFCA a accédé en Ligue 1, asseyant, du coup, sa suprématie sur la ville. L’ACA est, de son côté, rentré dans le rang, frôlant deux fois consécutivement la correctionnelle en bas du tableau de L2.
Mais voilà que les données semblent, de nouveau, s’inverser. De retour dans l’antichambre de l’élite pour une poignée de points, le GFCA mesure – un sentiment que connaît son voisin pour l’avoir déjà vécu à deux reprises (2006 et 2014) - toute la difficulté inhérente à une relégation. De surcroît quand on quitte l’élite.
Aujourd’hui, la rivalité, quand bien même elle reste saine, semble bien palpable. A ce constat, s’ajoute le caractère « particulier » de tous ces derbies entre « frères ennemis ».
Le premier en février 1968 (16e de finale de coupe de France disputé en deux parties à Marseille et Paris) où le « petit » de CFA avait dompté le pensionnaire de l’’élite. Les deuxième et troisième (5e et 6e tour de la coupe de France 1995 et 1997) toujours remportés par le GFCA, cette fois pensionnaire de National face à l’ACA (NIII et National).
Les quatrième et cinquième inversant, pour la première fois, les données et installant l’ACA en chef de file du football professionnel ajaccien (1997-1998). Jusqu’à un nouveau retournement dix-huit ans plus tard avec les deux derniers face-à-face entre ACA et GFCA (2014-2015).
Si l’on se souvient de bien des confrontations Ajaccio-Bastia dont beaucoup ont marqué les esprits – pas souvent en bien malheureusement - GFCA-ACA reste un vrai derby entre deux clubs d’une même ville. Et là, où que l’on se place en Europe ou même ailleurs, la rivalité reste, quoiqu’on en dise, viscéralement ancrée.
Même si le résultat de cette rencontre n’aura pas de réelle incidence sur le classement final des deux clubs, il va de soi que l’enjeu est plus qu’évident…