La grosse mer qui a agité les fonds au large de La Marana ont permis à notre ami plongeur et photographe Stéphan Le Gallais de retrouver les restes de du cargo le Champagne.
Le Champagne ?
Il a été saisi le 17 Décembre 1942 par les Allemands à Marseille et versé à Mittelmeer Reederi (organisme chargé de gérer les navires français saisis en Méditerranée et naviguait pour le compte du Reich) sous le code Trapez 1.
Le 24 Septembre 1943 le Champagne qui pare dans les eaux du Nord de l'Île est atteint par deux torpilles tirées par le sous-marin anglais Dzik à quelques milles dans le sud-est de Bastia.Il parvient à s’échouer sur un banc de sable pour ne pas couler devant la Marana.
Trois jours plusle HMS Uproar lui loge encore une torpille dans la coque.
L'histoire raconte que, après guerre, les Bastiais allaient chercher du carburant sur l’épave, jusqu’à ce quelle soit en partie ferraillée.
Et au fil du temps les restes de l'épave avaient disparus.
Aujourd'hui ils sont de nouveaux visibles.
Stéphan Le Gallais, qui aime à traquer les épaves de Corse, a ramené ces images. Dans le lot il a ajouté une photo, à peine jaunie, par le temps montrant le torpillage du navire.
Aujourd'hui il lance un appel à tous ceux possèderaient des documents de cette époque.
www.isulasub.com
Le Champagne ?
Il a été saisi le 17 Décembre 1942 par les Allemands à Marseille et versé à Mittelmeer Reederi (organisme chargé de gérer les navires français saisis en Méditerranée et naviguait pour le compte du Reich) sous le code Trapez 1.
Le 24 Septembre 1943 le Champagne qui pare dans les eaux du Nord de l'Île est atteint par deux torpilles tirées par le sous-marin anglais Dzik à quelques milles dans le sud-est de Bastia.Il parvient à s’échouer sur un banc de sable pour ne pas couler devant la Marana.
Trois jours plusle HMS Uproar lui loge encore une torpille dans la coque.
L'histoire raconte que, après guerre, les Bastiais allaient chercher du carburant sur l’épave, jusqu’à ce quelle soit en partie ferraillée.
Et au fil du temps les restes de l'épave avaient disparus.
Aujourd'hui ils sont de nouveaux visibles.
Stéphan Le Gallais, qui aime à traquer les épaves de Corse, a ramené ces images. Dans le lot il a ajouté une photo, à peine jaunie, par le temps montrant le torpillage du navire.
Aujourd'hui il lance un appel à tous ceux possèderaient des documents de cette époque.
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