
Les peintures de Tony Padovani sont un voyage, une rêverie ou les images qu’il s’invente créent une histoire. Outre l’histoire de LA FEMME, elles racontent aussi ses émotions secrètes ou dévoilées qui, comme il le dit si bien, gouvernent l’inspiration du peintre. Habité par un esprit créatif en perpétuelles recherche et évolution, qui lui a permis de découvrir d’autres domaines de l’art (sculpture, décoration…), la peinture est la passion qui l’anime à chaque instant.
Consciente de sa passion pour le dessin dès l’âge de 9 ans sa tante l’inscrira très tôt à l’Ecole des peintres corses. Il y a apprendra les techniques du dessin, du fusain et de l’aquarelle avec d’autres passionnés, découvrira les émotions créatrices, l’imagination sans limite, et pourrait-on dire le « recueillement », qui permet à l’impalpable de devenir œuvre d’art.
Ces exposition dès 2006 le font reconnaitre Artiste, un bien grand mot dit-il, mais tout en reconnaissant que l’expression et la création sont bien de l’art et du coup légitimise cette reconnaissance.
Ses œuvres, ce Clin d’œil en Rouge et Noir qu’il nous présent jusqu’au 31 mars à la Taverne du 20123 sont un aboutissement créatif autour de la femme, toujours secrète, jamais totalement dévoilée et que seul l’œil délicat d’un artiste peut conduire sa main à en dessiner l’émotion.
Consciente de sa passion pour le dessin dès l’âge de 9 ans sa tante l’inscrira très tôt à l’Ecole des peintres corses. Il y a apprendra les techniques du dessin, du fusain et de l’aquarelle avec d’autres passionnés, découvrira les émotions créatrices, l’imagination sans limite, et pourrait-on dire le « recueillement », qui permet à l’impalpable de devenir œuvre d’art.
Ces exposition dès 2006 le font reconnaitre Artiste, un bien grand mot dit-il, mais tout en reconnaissant que l’expression et la création sont bien de l’art et du coup légitimise cette reconnaissance.
Ses œuvres, ce Clin d’œil en Rouge et Noir qu’il nous présent jusqu’au 31 mars à la Taverne du 20123 sont un aboutissement créatif autour de la femme, toujours secrète, jamais totalement dévoilée et que seul l’œil délicat d’un artiste peut conduire sa main à en dessiner l’émotion.
Une exposition pour deux
Caroline Milliasseau Leca, expose quelques œuvres dans ce même lieu. Si l’on retrouve quelques points communs avec Tony Padovani puisqu’elle découvre sa passion pour le dessin à l’âge de neuf ans et trouve son inspiration dans la femme, elle souligne que le dessin reste tout d’abord un passe-temps. Autodidacte, elle a tout de même suivi des cours sur Paris pendant deux ans. Excellant dans la technique du fusain elle aime reproduire des portraits via des photos. Son travail n’attend que vos visites jusqu’au 31 mars.