
U paese di Lava. crédit photo https://www.ajaccio-tourisme.com
Dans un communiqué diffusé ce 16 février, l'intersyndicale UD CGT 2A - URI CFDT CORSICA s'inquiète "quant au devenir du Centre de Vacances dont la vocation a toujours été inscrite dans le cadre du tourisme social et solidaire." et dénonce "la signature d’un compromis de vente pour un site aux caractères exceptionnels d’un opérateur privé ne peut que contribuer à sortir de la vocation première de ce site avec une inflation importante à la vue de sa situation géographique et ne pourra plus être accessible qu’à une frange aisée de la population."
Les syndicats qui craignent une spéculation immobilière, indiquent qu'ils mettront "tout en œuvre pour que la puissance publique puisse exercer son droit de préemption afin d’éviter toute forme de spéculation immobilière sur ce site."
En effet, selon l'intersyndicale qui s'est procuré le document, "le prix figurant sur le compromis de vente est nettement inférieur au prix estimé par les domaines (dix millions d'euros) et dont la valeur commerciale est estimée à plus du double de l’offre de rachat."
Déterminés à "tout mettre en œuvre pour faire avorter cette vente afin que ce lieu de villégiature des salariés puisse le demeurer." Les syndicats s'inquiètent aussi de l'avenir des salariés "que l’UD CGT 2A et l’URI CFDT CORSICA soutiennent et continueront à soutenir par toutes formes d’actions."
Les syndicats qui craignent une spéculation immobilière, indiquent qu'ils mettront "tout en œuvre pour que la puissance publique puisse exercer son droit de préemption afin d’éviter toute forme de spéculation immobilière sur ce site."
En effet, selon l'intersyndicale qui s'est procuré le document, "le prix figurant sur le compromis de vente est nettement inférieur au prix estimé par les domaines (dix millions d'euros) et dont la valeur commerciale est estimée à plus du double de l’offre de rachat."
Déterminés à "tout mettre en œuvre pour faire avorter cette vente afin que ce lieu de villégiature des salariés puisse le demeurer." Les syndicats s'inquiètent aussi de l'avenir des salariés "que l’UD CGT 2A et l’URI CFDT CORSICA soutiennent et continueront à soutenir par toutes formes d’actions."