- L’objet de votre venue ?
- Il s’agit, pour moi, de présenter, bien sûr, mon exposition mais aussi et surtout d’aller à la rencontre du public ajaccien. J’aime beaucoup ce pays que j’ai découvert il y a très longtemps. La Corse est un très beau pays, elle a une âme, des difficultés, certes, mais ce n’est quelque chose de plat ! Il se passe toujours quelque chose. J’y retrouve un peu le Maroc mais pas la France. J’ai donc répondu avec plaisir à cette invitation.
- Parlez-nous de votre exposition ?
- C’est une petite exposition car j’ai de nombreuses toiles ailleurs mais c’est une dimension que j’apprécie beaucoup. Un autre aspect de mon travail, celui de faire plaisir aux autres, les gens sont contents et c’est l’occasion de revenir à la rencontre du public ajaccien. Des toiles, des peintures et de la lumière puisque je peins la Lumière. Ce qui éclate au grand jour dans la peinture, c'est la liberté...Peindre le monde.
- Vous faites allusion à une lumière. De quelle nature ?
- Spirituelle. Elle est tout ce que les anciens nous lèguent en partant. Ils nous laissent tous un peu de leur lumière. C’est une lumière que l’on ressent, que l’on perçoit, facile à capter mais imperceptible par les sens. J’essaie de la transmettre à travers mes œuvres, que ce soit les poésies ou la peinture.
- On vous qualifie d’humaniste. Quel regard portez-vous sur la société actuelle ?
- Elle manque de repères. Je ne me fais pas beaucoup d’illusions sur les hommes politiques actuels quels qu’ils soient. Il faut rester vigilant et revenir aux urnes. Je suis favorable au vote obligatoire. Les gens ne se déplacent pas et ce n’est pas bien.
- Vous êtes artiste-peintre et écrivain, qu’est-ce qui a votre préférence ?
- L’écriture, et plus particulièrement la poésie m’inspirent beaucoup. C’est la poésie qui m’a amené à la peinture. Et je vais, du reste, m’y consacré exclusivement en termes d’écritures. J’ai raconté assez de choses (rires). J’ai, en effet, commencé par des poèmes à l’âge de 20 ans alors que j’étais dans une prison militaire. J’écrivais des poèmes en cachette et c’est en sortant de cette galère que je les ai publiés. Puis j’ai pris goût et j’ai continué. La poésie, c’est un travail quotidien. C’est la recherche de la justesse des mots. Je compare la poésie aux mathématiques ou à la musique. On ne peut pas se tromper. C’est la musicalité des mots.
- Il s’agit, pour moi, de présenter, bien sûr, mon exposition mais aussi et surtout d’aller à la rencontre du public ajaccien. J’aime beaucoup ce pays que j’ai découvert il y a très longtemps. La Corse est un très beau pays, elle a une âme, des difficultés, certes, mais ce n’est quelque chose de plat ! Il se passe toujours quelque chose. J’y retrouve un peu le Maroc mais pas la France. J’ai donc répondu avec plaisir à cette invitation.
- Parlez-nous de votre exposition ?
- C’est une petite exposition car j’ai de nombreuses toiles ailleurs mais c’est une dimension que j’apprécie beaucoup. Un autre aspect de mon travail, celui de faire plaisir aux autres, les gens sont contents et c’est l’occasion de revenir à la rencontre du public ajaccien. Des toiles, des peintures et de la lumière puisque je peins la Lumière. Ce qui éclate au grand jour dans la peinture, c'est la liberté...Peindre le monde.
- Vous faites allusion à une lumière. De quelle nature ?
- Spirituelle. Elle est tout ce que les anciens nous lèguent en partant. Ils nous laissent tous un peu de leur lumière. C’est une lumière que l’on ressent, que l’on perçoit, facile à capter mais imperceptible par les sens. J’essaie de la transmettre à travers mes œuvres, que ce soit les poésies ou la peinture.
- On vous qualifie d’humaniste. Quel regard portez-vous sur la société actuelle ?
- Elle manque de repères. Je ne me fais pas beaucoup d’illusions sur les hommes politiques actuels quels qu’ils soient. Il faut rester vigilant et revenir aux urnes. Je suis favorable au vote obligatoire. Les gens ne se déplacent pas et ce n’est pas bien.
- Vous êtes artiste-peintre et écrivain, qu’est-ce qui a votre préférence ?
- L’écriture, et plus particulièrement la poésie m’inspirent beaucoup. C’est la poésie qui m’a amené à la peinture. Et je vais, du reste, m’y consacré exclusivement en termes d’écritures. J’ai raconté assez de choses (rires). J’ai, en effet, commencé par des poèmes à l’âge de 20 ans alors que j’étais dans une prison militaire. J’écrivais des poèmes en cachette et c’est en sortant de cette galère que je les ai publiés. Puis j’ai pris goût et j’ai continué. La poésie, c’est un travail quotidien. C’est la recherche de la justesse des mots. Je compare la poésie aux mathématiques ou à la musique. On ne peut pas se tromper. C’est la musicalité des mots.