Dans le cadre de l'enquête sur la tuerie survenue à Agliani le 8 janvier dernier, trois nouvelles personnes, deux hommes et une femme, ont été interpellées jeudi 11 janvier dans la soirée. Une information confirmée par le procureur de la République de Bastia, Jean-Philippe Navarre. Les trois individus, dont les identités n'ont pas été révélées, ont été placés en garde à vue et sont actuellement interrogés par les services de police judiciaire. Ils sont susceptibles d'avoir des liens avec le quadruple homicide survenu à Agliani en début de semaine.
Lundi, en fin de journée, aux alentours de 19 heures, les secours et la police ont été alertés par un témoin qui les adirigés vers un appartement au rez-de-chaussée de la résidence HLM Piana Suprana. À l'intérieur, une scène macabre les attendait : quatre personnes, disposés de manière singulière, tous à proximité du canapé, gisaient au sol, dans une mare de sang. Parmi les trois personnes décédées, a priori mortes "consécutivement à l'usage d'une arme à feu", se trouvait "le locataire officiel du logement", avait précisé le magistrat. "Agées d'une quarantaine d'années, les quatre victimes étaient connues des autorités judiciaires et l'une d'entre elles pour des faits d'usage de produits stupéfiants", avait-il ajouté mardi après-midi dans un communiqué.
Comment ont été tuées ces 3 personnes ? Dans quel contexte ? À ce stade, l'incertitude règne. Aucune piste n'est favorisée, aucune n'est écartée, laissant les enquêteurs face à un puzzle d'interrogations.
Deux personnes "proches des victimes" ont été interpellées mais leurs gardes à vues ont été levées mercredi soir "sans poursuite", a indiqué le procureur. Le magistrat avait précisé ce mercredi dans la journée qu'aucune information judiciaire n'avait été ouverte à ce stade.
Une enquête pour homicides volontaires a été ouverte, confiée aux services de la DIPN et du Service interdépartemental de police judiciaire de Haute Corse.
Lundi, en fin de journée, aux alentours de 19 heures, les secours et la police ont été alertés par un témoin qui les adirigés vers un appartement au rez-de-chaussée de la résidence HLM Piana Suprana. À l'intérieur, une scène macabre les attendait : quatre personnes, disposés de manière singulière, tous à proximité du canapé, gisaient au sol, dans une mare de sang. Parmi les trois personnes décédées, a priori mortes "consécutivement à l'usage d'une arme à feu", se trouvait "le locataire officiel du logement", avait précisé le magistrat. "Agées d'une quarantaine d'années, les quatre victimes étaient connues des autorités judiciaires et l'une d'entre elles pour des faits d'usage de produits stupéfiants", avait-il ajouté mardi après-midi dans un communiqué.
Comment ont été tuées ces 3 personnes ? Dans quel contexte ? À ce stade, l'incertitude règne. Aucune piste n'est favorisée, aucune n'est écartée, laissant les enquêteurs face à un puzzle d'interrogations.
Deux personnes "proches des victimes" ont été interpellées mais leurs gardes à vues ont été levées mercredi soir "sans poursuite", a indiqué le procureur. Le magistrat avait précisé ce mercredi dans la journée qu'aucune information judiciaire n'avait été ouverte à ce stade.
Une enquête pour homicides volontaires a été ouverte, confiée aux services de la DIPN et du Service interdépartemental de police judiciaire de Haute Corse.