
Comme toujours en pareille circonstance les gendarmes ont procédé aux contrôles d'alcoolémie et de dépistage de stupéfiants sur le conducteur du véhicule renversé.
Premier constat : homme conduisait avec 1,09 mg d'alcool par litres d'air expiré.
Poursuivant leurs investigations sur le véhicule il découvrait des cartouches de chasse et "trois grives fraîchement abattues" comme il est écrit sur la page Facebook de la Gendarmerie de Corse, "alors que leur chasse est interdite depuis le 20 Février".
Le début de matinée s'est achevée par deux procédures établies à l'encontre du conducteur : la première pour "conduite sous l'emprise d'un état alcoolique" et la seconde pour "braconnage".
"Une pierre, deux coups" donc pour les gendarmes.
Quant au conducteur il devra à l'avenir véritablement faire un choix : "boire ou conduire". Mais aussi se persuader que le braconnage peut coûter pour celui qui s'y adonne.
Premier constat : homme conduisait avec 1,09 mg d'alcool par litres d'air expiré.
Poursuivant leurs investigations sur le véhicule il découvrait des cartouches de chasse et "trois grives fraîchement abattues" comme il est écrit sur la page Facebook de la Gendarmerie de Corse, "alors que leur chasse est interdite depuis le 20 Février".
Le début de matinée s'est achevée par deux procédures établies à l'encontre du conducteur : la première pour "conduite sous l'emprise d'un état alcoolique" et la seconde pour "braconnage".
"Une pierre, deux coups" donc pour les gendarmes.
Quant au conducteur il devra à l'avenir véritablement faire un choix : "boire ou conduire". Mais aussi se persuader que le braconnage peut coûter pour celui qui s'y adonne.