Je le revois bien calé dans son Ascona groupe II préparée par son ami le célèbre Conrero, un magicien aux doigts de fée. Charles Alberti, c’est bien sûr de lui qu’il s’agit, s’en est allé rejoindre l’immense nuage qui loge la grande famille des pilotes partis trop tôt de notre terre des rallyes.
Charles en faisait partie intégrante depuis de longues années de cette grande famille des gens du rallye. Il en était très souvent le leader, mais n’en faisait pas trop cas car il était aussi discret dans la vie que fougueux sur une épreuve.
Super mec ce Charles qui nous a enthousiasmés de longues années durant, fidèle en amitié, accroché à son sport et à ses nombreux amis du sport auto insulaire qu’il chérissait.
Il a couru sur toutes les routes françaises et italiennes avec le succès que l’on sait et la réputation solidement accrochée à son palmarès, mais avec cette discrétion qui force le respect et honore la personne. La grosse tête n’était pas dans son ADN. Il était mon ami depuis le début des années soixante-dix. Nous nous étions connus sur une Giraglia contrariée par des boues rouges… Depuis, les liens se sont resserrés. Même si nous restions des mois, voire des années sans se voir, nous étions liés par cette amitié propre à notre sport automobile solidement ancré dans nos tripes.
Notre dernière rencontre a eu lieu à Bastia, lors des obsèques d’un autre ancien des rallyes et de l’ASA Bastiaise, André Ponzevera « Ponpon » qui nous a quittés lui aussi.
Allez salut mon cher Charles, donne le bonjour aux amis de notre bande de joyeux, mais comme tu vas me manquer, comme tu vas nous manquer à tous !
Charles en faisait partie intégrante depuis de longues années de cette grande famille des gens du rallye. Il en était très souvent le leader, mais n’en faisait pas trop cas car il était aussi discret dans la vie que fougueux sur une épreuve.
Super mec ce Charles qui nous a enthousiasmés de longues années durant, fidèle en amitié, accroché à son sport et à ses nombreux amis du sport auto insulaire qu’il chérissait.
Il a couru sur toutes les routes françaises et italiennes avec le succès que l’on sait et la réputation solidement accrochée à son palmarès, mais avec cette discrétion qui force le respect et honore la personne. La grosse tête n’était pas dans son ADN. Il était mon ami depuis le début des années soixante-dix. Nous nous étions connus sur une Giraglia contrariée par des boues rouges… Depuis, les liens se sont resserrés. Même si nous restions des mois, voire des années sans se voir, nous étions liés par cette amitié propre à notre sport automobile solidement ancré dans nos tripes.
Notre dernière rencontre a eu lieu à Bastia, lors des obsèques d’un autre ancien des rallyes et de l’ASA Bastiaise, André Ponzevera « Ponpon » qui nous a quittés lui aussi.
Allez salut mon cher Charles, donne le bonjour aux amis de notre bande de joyeux, mais comme tu vas me manquer, comme tu vas nous manquer à tous !