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Après un bel engouement pendant les fêtes de fin d'année où les ventes ont été florissantes, les commerçants bastiais préparaient le baume au cœur la période des soldes. Mais à deux semaines du début la tendance n'est pas concluante. « L'ensemble des commerçants peinent » confirme Valérie Capone de la boutique l'Annexe de Bastia, également secrétaire de l'association des commerçants de Bastia et de la Fédération des Unions de Commerçants et Artisans du Grand Bastia.
Les commerçants ne sauraient définir ce qui tend à cette morosité. Le contexte sanitaire avec le variant Omicron ? Le télétravail ? Le pouvoir d'achat ? Une alternative dans le sac ?
Bientôt un Salon des Affaires
Pour pallier à cette frilosité, la Fédération des Unions de Commerçants et Artisans du Grand Bastia présidée par Olivier Simoni, organisera le Salon des Affaires du 10 au 13 février prochain sous un grand chapiteau situé sur la Place Saint Nicolas à Bastia. Soutenus par la Ville de Bastia, la Communauté d'Agglomération de Bastia, la Chambre de Commerce et d'Industrie de Haute-Corse et la Collectivité de Corse, les commerçants espèrent que cette manifestation leur permettra d'écouler leurs stocks et d'anticiper l'éventuelle baisse de la fréquentation liée aux futurs travaux du tunnel, chantier qui laisse planer un voile anxiogène auprès des acteurs de ce secteur d'activité.
La fin d’un modèle ?
Ce constat n’est pas propre au contexte insulaire puisque sur le continent et sur Internet, la situation n’est guère meilleure. Selon l’Alliance du Commerce, les soldes connaissent un très mauvais résultat et enregistrent un recul de 19% par rapport à 2020. La Fédération Nationale de l’Habillement tirent la sonnette d’alarme et demandent à une régulation des promotions intempestives. Les soldes doivent permettent aux commerçants de liquider leurs marchandises selon un calendrier précis. Mais une concurrence déloyale s’est instaurée depuis plusieurs années, avec la multiplication des offres spéciales et des ventes privées principalement organisées par les grandes enseignes et les sites spécialisés.
Un phénomène marginal émerge
Depuis quelques années, certaines marques et commerçants indépendants ont décidé de ne plus pratiquer de soldes et de promotions. Se considérant comme éthiques et engagés auprès des consommateurs, ils pratiquent un prix qu’ils qualifient de juste tout au long de l’année.
Cette nouvelle étiquette saura-t elle-s’imposer ?
Les commerçants ne sauraient définir ce qui tend à cette morosité. Le contexte sanitaire avec le variant Omicron ? Le télétravail ? Le pouvoir d'achat ? Une alternative dans le sac ?
Bientôt un Salon des Affaires
Pour pallier à cette frilosité, la Fédération des Unions de Commerçants et Artisans du Grand Bastia présidée par Olivier Simoni, organisera le Salon des Affaires du 10 au 13 février prochain sous un grand chapiteau situé sur la Place Saint Nicolas à Bastia. Soutenus par la Ville de Bastia, la Communauté d'Agglomération de Bastia, la Chambre de Commerce et d'Industrie de Haute-Corse et la Collectivité de Corse, les commerçants espèrent que cette manifestation leur permettra d'écouler leurs stocks et d'anticiper l'éventuelle baisse de la fréquentation liée aux futurs travaux du tunnel, chantier qui laisse planer un voile anxiogène auprès des acteurs de ce secteur d'activité.
La fin d’un modèle ?
Ce constat n’est pas propre au contexte insulaire puisque sur le continent et sur Internet, la situation n’est guère meilleure. Selon l’Alliance du Commerce, les soldes connaissent un très mauvais résultat et enregistrent un recul de 19% par rapport à 2020. La Fédération Nationale de l’Habillement tirent la sonnette d’alarme et demandent à une régulation des promotions intempestives. Les soldes doivent permettent aux commerçants de liquider leurs marchandises selon un calendrier précis. Mais une concurrence déloyale s’est instaurée depuis plusieurs années, avec la multiplication des offres spéciales et des ventes privées principalement organisées par les grandes enseignes et les sites spécialisés.
Un phénomène marginal émerge
Depuis quelques années, certaines marques et commerçants indépendants ont décidé de ne plus pratiquer de soldes et de promotions. Se considérant comme éthiques et engagés auprès des consommateurs, ils pratiquent un prix qu’ils qualifient de juste tout au long de l’année.
Cette nouvelle étiquette saura-t elle-s’imposer ?