La station de Montesoro, a enregistré un dépassement du seuil d'alerte, fixé à 80 μg/m3, le mercredi 3 janvier, soulignant l'impact significatif de l'incendie sur la qualité de l'air à Bastia. Le feu, toujours en cours, est attisé par les vents qui propagent le panache de fumée sur l'agglomération bastiaise.
Les autorités redoutent un dépassement des seuils d'information et de recommandation pour la journée de jeudi 4 janvier, en fonction de l'évolution de l'incendie. Les habitants des quartiers sud de Bastia sont invités par Qualit'air Corse à la plus grande prudence, en particulier les personnes sensibles telles que les enfants, les personnes âgées, et celles souffrant de problèmes respiratoires.
Qualit'air Corse recommande de suivre attentivement les informations diffusées par les services de santé et de respecter les consignes de protection individuelle en cas de dépassement des seuils.
Les autorités redoutent un dépassement des seuils d'information et de recommandation pour la journée de jeudi 4 janvier, en fonction de l'évolution de l'incendie. Les habitants des quartiers sud de Bastia sont invités par Qualit'air Corse à la plus grande prudence, en particulier les personnes sensibles telles que les enfants, les personnes âgées, et celles souffrant de problèmes respiratoires.
Qualit'air Corse recommande de suivre attentivement les informations diffusées par les services de santé et de respecter les consignes de protection individuelle en cas de dépassement des seuils.
Les reccomandations
Pour l’ensemble de la population :
• Limiter l’usage des véhicules à moteur thermique ;
• Privilégier, pour les trajets courts, les modes de déplacement non polluants (marche, vélo, ...) ;
• Différer si possible les déplacements internes aux agglomérations ;
• Pratiquer si possible du co-voiturage ou emprunter les réseaux de transport en commun ;
• Réduire sa vitesse de 20 km/h hors agglomération ;
• Limiter les travaux nécessitant l’emploi de solvants organiques ou de matières à base de solvants ;
• Eviter d’allumer des feux d’agréments ou barbecue.
Pour le secteur des transports :
• Limiter les transports routiers de transit ;
• Permuter le fonctionnement des moteurs des navires du fioul lourd au fioul domestique ;
• Réduire la production électrique à quai des navires ;
• Limiter le temps de roulage des avions.
Pour le secteur agricole :
• Ne pas réaliser d’écobuage (dérogations prévues dans l’arrêté préfectoral d’emploi du feu) ;
• Reporter les épandages agricoles d’engrais.
Pour les émetteurs industriels :
• Stabiliser et réduire les émissions à l’atmosphère de composés organiques volatiles (COV) ou
oxydes d’azote (NOx) ;
• Limiter les émissions de particules fines et de NOx.
Pour l’ensemble de la population :
• Limiter l’usage des véhicules à moteur thermique ;
• Privilégier, pour les trajets courts, les modes de déplacement non polluants (marche, vélo, ...) ;
• Différer si possible les déplacements internes aux agglomérations ;
• Pratiquer si possible du co-voiturage ou emprunter les réseaux de transport en commun ;
• Réduire sa vitesse de 20 km/h hors agglomération ;
• Limiter les travaux nécessitant l’emploi de solvants organiques ou de matières à base de solvants ;
• Eviter d’allumer des feux d’agréments ou barbecue.
Pour le secteur des transports :
• Limiter les transports routiers de transit ;
• Permuter le fonctionnement des moteurs des navires du fioul lourd au fioul domestique ;
• Réduire la production électrique à quai des navires ;
• Limiter le temps de roulage des avions.
Pour le secteur agricole :
• Ne pas réaliser d’écobuage (dérogations prévues dans l’arrêté préfectoral d’emploi du feu) ;
• Reporter les épandages agricoles d’engrais.
Pour les émetteurs industriels :
• Stabiliser et réduire les émissions à l’atmosphère de composés organiques volatiles (COV) ou
oxydes d’azote (NOx) ;
• Limiter les émissions de particules fines et de NOx.
Photo Jean-Michel Piccerelle
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