(Photo Marilyne Santi)
La plateforme MYRTE (Mission hYdrogène Renouvelable pour l’inTégration au réseau Electrique) a été inaugurée le 9 janvier 2012.
Le principe de Myrte est de stocker les énergies renouvelables : l'énergie solaire captée par des panneaux photovoltaïques est conservée sous forme d'hydrogène avant d'être retransformée en électricité injectée dans le réseau EDF quand cela est utile.
Ainsi, pendant la journée, lorsque la consommation est plus faible, l'électricité est convertie en hydrogène et oxygène. Puis, en soirée, quand la demande augmente, une pile à combustible fait l'opération en sens inverse. On vise une meilleure gestion et une stabilisation du réseau électrique.
La plateforme MYRTE est issue de l’engagement de trois partenaires, l’Université de Corse Pasquale Paoli, HELION, et le Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives.Ce projet est soutenu par la Collectivité Territoriale de Corse, l’Etat et l’Europe.
L’objectif de la plateforme MYRTE est de développer un système et une stratégie de pilotage visant à améliorer la gestion et la stabilisation du réseau électrique.
En effet, les réseaux électriques insulaires, non interconnectés, avec un fort taux d’intégration de sources renouvelables d’énergie nécessitent un dispositif permettant de gérer l’intermittence de celles-ci (régulation, stockage).
L’hydrogène, produit et stocké, permet de gérer les fluctuations de puissance des énergies renouvelables intermittentes intégrées dans le réseau.
Le principe de Myrte est de stocker les énergies renouvelables : l'énergie solaire captée par des panneaux photovoltaïques est conservée sous forme d'hydrogène avant d'être retransformée en électricité injectée dans le réseau EDF quand cela est utile.
Ainsi, pendant la journée, lorsque la consommation est plus faible, l'électricité est convertie en hydrogène et oxygène. Puis, en soirée, quand la demande augmente, une pile à combustible fait l'opération en sens inverse. On vise une meilleure gestion et une stabilisation du réseau électrique.
La plateforme MYRTE est issue de l’engagement de trois partenaires, l’Université de Corse Pasquale Paoli, HELION, et le Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives.Ce projet est soutenu par la Collectivité Territoriale de Corse, l’Etat et l’Europe.
L’objectif de la plateforme MYRTE est de développer un système et une stratégie de pilotage visant à améliorer la gestion et la stabilisation du réseau électrique.
En effet, les réseaux électriques insulaires, non interconnectés, avec un fort taux d’intégration de sources renouvelables d’énergie nécessitent un dispositif permettant de gérer l’intermittence de celles-ci (régulation, stockage).
L’hydrogène, produit et stocké, permet de gérer les fluctuations de puissance des énergies renouvelables intermittentes intégrées dans le réseau.
"Un projet de référence mondiale"
(Photos Lydie Colonna)
Delphine Batho, a donc visité cette plateforme dont le fonctionnement lui a été expliqué dans le détail.
Elle a déclaré qu’il était important pour elle "de voir de visu ce projet" qui est selon ses termes "un projet de référence mondiale basé sur une technologie française. Le projet MYRTE est une technologie de rupture où il est question du stockage de l’énergie, question stratégique en matière de développement des énergies renouvelables".
Selon la ministre, ce qui est fait ici, en Corse, "est d’intérêt national mais aussi européen et même mondial. On développe ici des technologies qui vont pouvoir être déployées en Corse et ailleurs, des technologies qui vont pouvoir être exportées. On peut donc parler d’un enjeu de politique industrielle très fort."
Delphine Batho assure que l"engagement de l’Etat est et restera fort dans ce travail partenarial."
Elle a déclaré qu’il était important pour elle "de voir de visu ce projet" qui est selon ses termes "un projet de référence mondiale basé sur une technologie française. Le projet MYRTE est une technologie de rupture où il est question du stockage de l’énergie, question stratégique en matière de développement des énergies renouvelables".
Selon la ministre, ce qui est fait ici, en Corse, "est d’intérêt national mais aussi européen et même mondial. On développe ici des technologies qui vont pouvoir être déployées en Corse et ailleurs, des technologies qui vont pouvoir être exportées. On peut donc parler d’un enjeu de politique industrielle très fort."
Delphine Batho assure que l"engagement de l’Etat est et restera fort dans ce travail partenarial."
(Photos Marilyne Santi)
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