Ainsi, le Cross Med et la Préfecture maritime de la Méditerranée appellent à la responsabilité de chacun et invitent à ne pas procéder à des tirs de fusée de détresse « festif » en dehors d’un cas d’urgence avéré. En cas de tir accidentel, il convient de prévenir les services de secours (notamment le Cross Med au 196 depuis un téléphone) pour éviter l’envoi de secours.
En 2017, près de 110 fausses alertes ont été constatées au Cross Med. Certaines ont été déclenchées de bonne foi (inquiétude d’un proche, témoin suspectant une difficulté, ...) mais lorsque qu’il est avéré qu’il s’agit d’un canular, le Cross Med porte systématiquement plainte au nom du Préfet maritime. L’usage d’engin pyrotechnique à des fins autres que le signalement d’une détresse est en effet interdit. La peine encourue peut aller jusqu’à deux ans de prison et 30.000 euros d’amende (art. 322-14 du code pénal).
*Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage en Méditerranée
En 2017, près de 110 fausses alertes ont été constatées au Cross Med. Certaines ont été déclenchées de bonne foi (inquiétude d’un proche, témoin suspectant une difficulté, ...) mais lorsque qu’il est avéré qu’il s’agit d’un canular, le Cross Med porte systématiquement plainte au nom du Préfet maritime. L’usage d’engin pyrotechnique à des fins autres que le signalement d’une détresse est en effet interdit. La peine encourue peut aller jusqu’à deux ans de prison et 30.000 euros d’amende (art. 322-14 du code pénal).
*Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage en Méditerranée