« Nous avons décidé d’un commun accord d’initier une démarche dépourvue de toute arrière pensée politicienne et d’appareil, uniquement concentrée sur l’avenir de notre ville. Nous faisons simplement une proposition à la population ajaccienne en lui garantissant que notre seule préoccupation est la marche en avant et la pérennité de notre cité » disent-t-ils.
Nous avons reconstitué une famille…
En quelques semaines ils ont réuni une liste d’amis et de proches de la société civile bien décidés à faire passer un message, celui d’une équipe qui gagne, qui va se battre pour sa ville et la faire avancer pour apporter tous les changements indispensables comme le précise Pierre Santoni, le président du Comité Régional Olympique et Sportif de Corse : « Une chose est simple, avec Jacques Billard et Alfred D’Amore, d’authentiques centristes et moi-même Gaulliste, trois familles Ajacciennes, nous nous sommes rencontrés et avons été saisis par un certain nombre d’ajacciens qui ne s’y retrouvaient pas, surtout après ce qui s’est passé et que je trouve carnavalesque. Il s’avère que depuis la reprise du Conseil Général en 2004, une espèce d’enthousiasme délirant semble être monté à la tête d’une partie de nos alliés. Ils ont crié haut et fort : ça y est, nous sommes les patrons. Des quinze conseillers qui avaient constitué une majorité avec Roland Francisci, ils se sont retrouvés à onze. A partir de là, il y a eu une législative et aucun de nous ne s’est prononcé, bien au contraire. Malgré ce qui s’était produit nous savions la tâche difficile et nous nous sommes rendu compte qu’un apport nationaliste et non des moindres, a fait que nous avons franchi la barre. Vous avez vu ce qui est arrivé. Il est en train de se produire la même chose aujourd’hui.
Vous avez néanmoins monté une liste dans la discrétion ?
P.S. « C’est vrai, simplement parce que nous ne voulions pas nuire à une éventuelle union. Nous étions ouverts à tout. Tous, avec l’ensemble de notre famille, nous voulions reconstruire. Pourtant, nous n’avons pas été consultés, ni de près ni de loin, et sans aucune prétention. Nos amis nous ont dit qu’il fallait faire quelque chose. Alors, avec Jacques, nous avons rassemblé des amis, des vrais, avons regardé les choses et, je le précise, nous avons accueilli beaucoup de jeunes. Nous avons reconstitué une famille, authentique. »
Election municipale ou scrutin territorial ?
Jacques Billard approuve le discours de Pierre Santoni et ajoute que c’est réellement à partir d’une demande de la population que cette liste a vu le jour : « Elle répond à une attente effectivement, à l’attente d’une grande majorité de l’électorat républicain de notre ville qui ne se reconnaît pas dans les offres politiques proposées à de jour. La proposition de la majorité municipale sortante, à laquelle il convient de reconnaître certaines avancées dans divers domaines ne peut convenir car trop marquée par une approche dogmatique et partisane. De la même façon, les Ajacciens ne peuvent adhérer à l’offre formulée par la liste d’union des nationalistes qui, enfermés dans leur quête permanente de satisfaction de leurs sempiternelles revendications, se trompent manifestement d’élection en voulant transformer une élection municipale en un scrutin territorial pour lequel il n’y a pas de place pour Ajaccio. Je précise également que la proposition formulée par les candidats se réclamant de l’UMP parait ne pas correspondre à la véritable attente de la population ajaccienne. C’est dans cet esprit, fidèles à nos valeurs républicaines et parfaitement conscients des innombrables atouts que possède notre ville que nous faisons cette proposition à la population ajaccienne, en lui garantissant que notre seule préoccupation est l’avenir de notre capitale régionale. »
La liste « Agir pour Ajaccio »
Nous avons reconstitué une famille…
En quelques semaines ils ont réuni une liste d’amis et de proches de la société civile bien décidés à faire passer un message, celui d’une équipe qui gagne, qui va se battre pour sa ville et la faire avancer pour apporter tous les changements indispensables comme le précise Pierre Santoni, le président du Comité Régional Olympique et Sportif de Corse : « Une chose est simple, avec Jacques Billard et Alfred D’Amore, d’authentiques centristes et moi-même Gaulliste, trois familles Ajacciennes, nous nous sommes rencontrés et avons été saisis par un certain nombre d’ajacciens qui ne s’y retrouvaient pas, surtout après ce qui s’est passé et que je trouve carnavalesque. Il s’avère que depuis la reprise du Conseil Général en 2004, une espèce d’enthousiasme délirant semble être monté à la tête d’une partie de nos alliés. Ils ont crié haut et fort : ça y est, nous sommes les patrons. Des quinze conseillers qui avaient constitué une majorité avec Roland Francisci, ils se sont retrouvés à onze. A partir de là, il y a eu une législative et aucun de nous ne s’est prononcé, bien au contraire. Malgré ce qui s’était produit nous savions la tâche difficile et nous nous sommes rendu compte qu’un apport nationaliste et non des moindres, a fait que nous avons franchi la barre. Vous avez vu ce qui est arrivé. Il est en train de se produire la même chose aujourd’hui.
Vous avez néanmoins monté une liste dans la discrétion ?
P.S. « C’est vrai, simplement parce que nous ne voulions pas nuire à une éventuelle union. Nous étions ouverts à tout. Tous, avec l’ensemble de notre famille, nous voulions reconstruire. Pourtant, nous n’avons pas été consultés, ni de près ni de loin, et sans aucune prétention. Nos amis nous ont dit qu’il fallait faire quelque chose. Alors, avec Jacques, nous avons rassemblé des amis, des vrais, avons regardé les choses et, je le précise, nous avons accueilli beaucoup de jeunes. Nous avons reconstitué une famille, authentique. »
Election municipale ou scrutin territorial ?
Jacques Billard approuve le discours de Pierre Santoni et ajoute que c’est réellement à partir d’une demande de la population que cette liste a vu le jour : « Elle répond à une attente effectivement, à l’attente d’une grande majorité de l’électorat républicain de notre ville qui ne se reconnaît pas dans les offres politiques proposées à de jour. La proposition de la majorité municipale sortante, à laquelle il convient de reconnaître certaines avancées dans divers domaines ne peut convenir car trop marquée par une approche dogmatique et partisane. De la même façon, les Ajacciens ne peuvent adhérer à l’offre formulée par la liste d’union des nationalistes qui, enfermés dans leur quête permanente de satisfaction de leurs sempiternelles revendications, se trompent manifestement d’élection en voulant transformer une élection municipale en un scrutin territorial pour lequel il n’y a pas de place pour Ajaccio. Je précise également que la proposition formulée par les candidats se réclamant de l’UMP parait ne pas correspondre à la véritable attente de la population ajaccienne. C’est dans cet esprit, fidèles à nos valeurs républicaines et parfaitement conscients des innombrables atouts que possède notre ville que nous faisons cette proposition à la population ajaccienne, en lui garantissant que notre seule préoccupation est l’avenir de notre capitale régionale. »
La liste « Agir pour Ajaccio »
- Jacques Billard
- Marie-Josée Luciani
- Pierre Santoni
- Helène Torre
- Alfred d’Amore
- Christianne Jacquet-Giovannaï
- Pierre Serafini
- Sylvie Mehdi
- Jean-François Darridon-Mondoloni
- Joséphine Bersano
- Gilbert Païs
- Isabelle Bartoli
- Charbel Narbot
- Nicole Spinosi
- Romain Evrard
- Jacqueline Rocca
- Antoine-André Rossi
- Béatrice Boleat
- Jean-André Filippi
- Noëlle Collins
- Dominique Cajal
- Marie Nacessa
- Alain Fanchon
- Monique Villemin
- Jean-marc Ligoule
- Sabrina Lopez
- Kevin Saïfi
- Muriel Santoni-Filippi
- Akexandre Meliani
- Anne-Marie Bruno
- Amilcar Da Silva De Amorin
- Samantha Rocher
- Gaëtan Guimard
- Monique Filippi
- Nicolas Loïs
- Maeva Akbi
- Philippe Amati
- Marie-Jeanne Grenu
- Manuel Certal Do Paco
- Romane Vieille
- Ted-Joseph lallet
- Félicité Giacomoni
- Jean-Louis Delarbre
- Rose Pasquini
- Jean Cuttoli
- Elvire Chiappe
- Joseph Biancamarie
- Kerine Guibert
- Henri Mariani-Pulicani