Thierry Corpet « Raymond X », qui a exposé ses œuvres à Nice, Paris, sur l’Île de la Réunion ou encore Sofia s’est installé à Ajaccio où son œuvre écologiste, musicale et réaliste sera visible jusqu’au 29 octobre à l’Espace Diamant
Ce peintre et sculpteur qui met le chaos du monde au cœur de ses œuvres il s’est emparé pour cette expo d’un sujet grave qui est la dégradation de notre environnement et l’héritage pour les générations futures en y ajoutant son sentiment d’optimiste. Il se définit en effet comme « conscient du chaos dans lequel on vit, mais avec une approche optimiste ». Partant de la citation de Fernand Léger "Le Beau est partout" nous incitant à regarder autour de nous, Thierry Corpet observe et s'inspire des compositions "naturelles" réalisées par la houle sur notre littoral méditerranéen avec des objets manufacturés, déstructurés, usés , des morceaux de bois et autres rebus de notre mode de vie moderne qui sont pour lui une sorte de "happening" à l'esthétisme chaotique de fin du monde.
Inspiré du « pop art » et d’artistes tels qu’Andy Warhol ou Jackson Colloq, qui mettaient au cœur de leurs œuvres des éléments du quotidien, Thierry Corpet insère dans son art des logos, des pictogrammes, que tout le monde connaît, mêlés à des éléments de la nature. Traduction d’une dégradation devenue presque transparente et normalisée dans la conscience collective.
Avant tout écologiste, il se dégage également une certaine musicalité de l’œuvre de l’artiste, un sentiment de bien-être malgré le chaos représenté. Thierry Corpet se satisfait du sentiment provoqué : « je suis féru de musiques Rock et Jazz, je suis heureux que cela se ressente dans mon art », indique t-il, l’œil toujours vif. En utilisant la technique du cut-up, inventée par William Burroughs, Thierry Corpet propose restructure des éléments pour en faire des peintures, sa première passion, puis, plus récemment, des sculptures au travers de ses totems colorés.
Une exposition agréablement dérangeante, qui invite à réfléchir sur la dualité de notre monde : entre forces de la nature et monde moderne autocentré.
Ce peintre et sculpteur qui met le chaos du monde au cœur de ses œuvres il s’est emparé pour cette expo d’un sujet grave qui est la dégradation de notre environnement et l’héritage pour les générations futures en y ajoutant son sentiment d’optimiste. Il se définit en effet comme « conscient du chaos dans lequel on vit, mais avec une approche optimiste ». Partant de la citation de Fernand Léger "Le Beau est partout" nous incitant à regarder autour de nous, Thierry Corpet observe et s'inspire des compositions "naturelles" réalisées par la houle sur notre littoral méditerranéen avec des objets manufacturés, déstructurés, usés , des morceaux de bois et autres rebus de notre mode de vie moderne qui sont pour lui une sorte de "happening" à l'esthétisme chaotique de fin du monde.
Inspiré du « pop art » et d’artistes tels qu’Andy Warhol ou Jackson Colloq, qui mettaient au cœur de leurs œuvres des éléments du quotidien, Thierry Corpet insère dans son art des logos, des pictogrammes, que tout le monde connaît, mêlés à des éléments de la nature. Traduction d’une dégradation devenue presque transparente et normalisée dans la conscience collective.
Avant tout écologiste, il se dégage également une certaine musicalité de l’œuvre de l’artiste, un sentiment de bien-être malgré le chaos représenté. Thierry Corpet se satisfait du sentiment provoqué : « je suis féru de musiques Rock et Jazz, je suis heureux que cela se ressente dans mon art », indique t-il, l’œil toujours vif. En utilisant la technique du cut-up, inventée par William Burroughs, Thierry Corpet propose restructure des éléments pour en faire des peintures, sa première passion, puis, plus récemment, des sculptures au travers de ses totems colorés.
Une exposition agréablement dérangeante, qui invite à réfléchir sur la dualité de notre monde : entre forces de la nature et monde moderne autocentré.
L’artiste Thierry Corpet a été retenu dans le cadre d’un appel à candidatures lancé par le Service culturel de la Ville d’Ajaccio.