Ce samedi 22 juillet vers 10h30, le tout nouveau collectif de Pozzo, Per a salvezza di i paesi di Brando, s'est rassemblé au hameau de Pozzu pour exprimer son mécontentement. U Culletivu entendait de la sorte interpeller la mairie de Brando sur divers problèmes notamment sur l’incapacité pour les habitants de la commune de trouver un logement, sur la restriction de l’eau et sut le charroi dangereux et encombrant des poids lourds.
Des logements inaccessibles
Les maisons poussent ici comme des champignons, mais ce n'est pas pour autant que cela profite aux habitants de la commune. Certains n'hésitent pas à afficher leur ras-le-bol face à des prix trop chers pour la population, ainsi que l'expose Philippe Gambotti, membre de ce collectif
. “La commune est la cible d’une surconstruction de lotissements depuis des années. Et à cause des prix très élevés, qui peuvent monter jusqu’à plusieurs centaines de milliers d’euros, les habitants de Brando sont pénalisés au détriment d’une autre population qui n’est présente que quelques mois dans l'année”.
Et de ça U Culletivu n'en veut plus.
. “La commune est la cible d’une surconstruction de lotissements depuis des années. Et à cause des prix très élevés, qui peuvent monter jusqu’à plusieurs centaines de milliers d’euros, les habitants de Brando sont pénalisés au détriment d’une autre population qui n’est présente que quelques mois dans l'année”.
Et de ça U Culletivu n'en veut plus.
Des routes inadaptées et des camions trop pressés
L'étroitesse du réseau routier des paesi suprani di Brando est aussi montrée du doigt par U Culletivu.
“Nous constatons un danger sur la route en raison de ces à camions montant à vive allure tous les jours. Le problème c’est que nous avons un réseau routier trop étroit, ce qui crée des embouteillages et occasionne des accidents”, regrette Philippe Gambotti.
Il est vrai que les habitants du haut de la commune voient défiler, tous les jours, des camions qui essayent de se frayer un chemin à travers le hameau de Pozzo, ce qui rend la circulation automobile difficile.
Autre problème : la peur d’une urgence médicale.
“Ne parlons pas des secours qui voient leur circulation ralentie à cause des va-et-vient des poids lourds. Un jour, il y aura un drame c’est sûr ...”, s’indigne les membres de Per a salvezza di i paesi di Brando.
“Nous constatons un danger sur la route en raison de ces à camions montant à vive allure tous les jours. Le problème c’est que nous avons un réseau routier trop étroit, ce qui crée des embouteillages et occasionne des accidents”, regrette Philippe Gambotti.
Il est vrai que les habitants du haut de la commune voient défiler, tous les jours, des camions qui essayent de se frayer un chemin à travers le hameau de Pozzo, ce qui rend la circulation automobile difficile.
Autre problème : la peur d’une urgence médicale.
“Ne parlons pas des secours qui voient leur circulation ralentie à cause des va-et-vient des poids lourds. Un jour, il y aura un drame c’est sûr ...”, s’indigne les membres de Per a salvezza di i paesi di Brando.
L’eau source de problème à Brando
Dernier pont et non des moindres soulevé par U Culletivu : l’eau ne coulerait pas à flots dans certains secteurs de la commune. Une situation que Philippe Gambotti et les membres du collectif ont du mal à comprendre. “Pas plus tard que l'autre soir, on nous a coupé l’eau en raison de la restriction. Il y a un an, un arrêté municipal interdisant l'alimentation en eau des piscines a été, lui aussi, pris. Mais en parallèle à tout cela, des lotissements sont construits. Nous avons les mêmes réseaux depuis une trentaine d'années, or, aujourd’hui la population a augmenté. Nous ne pouvons plus accepter cela”.
Le collectif aurait essayé de se faire entendre auprès de la mairie, en vain. “Nous avons envoyé une demande officielle pour rencontrer le maire afin de lui exposer tous ces problèmes, mais il n’a même pas daigné nous recevoir. Nous avons compris que la porte du dialogue était fermée”, explique Philippe Gambotti. Une porte qui pourrait s’ouvrir au lendemain avec ce rassemblement “pacifique” et “à but informatif”.
Le collectif aurait essayé de se faire entendre auprès de la mairie, en vain. “Nous avons envoyé une demande officielle pour rencontrer le maire afin de lui exposer tous ces problèmes, mais il n’a même pas daigné nous recevoir. Nous avons compris que la porte du dialogue était fermée”, explique Philippe Gambotti. Une porte qui pourrait s’ouvrir au lendemain avec ce rassemblement “pacifique” et “à but informatif”.