Joseph Castelli, sénateur, président du conseil général de la Haute-Corse réagit suite aux incidents survenus lors du match Nice-Bastia et condamne les incendies en Haute-Corse
L’actualité nous donne parfois l’occasion d’exprimer de la joie, de la satisfaction, une heureuse surprise, dans des domaines extrêmement variés.
En ce moment, ces instants de petits bonheurs se font rares et ce sont plus souvent, le dépit, la colère, l’inquiétude ou la désapprobation qui nous assaillent lorsque nous recevons des médias nos informations quotidiennes.
Je n’ai pas souhaité m’exprimer jusqu’à présent sur l’injuste emballement politico-médiatique autour de l’affaire dite du « drapeau corse sur la pelouse niçoise ». J’espérais que de part et d’autre de la Méditerranée, les intéressés – et les autres – reprendraient leurs esprits et que tous pourraient sortir par le haut d’une querelle excessive dans le fond et la forme et particulièrement déplacée quant à son objet. Brandir la bandera dans un moment de joie, quoi de plus habituel et naturel chez nous !
Mais l’importance de ce fait pâlit devant l’annonce d’un incendie particulièrement inquiétant dans le Niolu. Après la fin de saison « feux de forêts » alors que les dispositifs de surveillance et de lutte ont été désarmés, profitant de la terrible conjonction de la sécheresse et du vent, les flammes ont attaqué notre terre. Accident, main coupable ? J’en ignore pour l’instant les causes mais j’appelle une nouvelle fois l’ensemble de mes concitoyens à la plus grande prudence, à la plus grande vigilance : notre île, notre environnement, nos villages, ne peuvent supporter indéfiniment les meurtrissures de l’imprudent ou du criminel. L’omu hè natu per custruì, micca per distrughje.
L’actualité nous donne parfois l’occasion d’exprimer de la joie, de la satisfaction, une heureuse surprise, dans des domaines extrêmement variés.
En ce moment, ces instants de petits bonheurs se font rares et ce sont plus souvent, le dépit, la colère, l’inquiétude ou la désapprobation qui nous assaillent lorsque nous recevons des médias nos informations quotidiennes.
Je n’ai pas souhaité m’exprimer jusqu’à présent sur l’injuste emballement politico-médiatique autour de l’affaire dite du « drapeau corse sur la pelouse niçoise ». J’espérais que de part et d’autre de la Méditerranée, les intéressés – et les autres – reprendraient leurs esprits et que tous pourraient sortir par le haut d’une querelle excessive dans le fond et la forme et particulièrement déplacée quant à son objet. Brandir la bandera dans un moment de joie, quoi de plus habituel et naturel chez nous !
Mais l’importance de ce fait pâlit devant l’annonce d’un incendie particulièrement inquiétant dans le Niolu. Après la fin de saison « feux de forêts » alors que les dispositifs de surveillance et de lutte ont été désarmés, profitant de la terrible conjonction de la sécheresse et du vent, les flammes ont attaqué notre terre. Accident, main coupable ? J’en ignore pour l’instant les causes mais j’appelle une nouvelle fois l’ensemble de mes concitoyens à la plus grande prudence, à la plus grande vigilance : notre île, notre environnement, nos villages, ne peuvent supporter indéfiniment les meurtrissures de l’imprudent ou du criminel. L’omu hè natu per custruì, micca per distrughje.
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