Le Docteur Sauveur Gandolfi-Scheit, député de la Haute-Corse, maire de Biguglia communique :
Je viens de prendre connaissance avec stupeur et désolation de l’acte de vandalisme commis ce week-end contre la Chapelle Sainte Rita à Omessa et de l’incendie criminel contre la cathédrale Sainte Marie de Bastia.
Je tiens à saluer l’intervention du paroissien qui a permis de circonscrire l’incendie de la cathédrale et j’apporte mon soutien le plus total aux représentants de l’Eglise de Corse et à l’ensemble de notre communauté particulièrement choquée par des méfaits qui n’ont jamais eu leur place en Corse jusqu’à présent.
J’insiste sur la nécessité de retrouver les auteurs de ces profanations pour qu’ils soient rapidement traduits devant la justice afin d’y être sanctionnés.
Cette volonté récente de s’attaquer aux valeurs chrétiennes de notre société insulaire appelle justement une réponse forte et adaptée. Ici, c’est la Corse ! On ne touche pas à notre héritage, à notre culture, à notre patrimoine ! On ne touche pas aux lieux qui ont façonné nos vies, nos histoires, nos familles ! Ces lieux sacrés au sein desquels nous baptisons nos enfants, nous nous marions et accompagnons nos proches pour un dernier recueillement.
L’augmentation de ce nombre de faits ces derniers mois doit inciter les pouvoirs publics à davantage de surveillance de nos lieux de culte comme cela est notamment stipulé dans le cadre de l’état d’urgence. Pour ma part, je demeure à la disposition des représentants de l’Eglise de Corse et je serai vigilant quant aux mesures et moyens mis en œuvre par l’Etat pour faire cesser définitivement ces actes intolérables.
Je viens de prendre connaissance avec stupeur et désolation de l’acte de vandalisme commis ce week-end contre la Chapelle Sainte Rita à Omessa et de l’incendie criminel contre la cathédrale Sainte Marie de Bastia.
Je tiens à saluer l’intervention du paroissien qui a permis de circonscrire l’incendie de la cathédrale et j’apporte mon soutien le plus total aux représentants de l’Eglise de Corse et à l’ensemble de notre communauté particulièrement choquée par des méfaits qui n’ont jamais eu leur place en Corse jusqu’à présent.
J’insiste sur la nécessité de retrouver les auteurs de ces profanations pour qu’ils soient rapidement traduits devant la justice afin d’y être sanctionnés.
Cette volonté récente de s’attaquer aux valeurs chrétiennes de notre société insulaire appelle justement une réponse forte et adaptée. Ici, c’est la Corse ! On ne touche pas à notre héritage, à notre culture, à notre patrimoine ! On ne touche pas aux lieux qui ont façonné nos vies, nos histoires, nos familles ! Ces lieux sacrés au sein desquels nous baptisons nos enfants, nous nous marions et accompagnons nos proches pour un dernier recueillement.
L’augmentation de ce nombre de faits ces derniers mois doit inciter les pouvoirs publics à davantage de surveillance de nos lieux de culte comme cela est notamment stipulé dans le cadre de l’état d’urgence. Pour ma part, je demeure à la disposition des représentants de l’Eglise de Corse et je serai vigilant quant aux mesures et moyens mis en œuvre par l’Etat pour faire cesser définitivement ces actes intolérables.
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