Au cours de cette séance, s'est déroulée l'élection du bureau du Conseil de Territoires, qui a porté à la présidence José Filippi.
Le parti compte 55 délégués dans les régions et micro-régions qui composent la Corse. Le but de ces conseillers sera d'être à l'écoute des problématiques au sein de leurs territoires ce qui permettra d'affiner le projet qui sera présenté en décembre 2015.
Ce conseil sera donc un sorte de parlement interne au parti, qui viendrait, pour reprendre les mots de son nouveau président, "parachever la structuration d'Inseme Per a Corsica, une concrétisation de l'essence démocratique du mouvement et de son encrage territorial."
Le ton a aussi été donné quant à la revitalisation du groupement Femu A Corsica. Selon Jean-Félix Acquaviva, secrétaire général d'Inseme, "celle-ci dépendra, d'abord de la restructuration des différents mouvements qui l'a composent pour permettre, outre le groupe à l'assemblé de Corse, une collaboration sur le terrain mieux organisée."
Femu A Corsica ainsi renforcé se veut être une alternative forte, face à la gauche et la droite, et le moteur du rassemblement des nationalistes.
Interrogé sur l'hypothèse de listes communes pour les élections de décembre, Jean-Félix Acquaviva renvoi à l'échéance du 27 juin prochain pour le partenariat de Femu.
En ce qui concerne d'autres partis, il faudra que ceux-ci rejoignent la vision du parti concernant la politique à amener à la Corse, qu'ils soutiennent les " revendications fondamentales" d'Inseme et qu'ils appliquent "une éthique irréprochable concernant le clientélisme et les collusions".
Le parti compte 55 délégués dans les régions et micro-régions qui composent la Corse. Le but de ces conseillers sera d'être à l'écoute des problématiques au sein de leurs territoires ce qui permettra d'affiner le projet qui sera présenté en décembre 2015.
Ce conseil sera donc un sorte de parlement interne au parti, qui viendrait, pour reprendre les mots de son nouveau président, "parachever la structuration d'Inseme Per a Corsica, une concrétisation de l'essence démocratique du mouvement et de son encrage territorial."
Le ton a aussi été donné quant à la revitalisation du groupement Femu A Corsica. Selon Jean-Félix Acquaviva, secrétaire général d'Inseme, "celle-ci dépendra, d'abord de la restructuration des différents mouvements qui l'a composent pour permettre, outre le groupe à l'assemblé de Corse, une collaboration sur le terrain mieux organisée."
Femu A Corsica ainsi renforcé se veut être une alternative forte, face à la gauche et la droite, et le moteur du rassemblement des nationalistes.
Interrogé sur l'hypothèse de listes communes pour les élections de décembre, Jean-Félix Acquaviva renvoi à l'échéance du 27 juin prochain pour le partenariat de Femu.
En ce qui concerne d'autres partis, il faudra que ceux-ci rejoignent la vision du parti concernant la politique à amener à la Corse, qu'ils soutiennent les " revendications fondamentales" d'Inseme et qu'ils appliquent "une éthique irréprochable concernant le clientélisme et les collusions".