eaujolais Basket, leader de Nationale 2, trop fort pour l'EFOB.
EFO Bastia – Beaujolais Basket 55-103 (25-29 ; 40-57 ; 48-81 ; 55 -103)
EFOB
Bouard 2, Dominici 8, Elouar 2, El Karch 3, Faesch 9, Filippi, Mallarino 2, Monciovi, Oyaggu, Pastor 10, Toublanc 5
Coach : Le Fur Jean-Philipe, assisté de Faesch Benjamin
Beaujolais
Bolia 14, Castard 3, Henriques 12, Jean-François 9, Macouangou 13, N'Diaye 17, Simon 18, Soumahoro 9, Valukonis 8
Coach : Hervé William, assisté Duthel Kevin
Le Cosec Pepito-Ferretti était plein pour cette affiche exceptionnelle pour le club insulaire. Les joueurs bastiais savaient à quel point ce match serait difficile face une grosse cylindrée à l'effectif riche de sept joueurs professionnels. Et il ne fallut que cinq minutes aux visiteurs pour combler leur handicap (-14) lié aux divisions d'écart.
D'entrée de jeu, les shooteurs de Beaujolais se mettaient en action et enchaînaient 5 tirs à trois points sur 6 tentatives. En face, les bastiais, pris par l'intensité et la densité physique de leurs adversaires peinaient à trouver des solutions.
« On aurait aimé les tenir à distance plus longtemps mais ils ont eu une adresse exceptionnelle », concédait l'entraîneur bastiais.
Les locaux ont bien tenté de résister lors du deuxième quart-temps mais l'écart se creusait inéluctablement. Physiquement dépassés, la deuxième période fut difficile, d'autant que l'adresse adverse ne baissait pas.
Le score final était sans appel (55-103).
Mais l'essentiel pour le club bastiais était ailleurs.
La fête a été belle au Cosec Pepito Ferretti, qui affichait salle comble. « Nous sommes heureux d'avoir pu présenter une aussi belle affiche à nos supporters. Remplir la salle, cette ambiance, c'est une très bonne expérience. On sent qu'une dynamique s'est créée autour du club. C'est très encourageant pour la suite », se réjouissait Benjamin Faesch, le président de l'EFOB.
Côté sportif, l'essentiel pour le coach bastiais ne résidait pas dans le résultat. « On savait la tâche ardue. Mais ça nous permet de nous confronter au haut niveau et de voir le long chemin qu'il nous reste à parcourir. La dimension athlétique, la rigueur tactique, la précision technique qu'il faut avoir contre ce genre d'équipe sont des invitations au travail. Nous avons d'autres objectifs pour cette fin de saison. » L'aventure Coupe de France se termine pour l'EFOB mais une nouvelle ère s'est peut-être ouverte.
EFOB
Bouard 2, Dominici 8, Elouar 2, El Karch 3, Faesch 9, Filippi, Mallarino 2, Monciovi, Oyaggu, Pastor 10, Toublanc 5
Coach : Le Fur Jean-Philipe, assisté de Faesch Benjamin
Beaujolais
Bolia 14, Castard 3, Henriques 12, Jean-François 9, Macouangou 13, N'Diaye 17, Simon 18, Soumahoro 9, Valukonis 8
Coach : Hervé William, assisté Duthel Kevin
Le Cosec Pepito-Ferretti était plein pour cette affiche exceptionnelle pour le club insulaire. Les joueurs bastiais savaient à quel point ce match serait difficile face une grosse cylindrée à l'effectif riche de sept joueurs professionnels. Et il ne fallut que cinq minutes aux visiteurs pour combler leur handicap (-14) lié aux divisions d'écart.
D'entrée de jeu, les shooteurs de Beaujolais se mettaient en action et enchaînaient 5 tirs à trois points sur 6 tentatives. En face, les bastiais, pris par l'intensité et la densité physique de leurs adversaires peinaient à trouver des solutions.
« On aurait aimé les tenir à distance plus longtemps mais ils ont eu une adresse exceptionnelle », concédait l'entraîneur bastiais.
Les locaux ont bien tenté de résister lors du deuxième quart-temps mais l'écart se creusait inéluctablement. Physiquement dépassés, la deuxième période fut difficile, d'autant que l'adresse adverse ne baissait pas.
Le score final était sans appel (55-103).
Mais l'essentiel pour le club bastiais était ailleurs.
La fête a été belle au Cosec Pepito Ferretti, qui affichait salle comble. « Nous sommes heureux d'avoir pu présenter une aussi belle affiche à nos supporters. Remplir la salle, cette ambiance, c'est une très bonne expérience. On sent qu'une dynamique s'est créée autour du club. C'est très encourageant pour la suite », se réjouissait Benjamin Faesch, le président de l'EFOB.
Côté sportif, l'essentiel pour le coach bastiais ne résidait pas dans le résultat. « On savait la tâche ardue. Mais ça nous permet de nous confronter au haut niveau et de voir le long chemin qu'il nous reste à parcourir. La dimension athlétique, la rigueur tactique, la précision technique qu'il faut avoir contre ce genre d'équipe sont des invitations au travail. Nous avons d'autres objectifs pour cette fin de saison. » L'aventure Coupe de France se termine pour l'EFOB mais une nouvelle ère s'est peut-être ouverte.
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