- A la première grande mobilisation de janvier s’en sont succédées 9 autres, sans que le gouvernement ne bronche, recourant même au 49.3 pour un passage en force de la réforme...
- François Giudicelli, porte-parole des 8 syndicats : CFDT, CFE/CGC, CFTC, CGT, FO, STC, U.FSU et UNSA : Pour l’intersyndicale, cela constitue de nouveau un véritable déni de démocratie. L’utilisation du 49.3 est bien la preuve de la faiblesse d’un gouvernement qui a choisi de passer en force au mépris de l’expression de toutes les organisations syndicales et du refus très majoritaire de la population. L’autoritarisme est la face visible de l’impuissance. Cette réforme doit être abandonnée.
- Le discours du président Macron à 13h ?
- De gros mensonges et du mépris. En fait une seule personne décide pour 65 millions d’autres ! C’est un déni de démocratie. On est abasourdi par ses propos. Si son intervention a eu lieu aujourd’hui, avant la manifestation de demain, c’est pour calmer les gens. Une manière aussi de mettre la pression sur les grévistes. Il reste dans ses bottes, eh bien nous aussi .
- Justement vous attendez beaucoup de monde jeudi ?
- Oui, on a de bons échos malgré que certains en sont déjà à leur 5ème jour de grève et que cela pèse dans leur budget. Ça devient difficile pour certains mais tout le monde nous soutient. On devrait être aussi nombreux que le 7 mars .
- Peut-on craindre de la violence ?
- Non, nous ne sommes pas sur ce registre. Nous sommes sur des choses normales.
- Le président déclare que les syndicats ne proposent rien ?
- On veut bien d’une réforme. Mais pas de celle-là. On avait commencé à faire des propositions, car on en a nos propres propositions, mais il nous a été impossible de discuter sérieusement.
- François Giudicelli, porte-parole des 8 syndicats : CFDT, CFE/CGC, CFTC, CGT, FO, STC, U.FSU et UNSA : Pour l’intersyndicale, cela constitue de nouveau un véritable déni de démocratie. L’utilisation du 49.3 est bien la preuve de la faiblesse d’un gouvernement qui a choisi de passer en force au mépris de l’expression de toutes les organisations syndicales et du refus très majoritaire de la population. L’autoritarisme est la face visible de l’impuissance. Cette réforme doit être abandonnée.
- Le discours du président Macron à 13h ?
- De gros mensonges et du mépris. En fait une seule personne décide pour 65 millions d’autres ! C’est un déni de démocratie. On est abasourdi par ses propos. Si son intervention a eu lieu aujourd’hui, avant la manifestation de demain, c’est pour calmer les gens. Une manière aussi de mettre la pression sur les grévistes. Il reste dans ses bottes, eh bien nous aussi .
- Justement vous attendez beaucoup de monde jeudi ?
- Oui, on a de bons échos malgré que certains en sont déjà à leur 5ème jour de grève et que cela pèse dans leur budget. Ça devient difficile pour certains mais tout le monde nous soutient. On devrait être aussi nombreux que le 7 mars .
- Peut-on craindre de la violence ?
- Non, nous ne sommes pas sur ce registre. Nous sommes sur des choses normales.
- Le président déclare que les syndicats ne proposent rien ?
- On veut bien d’une réforme. Mais pas de celle-là. On avait commencé à faire des propositions, car on en a nos propres propositions, mais il nous a été impossible de discuter sérieusement.