Le Contrat de Mixité Sociale a été signé entre la Ville d'Ajaccio, la CAPA, l'Etat et l'Office Foncier de la Corse.
La Ville d’Ajaccio a franchi une nouvelle étape pour combler son déficit en logements sociaux en signant ce mardi un Contrat de Mixité Sociale. Ce contrat, signé à l’Hôtel de Ville par le maire et Président de la CAPA Stéphane Sbraggia, Jean-Paul Panzani, élu de la Collectivité de Corse représentant l’Office Foncier, et Xavier Czerwinski, secrétaire général de la Préfecture, acte l’engagement de la commune à produire 526 logements sociaux d’ici la fin de l’année 2025.
La cité impériale, qui compte aujourd’hui 5 543 logements sociaux, soit 20,37 % de son parc immobilier, reste en retard par rapport aux exigences de la loi SRU, qui impose un taux de 25 %. Ce retard, estimé à 1 257 logements, constitue un défi majeur pour la Ville d’Ajaccio, comme l’a souligné Stéphane Sbraggia : « L’objectif de ce contrat est d’aider la Ville d’Ajaccio à atteindre ses objectifs en termes de logements sociaux dans un territoire tendu. On n’en livre pas assez au vu des objectifs fixés par la loi SRU. C’est un outil qui vise à faciliter le rattrapage et d’assigner par an une production de logement social de 33 % ».
Le Contrat de Mixité Sociale, issu de la loi 3DS de février 2022, vise à soutenir les communes dans leur effort de production de logements sociaux. Il impose des objectifs précis de construction pour chaque période triennale, ainsi que des engagements en matière d’action foncière et d’urbanisme. Dans ce cadre, la Ville d’Ajaccio a accepté la proposition de l'État pour la période 2023-2025.
La demande de logements sociaux sur la commune reste particulièrement élevée, avec 2 600 dossiers en attente, et plus de 3 000 pour l’ensemble de la CAPA. Stéphane Sbraggia précise que « c’est un outil qui donne un peu de souplesse tout en fixant des objectifs qualitatifs. Nous avons aujourd’hui des opportunités urbaines intéressantes au sein de notre territoire avec notamment le site de l’ancien hôpital de la Miséricorde, concerné par un futur éco-quartier. Ce sera l’occasion de mieux respecter nos engagements et nos besoins ».
Pour Xavier Czerwinski, le secrétaire général de la Préfecture, « la question du logement revient systématiquement de manière très humaine partout sur le territoire. C’est devenu une priorité nationale. Avec ce contrat, on rajoute une corde à notre arc. C’est une étape qui doit nous permettre de rattraper ce retard ».
Ajaccio prévoit ainsi la création de plus de 220 logements sociaux en 2025, avec un objectif global de 526 logements pour les trois prochaines années. Jean-Paul Panzani, représentant l’Office Foncier de la Corse, rappelle que « la mobilisation du foncier dans les zones déjà urbanisées est une pierre angulaire pour augmenter cette offre tout en luttant contre l’étalement urbain. Ce cadre partenariat suppose des efforts partagés pour optimiser la production de logements sociaux ».
La cité impériale, qui compte aujourd’hui 5 543 logements sociaux, soit 20,37 % de son parc immobilier, reste en retard par rapport aux exigences de la loi SRU, qui impose un taux de 25 %. Ce retard, estimé à 1 257 logements, constitue un défi majeur pour la Ville d’Ajaccio, comme l’a souligné Stéphane Sbraggia : « L’objectif de ce contrat est d’aider la Ville d’Ajaccio à atteindre ses objectifs en termes de logements sociaux dans un territoire tendu. On n’en livre pas assez au vu des objectifs fixés par la loi SRU. C’est un outil qui vise à faciliter le rattrapage et d’assigner par an une production de logement social de 33 % ».
Le Contrat de Mixité Sociale, issu de la loi 3DS de février 2022, vise à soutenir les communes dans leur effort de production de logements sociaux. Il impose des objectifs précis de construction pour chaque période triennale, ainsi que des engagements en matière d’action foncière et d’urbanisme. Dans ce cadre, la Ville d’Ajaccio a accepté la proposition de l'État pour la période 2023-2025.
La demande de logements sociaux sur la commune reste particulièrement élevée, avec 2 600 dossiers en attente, et plus de 3 000 pour l’ensemble de la CAPA. Stéphane Sbraggia précise que « c’est un outil qui donne un peu de souplesse tout en fixant des objectifs qualitatifs. Nous avons aujourd’hui des opportunités urbaines intéressantes au sein de notre territoire avec notamment le site de l’ancien hôpital de la Miséricorde, concerné par un futur éco-quartier. Ce sera l’occasion de mieux respecter nos engagements et nos besoins ».
Pour Xavier Czerwinski, le secrétaire général de la Préfecture, « la question du logement revient systématiquement de manière très humaine partout sur le territoire. C’est devenu une priorité nationale. Avec ce contrat, on rajoute une corde à notre arc. C’est une étape qui doit nous permettre de rattraper ce retard ».
Ajaccio prévoit ainsi la création de plus de 220 logements sociaux en 2025, avec un objectif global de 526 logements pour les trois prochaines années. Jean-Paul Panzani, représentant l’Office Foncier de la Corse, rappelle que « la mobilisation du foncier dans les zones déjà urbanisées est une pierre angulaire pour augmenter cette offre tout en luttant contre l’étalement urbain. Ce cadre partenariat suppose des efforts partagés pour optimiser la production de logements sociaux ».