Une dizaine de chatons âgés de deux mois est à placer et vous pourrez les voir samedi lors de la journée d'portion organisée par les bénévoles de l'association I Ghjatti senza tettu.
En attendant de trouver une famille aimante, les chatons sont recueillis par des familles d’accueil qui les soignent, les nourrissent et les sociabilisent.
Danielle Perno, la présidente de l’association, précise « Les famille d’accueil ont pour mission de préparer les petits chats sauvages à l’adoption et de les habituer à vivre en famille et en intérieur. Après quelques semaines de soins, les chatons s’ils ne sont pas adoptés sont récupérés par l’association, c’est un engagement ferme pris avec les familles d’accueil ».
Grâce à ses bénévoles, l’association, créée en 2013, a mis en place des abris et des sites de nourrissage : « L’objectif est d’assurer une cohabitation harmonieuse entre les humains et les chats. Avec le suivi que nous réalisons en partenariat avec les vétérinaires, les populations de chat sont bien moins nombreuses, stérilisées et en bonne santé ».
Cette année avec la Covid-19, la situation s’est compliquée. Les stérilisations, hors procédure d’urgence, n’ont pas pu se faire et de nombreux chatons attendent une adoption. A cela, il s’est ajouté une baisse des adoptions estivales : « souvent l’été, des vacanciers nourrissent les chatons et nous sollicitent pour les attraper et les sociabiliser afin de les adopter. Plusieurs d’entre eux prennent ainsi l’avion ou le bateau pour une nouvelle vie dans un foyer attentionné. Bien souvent, ces personnes aident l’association pour financer la stérilisation de la maman ». Mais cette année avec la baisse de la fréquentation estivale moins d’adoptions et l’association appelle au secours ! : « Nous avons besoin de bénévoles, même 1 heure par semaine. Des familles d’accueil et des nourrisseurs mais pas seulement. Nous confectionnons également des cartes de Noël, des vêtements en tricot ou des porte-clés en tissu afin de récolter des fonds pour l’association ».
Et là aussi le Covid-19 a joué les troubles fêtes et les bénévoles n’ont pas pu comme ils ont l’habitude de le faire organiser des soirées dansantes, avoir un stand sur les foires, participer à des vide-greniers, organiser des lotos ou des collectes de croquettes dans les supermarchés : « nous n’avons plus aucun moyen pour financer les nourrissages et les soins vétérinaires en raison des restrictions sanitaires qui limitent nos récoltes de fonds et de denrées. Heureusement, certaines communes, celles de L’Isula et de Monticellu, ont contractualisé un partenariat avec la Fondation 30 Millions d’Amis pour la stérilisation. C’est une avancée énorme qui nous donne du baume au cœur et nous encourage dans notre démarche pour le bien-être animal. Nous pouvons également compter sur les particuliers qui se mobilisent comme c’est le cas à San Ambroggio où une collecte permanente est mise en place à la supérette, ou encore le village de Pigna où tous les habitants sont adhérents de l'association. Ils font un travail formidable ! Et les entreprises qui nous aident tels que les supermarchés et bien évidemment l’animalerie qui nous accueille aujourd’hui. Malgré toutes les bonnes volontés, face aux difficultés, nous envisageons de réduire notre territoire d’intervention et faisant appel à la mobilisation dans le rural ».
Cependant Danielle rappelle que : « Adopter un chat, c’est un engagement pour de nombreuses années. C’est aussi un coût pour l’adoptant car il doit stériliser et vacciner son animal. C’est une décision à prendre après mure réflexion. Mais c’est tellement de bonheur ! ».
Les vertus de la ronronthérapie n’étant plus à prouver, laissez-vous séduire par l’une de ces magnifiques créatures. L’association propose également à l’adoption de jeunes chats d’environ 6 mois déjà stérilisés et vaccinés par l’association et aussi des seniors. L’adhésion à l’association est de 20 euros. Un petit geste pour les soutenir.
En attendant de trouver une famille aimante, les chatons sont recueillis par des familles d’accueil qui les soignent, les nourrissent et les sociabilisent.
Danielle Perno, la présidente de l’association, précise « Les famille d’accueil ont pour mission de préparer les petits chats sauvages à l’adoption et de les habituer à vivre en famille et en intérieur. Après quelques semaines de soins, les chatons s’ils ne sont pas adoptés sont récupérés par l’association, c’est un engagement ferme pris avec les familles d’accueil ».
Grâce à ses bénévoles, l’association, créée en 2013, a mis en place des abris et des sites de nourrissage : « L’objectif est d’assurer une cohabitation harmonieuse entre les humains et les chats. Avec le suivi que nous réalisons en partenariat avec les vétérinaires, les populations de chat sont bien moins nombreuses, stérilisées et en bonne santé ».
Cette année avec la Covid-19, la situation s’est compliquée. Les stérilisations, hors procédure d’urgence, n’ont pas pu se faire et de nombreux chatons attendent une adoption. A cela, il s’est ajouté une baisse des adoptions estivales : « souvent l’été, des vacanciers nourrissent les chatons et nous sollicitent pour les attraper et les sociabiliser afin de les adopter. Plusieurs d’entre eux prennent ainsi l’avion ou le bateau pour une nouvelle vie dans un foyer attentionné. Bien souvent, ces personnes aident l’association pour financer la stérilisation de la maman ». Mais cette année avec la baisse de la fréquentation estivale moins d’adoptions et l’association appelle au secours ! : « Nous avons besoin de bénévoles, même 1 heure par semaine. Des familles d’accueil et des nourrisseurs mais pas seulement. Nous confectionnons également des cartes de Noël, des vêtements en tricot ou des porte-clés en tissu afin de récolter des fonds pour l’association ».
Et là aussi le Covid-19 a joué les troubles fêtes et les bénévoles n’ont pas pu comme ils ont l’habitude de le faire organiser des soirées dansantes, avoir un stand sur les foires, participer à des vide-greniers, organiser des lotos ou des collectes de croquettes dans les supermarchés : « nous n’avons plus aucun moyen pour financer les nourrissages et les soins vétérinaires en raison des restrictions sanitaires qui limitent nos récoltes de fonds et de denrées. Heureusement, certaines communes, celles de L’Isula et de Monticellu, ont contractualisé un partenariat avec la Fondation 30 Millions d’Amis pour la stérilisation. C’est une avancée énorme qui nous donne du baume au cœur et nous encourage dans notre démarche pour le bien-être animal. Nous pouvons également compter sur les particuliers qui se mobilisent comme c’est le cas à San Ambroggio où une collecte permanente est mise en place à la supérette, ou encore le village de Pigna où tous les habitants sont adhérents de l'association. Ils font un travail formidable ! Et les entreprises qui nous aident tels que les supermarchés et bien évidemment l’animalerie qui nous accueille aujourd’hui. Malgré toutes les bonnes volontés, face aux difficultés, nous envisageons de réduire notre territoire d’intervention et faisant appel à la mobilisation dans le rural ».
Cependant Danielle rappelle que : « Adopter un chat, c’est un engagement pour de nombreuses années. C’est aussi un coût pour l’adoptant car il doit stériliser et vacciner son animal. C’est une décision à prendre après mure réflexion. Mais c’est tellement de bonheur ! ».
Les vertus de la ronronthérapie n’étant plus à prouver, laissez-vous séduire par l’une de ces magnifiques créatures. L’association propose également à l’adoption de jeunes chats d’environ 6 mois déjà stérilisés et vaccinés par l’association et aussi des seniors. L’adhésion à l’association est de 20 euros. Un petit geste pour les soutenir.
En photo, Danielle Perno, présidente de l'association peut compter sur le dynamisme des bénévoles comme Roger qui prends en charge les sites de nourrissage du port de L'Ile-Rousse
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