Le match
Le GFCA est passé à coté d'un superbe exploit, dimanche, sur la pelouse du stade Louis II où la formation de Jean-Michel Cavalli qui a mené deux fois au score puis qui a réussi à tenir tête à l'équipe de Claudio Ranieri jusqu'à quelques secondes de la fin du temps additionnel a laissé, finalement, son adversaire revenir à sa hauteur.
Dans un ultime sursaut, en effet, Monaco a réussi à rétablir un équilibre qui semblait encore très improbable à un quart d'heure du terme de la rencontre.
En fait on s'est longtemps demandé comment Monaco, qui avait encaissé un premier but après le premier quart d'heure de jeu et qui concéda le second à un peu moins d'un quart d'heure de la fin, allait pouvoir s'en sortir.
Mais les monégasques ont des ressources que les ajacciens n'ont pas encore réussi à concentrer en fin de partie comme ce fut encore, récemment, le cas à Dijon. C'est bien dommage pour l'équipe de Jean-Michel Cavalli.
Le public
Un peu plus de 5 000 spectateurs ont assisté incrédules à l'évolution du score en faveur du GFCA. A 2 à 0 on se serait cru à Sainte-Devote. Les monégasques reprirent un peu du poil de la bête quand Germain s'en alla réduire la marque. Mais jusqu'au bout, le public de la Principauté a craint le pire pour son équipe.
L'arbitre
Six cartons jaunes ( deux du côté des Monégasques et quatre pour les visiteurs) : M. Fautrel n'a pas hésité à mettre la main à la poche pour calmer les ardeurs des protagonistes, surtout sur la fin quand Monaco poussait et qu'Ajaccio faisait de la résistance.
Le GFCA
Les partenaires de Louis Poggi doivent toujours se demander comment ils ont bien pu laisser filer ce succès qui leur tendait le bras au stade Louis II. Deux à zéro à un peu moins d'un quart d'heure et 2 à 1 à 30 secondes du coup de sifflet : ce n'est pas tous les jours que les joueurs de Michel Cavalli auront de telles opportunités de récolter des points. Samedi soir, ils n'en ont pas gagné un. Non, ils en ont perdu 2.
L'adversaire
Un budget de plus de 20 millions d'euros et déjà une place de leader : Les ambitions des locaux sont clairement affichées. Mais ce n'est pas parce que l'on peut mettre indéfiniment la main à la poche que l'objectif sera atteint. Le GFCA de Cavalli avec ses petits 5 millions d'euros a été à deux doigts d'en faire la plus éclatante démonstration. Dès lors Monaco et Ranieri ont un besoin urgent de remettre leur ouvrage sur leur métier. Il y encore quelques équipes qui comme le GFCA ont autre chose que leur argent à faire prévaloir.
Le bilan
Un point de gagné ? Ou deux de perdus ? Nous vous avons donné notre sentiment. Il n'en demeure pas moins qu'il n'y a pas beaucoup d'équipes qui partiront du Louis II avec quelque point dans leur escarcelle. Le GFCA l'a fait. Mais si Ajaccio veut s'extraire des profondeurs du classement il faudra bien qu'il apprenne rapidement comment "tenir" un score… Si notre mémoire ne nous joue pas des tours c'est le 5e point qu'il a perdu de la sorte dimanche à Monaco. Du coup la formation corse est toujours cloué à la 18e place.
Et vendredi c'est autre grosse cylindrée, Nantes en l'occurrence, qui déboule sur le Mezzavia nouveau . Et là, il ne faudra pas se rater.
Le GFCA est passé à coté d'un superbe exploit, dimanche, sur la pelouse du stade Louis II où la formation de Jean-Michel Cavalli qui a mené deux fois au score puis qui a réussi à tenir tête à l'équipe de Claudio Ranieri jusqu'à quelques secondes de la fin du temps additionnel a laissé, finalement, son adversaire revenir à sa hauteur.
Dans un ultime sursaut, en effet, Monaco a réussi à rétablir un équilibre qui semblait encore très improbable à un quart d'heure du terme de la rencontre.
En fait on s'est longtemps demandé comment Monaco, qui avait encaissé un premier but après le premier quart d'heure de jeu et qui concéda le second à un peu moins d'un quart d'heure de la fin, allait pouvoir s'en sortir.
Mais les monégasques ont des ressources que les ajacciens n'ont pas encore réussi à concentrer en fin de partie comme ce fut encore, récemment, le cas à Dijon. C'est bien dommage pour l'équipe de Jean-Michel Cavalli.
Le public
Un peu plus de 5 000 spectateurs ont assisté incrédules à l'évolution du score en faveur du GFCA. A 2 à 0 on se serait cru à Sainte-Devote. Les monégasques reprirent un peu du poil de la bête quand Germain s'en alla réduire la marque. Mais jusqu'au bout, le public de la Principauté a craint le pire pour son équipe.
L'arbitre
Six cartons jaunes ( deux du côté des Monégasques et quatre pour les visiteurs) : M. Fautrel n'a pas hésité à mettre la main à la poche pour calmer les ardeurs des protagonistes, surtout sur la fin quand Monaco poussait et qu'Ajaccio faisait de la résistance.
Le GFCA
Les partenaires de Louis Poggi doivent toujours se demander comment ils ont bien pu laisser filer ce succès qui leur tendait le bras au stade Louis II. Deux à zéro à un peu moins d'un quart d'heure et 2 à 1 à 30 secondes du coup de sifflet : ce n'est pas tous les jours que les joueurs de Michel Cavalli auront de telles opportunités de récolter des points. Samedi soir, ils n'en ont pas gagné un. Non, ils en ont perdu 2.
L'adversaire
Un budget de plus de 20 millions d'euros et déjà une place de leader : Les ambitions des locaux sont clairement affichées. Mais ce n'est pas parce que l'on peut mettre indéfiniment la main à la poche que l'objectif sera atteint. Le GFCA de Cavalli avec ses petits 5 millions d'euros a été à deux doigts d'en faire la plus éclatante démonstration. Dès lors Monaco et Ranieri ont un besoin urgent de remettre leur ouvrage sur leur métier. Il y encore quelques équipes qui comme le GFCA ont autre chose que leur argent à faire prévaloir.
Le bilan
Un point de gagné ? Ou deux de perdus ? Nous vous avons donné notre sentiment. Il n'en demeure pas moins qu'il n'y a pas beaucoup d'équipes qui partiront du Louis II avec quelque point dans leur escarcelle. Le GFCA l'a fait. Mais si Ajaccio veut s'extraire des profondeurs du classement il faudra bien qu'il apprenne rapidement comment "tenir" un score… Si notre mémoire ne nous joue pas des tours c'est le 5e point qu'il a perdu de la sorte dimanche à Monaco. Du coup la formation corse est toujours cloué à la 18e place.
Et vendredi c'est autre grosse cylindrée, Nantes en l'occurrence, qui déboule sur le Mezzavia nouveau . Et là, il ne faudra pas se rater.