Crédit photo Base aérienne Ventiseri-Solenzara
Cela fait 50 ans que l’hélicoptère Puma a été apprivoisé par l’armée française. Utilisé pour des missions de recherche, d’évacuation sanitaire, ou encore de transport de troupes, le SA-330 Puma a réalisé son premier vol d’essai, le 15 avril 1965 à Marignane. Il est entré en service le 2 mai 1974 au sein de l’armée de l’Air à Solenzara qui l’utilise encore. Depuis cette date cet appareil a joué un rôle essentiel dans les opérations aéroportées françaises, participant activement à des missions variées telles que Harmattan, Chammal, Épervier ou Barkhane. "Sa polyvalence et sa fiabilité en ont fait un pilier des opérations de secours, que ce soit en mer, sur terre, en métropole ou en outre-mer." explique dans une note le ministère des Armées.
Le Puma affiche un rayon d’action de 500 km. S’il n’a pas les lignes d’un félin, il est tout aussi puissant. Doté de deux turbomoteurs Turbomeca développant une puissance unitaire de 1 300 ch, il affiche une vitesse maximale de 300 km/h. Sa capacité d’emport est de 18 personnes. Pour faciliter l’embarquement et le débarquement, l’appareil est doté d’une porte coulissante de chaque côté de la cellule. Et pour la petite histoire, seule la porte pilote du côté droit peut s’ouvrir, celle côté gauche est uniquement largable en cas d’évacuation d’urgence.
L’Armée de l’air dispose encore de 18 exemplaires. Ils sont répartis entre les bases aériennes de Cayenne (Guyane française), Nouméa (Nouvelle-Calédonie), Djibouti, Villacoublay en région parisienne et Solenzara (Corse). Devenus coûteux à maintenir en condition opérationnelle, les Puma sont progressivement retirés du service et remplacés par le Caracal. Leur retrait complet doit être effectif à l’horizon 2028.
Le Puma affiche un rayon d’action de 500 km. S’il n’a pas les lignes d’un félin, il est tout aussi puissant. Doté de deux turbomoteurs Turbomeca développant une puissance unitaire de 1 300 ch, il affiche une vitesse maximale de 300 km/h. Sa capacité d’emport est de 18 personnes. Pour faciliter l’embarquement et le débarquement, l’appareil est doté d’une porte coulissante de chaque côté de la cellule. Et pour la petite histoire, seule la porte pilote du côté droit peut s’ouvrir, celle côté gauche est uniquement largable en cas d’évacuation d’urgence.
L’Armée de l’air dispose encore de 18 exemplaires. Ils sont répartis entre les bases aériennes de Cayenne (Guyane française), Nouméa (Nouvelle-Calédonie), Djibouti, Villacoublay en région parisienne et Solenzara (Corse). Devenus coûteux à maintenir en condition opérationnelle, les Puma sont progressivement retirés du service et remplacés par le Caracal. Leur retrait complet doit être effectif à l’horizon 2028.
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