À l’Arsenale de la Citadelle de Bastia, deux artistes conjuguent leurs talents dans une exposition qui explore le lien entre terre et mer. Marie-Pierre Germain-Fortini, sculptrice, s’intéresse à la partie immergée du littoral avec des œuvres sculptées dans le marbre de Carrara. Anne Papalia, artiste plasticienne, aborde la partie émergée à travers des peintures et des dessins, en dialogue constant avec la nature et l’espace urbain.
L’exposition s’articule autour du paradigme de l’anthropocène, cette ère où l'activité humaine modifie profondément les équilibres naturels. Les œuvres de Marie-Pierre Germain-Fortini, notamment inspirées par les formations géologiques sous-marines du Cap Corse, plongent le spectateur dans les profondeurs de la mer. Ses sculptures blanches, réalisées en taille directe à partir de marbre, révèlent son lien intime avec cette matière qu’elle travaille dans son atelier à Mausoleo et à Pietrasanta, en Toscane.
Anne Papalia, diplômée de l’École des Beaux-Arts de Versailles et installée à Lucciana, expose une série de toiles qui interrogent la relation entre l’homme et la nature. Dans ses œuvres, elle aborde des enjeux contemporains tels que la fragilité des écosystèmes ou les transformations du territoire corse sous l’influence humaine. Parmi ses œuvres phares, un hommage à Alexander Cozens, artiste britannique du 18e siècle, avec une série de formes abstraites suspendues dans l’espace, invite à une déambulation poétique.
La rencontre entre les deux artistes remonte à plusieurs années, autour d’un projet de fresque artistique. Ce lien s’est poursuivi, débouchant aujourd’hui sur cette exposition commune. L’installation murale de huit mètres, conçue conjointement, illustre parfaitement cette collaboration artistique, créant une œuvre apaisante qui invite à la réflexion.
L’exposition est ouverte au public jusqu’au 29 octobre, du mardi au samedi, à l’Arsenale de la Citadelle de Bastia. Entrée libre.
L’exposition s’articule autour du paradigme de l’anthropocène, cette ère où l'activité humaine modifie profondément les équilibres naturels. Les œuvres de Marie-Pierre Germain-Fortini, notamment inspirées par les formations géologiques sous-marines du Cap Corse, plongent le spectateur dans les profondeurs de la mer. Ses sculptures blanches, réalisées en taille directe à partir de marbre, révèlent son lien intime avec cette matière qu’elle travaille dans son atelier à Mausoleo et à Pietrasanta, en Toscane.
Anne Papalia, diplômée de l’École des Beaux-Arts de Versailles et installée à Lucciana, expose une série de toiles qui interrogent la relation entre l’homme et la nature. Dans ses œuvres, elle aborde des enjeux contemporains tels que la fragilité des écosystèmes ou les transformations du territoire corse sous l’influence humaine. Parmi ses œuvres phares, un hommage à Alexander Cozens, artiste britannique du 18e siècle, avec une série de formes abstraites suspendues dans l’espace, invite à une déambulation poétique.
La rencontre entre les deux artistes remonte à plusieurs années, autour d’un projet de fresque artistique. Ce lien s’est poursuivi, débouchant aujourd’hui sur cette exposition commune. L’installation murale de huit mètres, conçue conjointement, illustre parfaitement cette collaboration artistique, créant une œuvre apaisante qui invite à la réflexion.
L’exposition est ouverte au public jusqu’au 29 octobre, du mardi au samedi, à l’Arsenale de la Citadelle de Bastia. Entrée libre.