L'association Musanostra accueille à Bastia l'écrivain mondialement reconnu, Roger Jon Ellory. Célèbre pour ses romans policiers à succès tels que Une saison pour les ombres, Témoins oculaires, et Au nord de la frontière, publiés chez Sonatine, Ellory est traduit dans 35 langues et a reçu de nombreux prix prestigieux.
Originaire de Birmingham, en Angleterre, Jon Ellory s'est imposé comme une figure incontournable du polar anglais, particulièrement apprécié en France depuis Seul le silence, élu meilleur roman noir par le Nouvel Obs en 2009. Ses intrigues captivantes, ancrées dans des réalités sociales poignantes, transportent souvent le lecteur dans une Amérique troublante.
Le rendez-vous est donné pour le 4 juillet à 18h30 dans les jardins du Musée de Bastia. Une séance de dédicaces suivra l'événement, avec une librairie sur place pour découvrir ou redécouvrir ses œuvres.
La soirée se poursuivra avec un concert intimiste animé par Nicolas Zallu et Cecè Guerrini, deux artistes passionnés par les mots et l'acoustique.
Pour ceux qui ne pourront pas être présents à Bastia, Roger Jon Ellory sera également disponible à Montemaggiore le 6 juin à 18h30.
« Voyage Onirique à la Rencontre de l’Univers » c'est un spectacle immersif, organisé dans des églises et cathédrales, combine une musique originale de détente et de méditation avec de magnifiques vidéos sur l’Univers et des tableaux animés réalisés par une artiste peintre utilisant des techniques innovantes comme le « pourring ».
La bande son et les images sont projetées sous forme de mapping sur les murs, le toit et dans la nef, créant une expérience visuelle et sonore spectaculaire. Un jeu de lumières multicolores en dégradé ajoute une ambiance chaleureuse à l'édifice.
Ce concept inédit en Corse, et également sur le continent, met en avant des talents locaux. Les premières dates sont déjà validées : Sisco, St Florent, Île Rousse, Pietrabugno, Lucciana, Corte et Patrimonio. Ne manquez pas cette occasion unique de plonger dans un voyage onirique au cœur de l’Univers.
La 17ème édition du Festival DISSIDANSE ITINÉRANCE se tiendra du 1er au 17 juillet dans quatre villes emblématiques de Corse : Aiacciu, Portivechju, Bastia et Marignana. Comme chaque année, le festival célèbre la diversité culturelle à travers des performances artistiques vibrantes et variées.
Sous le thème de la Méditerranée et des îles, le festival accueillera des compagnies et des artistes de renom venant d'Italie, du Maroc et des Canaries. Cette édition internationale s'ouvre également à l'Afrique, avec la participation de danseurs et chorégraphes du Togo, de la République Démocratique du Congo et du Sénégal.
Une soirée spéciale mettra à l'honneur deux compagnies de New York le 11 juillet au Mantinum à Bastia, offrant une fusion unique de styles et d'influences artistiques.
Dans le cadre du soutien à l'émergence chorégraphique, le festival accueille en résidence de création la Cie Bal di Là à Ajaccio ainsi que le jeune danseur insulaire Marien Mazzoni à Bastia, qui présentera son solo à Ajaccio et Bastia.
La soirée du 6 juillet à Bastia est organisée en partenariat avec le festival LEKTOS, enrichissant ainsi l'échange artistique et culturel entre les événements.
Comme toujours, l'accès au festival est GRATUIT, rendu possible grâce au soutien précieux de la Collectivité de Corse, de la DRAC de Corse, et des villes de Bastia, Aiacciu et Portivechju.
Le 6 juillet prochain, la Citadelle d’Ajaccio vibrera au rythme de « Storia di a Corsica in musiche », un concert apéro nustrale unique en son genre. Sous la direction artistique de Bertrand Cervera, violoniste soliste à l’orchestre national de France, cet événement promet une immersion musicale à travers les traditions et l'histoire de la Corse.
Ce concert apéro marque le coup d'envoi d'un nouveau festival d’automne en Pays d’Ajaccio, organisé par l’Office de Tourisme du Pays d’Ajaccio en collaboration avec la Ville d’Ajaccio. Il célèbre la richesse culturelle et musicale de l’île, offrant aux visiteurs et aux résidents une expérience artistique inoubliable au cœur de la cité impériale.
L’Office du Tourisme de l'Alta Rocca et la Communauté de Communes dévoilent leur nouvelle programmation estivale : A Strada di u Gustu. Cet événement invite à la rencontre du terroir, des patrimoines et de l'humain à travers la découverte des villages de caractère.
A Strada di u Gustu célèbre les richesses gastronomiques et culturelles de la région avec une série d'animations et d'ateliers conçus pour éveiller les sens et ravir les palais. Histoire, patrimoine, art et productions locales se marient pour offrir aux visiteurs et aux locaux une redécouverte de ce qui fait l'âme de l'Alta Rocca.
Un avant-goût du programme
Mercredi 19 juin - Visite Bergerie Plongez dans l'univers pastoral d'Amandine à Loreto di Tallano. Une marche de 4 km vous fera découvrir les essences locales, suivie d'une visite de la bergerie et de dégustations. Une immersion authentique dans la vie d'une exploitation régionale.
Mais ce n'est pas tout ! La programmation comprend également :
Inscription obligatoire
Pour participer, inscrivez-vous au 04 95 78 49 87 ou dans nos points d’information. Ne manquez pas cette occasion unique de découvrir et redécouvrir les trésors de l'Alta Rocca !
Le samedi 29 juin, l'association Tous pour Chacun vous invite à une journée dédiée aux jeux paralympiques et (presque) olympiques à Pietrosella, dans une ambiance de partage, de découverte et de solidarité.
Programme de la journée :
Les bénéfices de cette journée serviront à financer les projets de l'association, notamment l'initiative « Album pour tous ».
Pendant deux semaines, ces élèves auront l’occasion unique de plonger dans l’univers quotidien de la compagnie maritime. Accompagnés des 65 collaborateurs du siège de CORSICA linea, ils découvriront un large éventail de métiers et de services : directions supports (juridique, ressources humaines, achats, communication et marketing, armement), agences portuaires et métiers embarqués (officiers et marins à bord des navires à quai).
Le programme de stage mettra l’accent sur les transitions environnementales et numériques, qui sont au cœur des métiers de demain. Les stagiaires participeront à une fresque du climat pour se sensibiliser aux questions environnementales. En partenariat avec le centre de formation Aflokkat, ils bénéficieront également d’un atelier sur l’utilisation de l’intelligence artificielle en entreprise.
À l’issue de leur stage, les élèves devront présenter un exposé sur la manière dont l’intelligence artificielle peut stimuler la créativité et l’innovation au sein de CORSICA linea. Cette présentation permettra de mettre en lumière la diversité des métiers découverts et d’illustrer l’importance de l’innovation dans le secteur maritime.
Pierre-Antoine Villanova, Directeur général de CORSICA linea, souligne l’importance de cet engagement : "Nous sommes l’un des premiers employeurs et un acteur économique emblématique de la Corse. Il nous semblait évident de nous engager pleinement pour ces nouveaux stages de seconde. C’est une véritable opportunité pour les élèves de découvrir des métiers et de mieux comprendre le monde de l’entreprise. Leur orientation se décide de plus en plus tôt, il est donc crucial de les aider à faire des choix éclairés pour leur avenir professionnel. Ce sont nos collaborateurs de demain, et nous avons aussi beaucoup à apprendre de leur regard neuf et inspirant !"
Ces stages s’inscrivent dans une tradition d’engagement de CORSICA linea pour le développement de la filière maritime en Corse. La compagnie collabore avec le lycée maritime de Bastia, accueillant chaque année des élèves des classes de commerce/pêche et électromécanique pour un stage d’amarinage. Elle reçoit également des stagiaires en spécialités marine de commerce et mécanique, et promeut la création d’une filière de formation d’officiers en Corse.
En outre, CORSICA linea entretient un partenariat avec l’Académie de Corse. Des officiers et marins interviennent régulièrement auprès des collégiens et lycéens pour présenter la marine marchande et encourager l’orientation vers les métiers de la mer.
Dans un communiqué envoyé à la presse ce mercredi 12 juin, le Syndicat des Travailleurs Corses (STC) a vivement critiqué la récente décision du tribunal judiciaire de Paris concernant les élections des Très Petites Entreprises (TPE) de 2024. Selon le STC, cette décision représente une "honte" et constitue une atteinte grave aux principes de la démocratie sociale, en empêchant neuf organisations syndicales autonomes sur dix de participer à ces élections cruciales pour les travailleurs des petites entreprises.
Un processus pourtant validé par le Ministère du Travail
Le STC rappelle que la Direction Générale du Travail (DGT), relevant du Ministère du Travail, avait mené une étude approfondie des dossiers de candidature de ces neuf organisations syndicales. Toutes avaient été déclarées recevables, ayant rempli l’ensemble des critères légaux exigés pour participer aux élections TPE. En principe, cela aurait dû mettre fin à toute contestation.
Une attaque concertée des grandes confédérations syndicales
Cependant, les cinq grandes confédérations syndicales (CGT, FO, CFDT, CFTC et l’UNSA) ont mené une attaque massive et concertée contre ces dix organisations syndicales autonomes. Selon le STC, cette manœuvre visait à les éliminer du champ démocratique pour préserver leurs propres intérêts financiers. Le STC s’indigne également du fait que ces grandes confédérations, se trouvant en position de juges et de parties, ont bénéficié d’une audience où la rigueur judiciaire aurait été compromise par des juges complaisants.
Un déni de justice sociale
Pour le STC, cette situation constitue un véritable déni de justice sociale. "Qu’à cela ne tienne", réagit le STC. "Même si nous sommes des organisations syndicales autonomes, avec des origines et une histoire différente, nous comptons nous battre pour le pluralisme syndical et offrir aux électeurs un vrai choix d’alternative."
Recours à la justice nationale et internationale
Le STC et les autres organisations exclues entendent bien poursuivre la bataille sur le terrain juridique. Nombre d’entre elles ont déjà décidé de se pourvoir en cassation et comptent également saisir les instances internationales comme la Cour européenne des droits de l’homme et l’Organisation Internationale du Travail (OIT). Ils estiment que la justice française a violé effrontément la liberté syndicale, garantie par la Constitution, la Convention Européenne des Droits de l’Homme et les conventions 87 et 98 de l’OIT.
Une représentativité à acquérir sur le terrain
Le STC souligne que depuis 2008, la représentativité syndicale ne se décrète plus, mais s’acquiert élection après élection, à travers un travail de terrain minutieux. Selon eux, les grandes organisations syndicales, ne sachant plus accomplir ce travail de proximité, ont choisi d’éliminer la concurrence avant les élections. "Sans concurrents, il devient plus simple d’être élu", ironise le STC.
Un combat pour les valeurs fondamentales
Pour conclure, le STC estime révoltant que la justice française autorise une telle violation des valeurs et principes fondamentaux. Ils s’engagent à poursuivre leur combat jusqu’au bout pour rétablir la justice sociale, au bénéfice des salariés et des citoyens.