Anthony Bressy a créé en début d'année Influenci, une société de communication qui veille sur la E-reputation des entreprises.
- C'est quoi exactement la e-reputation ?
- C'est quoi exactement la e-reputation ? Les réseaux sociaux sont devenus la nouvelle place du village. Tout se dit, tout se commente. Les consommateurs exposent leur mécontentement sur Facebook, Twitter et Instagram, cela peut faire mal à la réputation de l’entreprise si l’on en tient pas compte. Il y a également le problème des fausses informations, et les risques qui pèsent sur les entreprises ne sont pas les mêmes qu'hier. La e-réputation est l'un des enjeux de demain.
- En Corse, qui fait appel à Influenci ?
- On pense souvent que seules les grandes entreprises sont victimes mais ce n'est pas vrai. L'enjeu de la e-réputation concerne tous les acteurs économiques et publics. Nous avons de plus en plus d'entreprises locales qui font appel à nous, pour construire une image de marque, pour se faire connaitre et pour anticiper d'éventuelles crises de réputation. Notamment dans le BTP où la concurrence est forte sur l'île et les nombreux enjeux environnementaux et sociaux peuvent être un puissant générateur de crise. De fausses informations peuvent parfois signer l'arrêt d'un projet de manière injuste.
- Concrètement comment surveillez-vous la réputation de vos clients ?
- Nous venons de signer un partenariat avec Visibrain, le numéro 1 français de la veille stratégique sur les réseaux sociaux et le web. C'est-à-dire que notre partenaire à accès à certaines données de Facebook, Twitter et Instagram. Grâce à cet accès privilégié, nous sommes alertés lorsque des messages à risque concernant nos clients sont postés. Par la suite nous analysons ces messages et déployons nos équipes pour définir une stratégie de communication et assurer sa mise en oeuvre. Nous agissons donc en deux phases, l'anticipation, pour conseiller et éviter les crises - et la riposte.
- Pendant le confinement a-t-on fait plus appel à vous ?
-Oui, pour de la communication liée à la pandémie, avec des entreprises qui se sont engagées et ont souhaité démontrer leurs valeurs de solidarité. Mais aussi pour opérer une transformation numérique comme le passage au e-commerce, et depuis quelques jours pour la préparation de la saison touristique avec pour objectif de viser, en l'absence de touristes, un public plus local. De plus, je pense que le confinement a induit une vrai prise de conscience sur l'importance du numérique puisqu'il est aujourd'hui le seul lien avec le client et un levier essentiel pour leur développement.
- C'est quoi exactement la e-reputation ? Les réseaux sociaux sont devenus la nouvelle place du village. Tout se dit, tout se commente. Les consommateurs exposent leur mécontentement sur Facebook, Twitter et Instagram, cela peut faire mal à la réputation de l’entreprise si l’on en tient pas compte. Il y a également le problème des fausses informations, et les risques qui pèsent sur les entreprises ne sont pas les mêmes qu'hier. La e-réputation est l'un des enjeux de demain.
- En Corse, qui fait appel à Influenci ?
- On pense souvent que seules les grandes entreprises sont victimes mais ce n'est pas vrai. L'enjeu de la e-réputation concerne tous les acteurs économiques et publics. Nous avons de plus en plus d'entreprises locales qui font appel à nous, pour construire une image de marque, pour se faire connaitre et pour anticiper d'éventuelles crises de réputation. Notamment dans le BTP où la concurrence est forte sur l'île et les nombreux enjeux environnementaux et sociaux peuvent être un puissant générateur de crise. De fausses informations peuvent parfois signer l'arrêt d'un projet de manière injuste.
- Concrètement comment surveillez-vous la réputation de vos clients ?
- Nous venons de signer un partenariat avec Visibrain, le numéro 1 français de la veille stratégique sur les réseaux sociaux et le web. C'est-à-dire que notre partenaire à accès à certaines données de Facebook, Twitter et Instagram. Grâce à cet accès privilégié, nous sommes alertés lorsque des messages à risque concernant nos clients sont postés. Par la suite nous analysons ces messages et déployons nos équipes pour définir une stratégie de communication et assurer sa mise en oeuvre. Nous agissons donc en deux phases, l'anticipation, pour conseiller et éviter les crises - et la riposte.
- Pendant le confinement a-t-on fait plus appel à vous ?
-Oui, pour de la communication liée à la pandémie, avec des entreprises qui se sont engagées et ont souhaité démontrer leurs valeurs de solidarité. Mais aussi pour opérer une transformation numérique comme le passage au e-commerce, et depuis quelques jours pour la préparation de la saison touristique avec pour objectif de viser, en l'absence de touristes, un public plus local. De plus, je pense que le confinement a induit une vrai prise de conscience sur l'importance du numérique puisqu'il est aujourd'hui le seul lien avec le client et un levier essentiel pour leur développement.
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