Inquiets face à la détérioration du climat scolaire, les enseignants et le personnel non enseignant du Collège Félix Orabona de Calvi ont débrayé ce mardi 20 février, soutenus par la CGT Educ’Action. Charles Casabianca, de la CGT Educ’Action, exprime un soutien sans réserve : « Nous apportons un soutien total aux personnels du Collège Félix Orabona de Calvi. Par cette action d’aujourd’hui, les représentants des personnels du Collège ont tenu à exprimer leur préoccupation profonde face à la dégradation du climat scolaire, une recrudescence des comportements inappropriés à l'égard des personnels enseignants et non enseignants de l'établissement ».
Si le Collège balanin a longtemps été préservé de ce type de nuisances, la situation semble avoir évolué. « Il est difficile aujourd'hui de recenser ou de définir la totalité des causalités multiples et profondes qui expliquent cette dégradation », souligne Casabianca. « Il est un fait que de nombreux enseignants constatent une remise en cause de leur expertise professionnelle en matière d'éducation ».
Le syndicat déplore également une montée des tensions et des comportements inacceptables. Les missives à caractère agressif se multiplient, souvent envoyées à des heures indues. « On ne compte plus les propos à caractère diffamatoire diffusés de manière récurrente sur les réseaux sociaux. Ils déplorent également des interpellations sur la voie publique et même des intrusions brutales dans les résidences des enseignants » souligne Ch. Casabianca. « Un tel mépris pour leurs personnes, leur profession et leurs missions éducatives et pédagogiques ne saurait être toléré plus longtemps. Il hypothèque la relation de confiance indispensable au bon fonctionnement de l'établissement comme à la réussite de leurs élèves », ajoute-t-il.
La CGT signale également des agressions verbales et des menaces à l'encontre de membres du personnel, dont le Chef d'établissement lui-même, à deux reprises. « Agresser un adulte de l'établissement, c'est porter atteinte à la communauté entière », insiste Casabianca.
En réponse à cette détérioration du climat scolaire, la CGT avertit que dorénavant, toute agression ou propos diffamatoire donnera lieu à un dépôt de plainte. « L'école, qui est aujourd'hui attaquée sans cesse et sur tous les fronts, a besoin de sérénité et surtout d'œuvrer sans faille à la réussite de tous les élèves sans distinction sociale », conclut le syndicaliste.
Si le Collège balanin a longtemps été préservé de ce type de nuisances, la situation semble avoir évolué. « Il est difficile aujourd'hui de recenser ou de définir la totalité des causalités multiples et profondes qui expliquent cette dégradation », souligne Casabianca. « Il est un fait que de nombreux enseignants constatent une remise en cause de leur expertise professionnelle en matière d'éducation ».
Le syndicat déplore également une montée des tensions et des comportements inacceptables. Les missives à caractère agressif se multiplient, souvent envoyées à des heures indues. « On ne compte plus les propos à caractère diffamatoire diffusés de manière récurrente sur les réseaux sociaux. Ils déplorent également des interpellations sur la voie publique et même des intrusions brutales dans les résidences des enseignants » souligne Ch. Casabianca. « Un tel mépris pour leurs personnes, leur profession et leurs missions éducatives et pédagogiques ne saurait être toléré plus longtemps. Il hypothèque la relation de confiance indispensable au bon fonctionnement de l'établissement comme à la réussite de leurs élèves », ajoute-t-il.
La CGT signale également des agressions verbales et des menaces à l'encontre de membres du personnel, dont le Chef d'établissement lui-même, à deux reprises. « Agresser un adulte de l'établissement, c'est porter atteinte à la communauté entière », insiste Casabianca.
En réponse à cette détérioration du climat scolaire, la CGT avertit que dorénavant, toute agression ou propos diffamatoire donnera lieu à un dépôt de plainte. « L'école, qui est aujourd'hui attaquée sans cesse et sur tous les fronts, a besoin de sérénité et surtout d'œuvrer sans faille à la réussite de tous les élèves sans distinction sociale », conclut le syndicaliste.