La prochaine exposition est pour ce dimanche. C'est Philippe Vincensini, né à Marseille en 1955, originaire de Rusiu en Castagniccia et qui vit et travaille en Haute-Corse, qui y exposera ses œuvres.
Le parcours de Philippe Vincensini, pour atypique qu’il soit, n’est pas en décalage avec les grands mouvements de la peinture contemporaine. Depuis plus de vingt ans, il affine son art au contact du dessin publicitaire, via Walt-Disney et l’impitoyable école de la peinture en lettres. Cette pratique quotidienne a transformé l’œil et la main du peintre en de redoutables instruments de mesure de l’espace.
Au bout du compte, son travail est aujourd’hui l’expression d’une personnalité d’artiste consciente et affirmée. Il y a quelque chose de Pollock et de Zao Wu Ki dans cette œuvre abstraite à la fois légère, sensuelle et puissante. Les toiles se fragmentent en autant de scènes que l'œil peut saisir, elles renvoient sans cesse à celui qui sait voir, une multitude d’images et de représentations.
Si Vincensini peint encore sur des supports en bois, c’est par attachement à ces années, pas si lointaines, où la récupération de panneaux publicitaires lui permettait d’exercer son art. Un matériau qu’il connaît bien, dont il dit qu’il est « cru », l’acrylique trouvant là un terrain d’adhérence idéal. Quand le support est lisse, son choix s’oriente plutôt vers l’huile et il ne rechigne plus désormais à peindre sur de véritables toiles.
Le parcours de Philippe Vincensini, pour atypique qu’il soit, n’est pas en décalage avec les grands mouvements de la peinture contemporaine. Depuis plus de vingt ans, il affine son art au contact du dessin publicitaire, via Walt-Disney et l’impitoyable école de la peinture en lettres. Cette pratique quotidienne a transformé l’œil et la main du peintre en de redoutables instruments de mesure de l’espace.
Au bout du compte, son travail est aujourd’hui l’expression d’une personnalité d’artiste consciente et affirmée. Il y a quelque chose de Pollock et de Zao Wu Ki dans cette œuvre abstraite à la fois légère, sensuelle et puissante. Les toiles se fragmentent en autant de scènes que l'œil peut saisir, elles renvoient sans cesse à celui qui sait voir, une multitude d’images et de représentations.
Si Vincensini peint encore sur des supports en bois, c’est par attachement à ces années, pas si lointaines, où la récupération de panneaux publicitaires lui permettait d’exercer son art. Un matériau qu’il connaît bien, dont il dit qu’il est « cru », l’acrylique trouvant là un terrain d’adhérence idéal. Quand le support est lisse, son choix s’oriente plutôt vers l’huile et il ne rechigne plus désormais à peindre sur de véritables toiles.