Il est partout. Au comptoir, dans les cuisines, sur le podium où sur les antennes de notre confrère RCFM, René Caccavelli est un président heureux, comblé, fatigué bien sûr mais content. Il sait que sa fête a marqué les esprits, on le voit sur son visage, il respire la satisfaction. Nous lui avons demandé si l’édition 2018 serait aussi belle que celle de l’année précédente.
- Alors président, heureux ? Que manque-t-il pour atteindre la perfection ?
- Il manque toujours quelque chose pour l’atteindre, un je ne sais quoi de folie, une animation spéciale, un numéro improvisé sur le champ, mais je ne crois pas qu’il manque véritablement beaucoup pour y arriver mais nous ferons le maximum pour faire rêver nos visiteurs. Nous avons travaillé durent toute l’intersaison pour préparer le cru 2018 et je pense que les gars ont fait le boulot que l’on était en droit d’attendre. Nous voilà en plein dedans et s’il fallait trouver autre chose, je crois que nous l’avons fait en notre âme et conscience. Plus sérieusement, notre fête a été totale, pleine de bonne et belles choses que le public a apprécié. J’ai eu des échos favorables tout au long de ces derniers mois, des réactions de personnes venues de très loin pour assister à notre fête relayée partout en Corse par RCFM. D’ailleurs, ce qui nous manquait avant, je viens de le trouver à l’instant : c’est le relais radio de nos amis, présents plusieurs jours à nos côtés qui nous ont fait un plaisir énorme à nous et à leurs auditeurs qui se sont d’ailleurs manifestés de toutes les microrégions de la Corse.
- Les gens ont fait la queue au restaurant de la mer, au comptoir, pour les soirées, c’est cela la réussite ?
- Si on pouvait leur éviter cette attente ce serait parfait. En clair, ce serait la perfection, mais cela n’est pas possible. Restons à notre taille humaine et régalons nous des plaisirs que l’on offre à ces journées de la mer. Je crois savoir que nos menus ont été appréciés à leur juste valeur, que le spectacle proposé l’a été tout autant, sans parler des soirées où très souvent, bon nombre de spectateurs n’ont pas trouvé une seule chaise disponible.
- I Pescadori ont fait leur possible, les autres aussi ?
- Que voulez-vous faire sans eux ? Que puis-je imaginer organiser sans mes amis, pêcheurs ou non, sans ces hommes et ces femmes qui sont présents toute l’année à nos côtés pour préparer le travail de ces journées de fête. Mais je n’oublie pas pour autant nos partenaires, les institutionnels qui nous soutiennent et sans lesquels rien, absolument rien n’est possible, les bénévoles qui se manifestent quelques jours avant la fête, et les acteurs bien sûr, ces groupes et ces chanteurs qui, il est bon de le rappeler, viennent bénévolement nous aider. Comment voulez-vous ne pas réussir une telle manifestation avec autant de cœur ?
Le rendez-vous 2018 est d’ores et déjà dans la boîte. Avec de nouvelles surprises ça va de soit !
J. F.
- Alors président, heureux ? Que manque-t-il pour atteindre la perfection ?
- Il manque toujours quelque chose pour l’atteindre, un je ne sais quoi de folie, une animation spéciale, un numéro improvisé sur le champ, mais je ne crois pas qu’il manque véritablement beaucoup pour y arriver mais nous ferons le maximum pour faire rêver nos visiteurs. Nous avons travaillé durent toute l’intersaison pour préparer le cru 2018 et je pense que les gars ont fait le boulot que l’on était en droit d’attendre. Nous voilà en plein dedans et s’il fallait trouver autre chose, je crois que nous l’avons fait en notre âme et conscience. Plus sérieusement, notre fête a été totale, pleine de bonne et belles choses que le public a apprécié. J’ai eu des échos favorables tout au long de ces derniers mois, des réactions de personnes venues de très loin pour assister à notre fête relayée partout en Corse par RCFM. D’ailleurs, ce qui nous manquait avant, je viens de le trouver à l’instant : c’est le relais radio de nos amis, présents plusieurs jours à nos côtés qui nous ont fait un plaisir énorme à nous et à leurs auditeurs qui se sont d’ailleurs manifestés de toutes les microrégions de la Corse.
- Les gens ont fait la queue au restaurant de la mer, au comptoir, pour les soirées, c’est cela la réussite ?
- Si on pouvait leur éviter cette attente ce serait parfait. En clair, ce serait la perfection, mais cela n’est pas possible. Restons à notre taille humaine et régalons nous des plaisirs que l’on offre à ces journées de la mer. Je crois savoir que nos menus ont été appréciés à leur juste valeur, que le spectacle proposé l’a été tout autant, sans parler des soirées où très souvent, bon nombre de spectateurs n’ont pas trouvé une seule chaise disponible.
- I Pescadori ont fait leur possible, les autres aussi ?
- Que voulez-vous faire sans eux ? Que puis-je imaginer organiser sans mes amis, pêcheurs ou non, sans ces hommes et ces femmes qui sont présents toute l’année à nos côtés pour préparer le travail de ces journées de fête. Mais je n’oublie pas pour autant nos partenaires, les institutionnels qui nous soutiennent et sans lesquels rien, absolument rien n’est possible, les bénévoles qui se manifestent quelques jours avant la fête, et les acteurs bien sûr, ces groupes et ces chanteurs qui, il est bon de le rappeler, viennent bénévolement nous aider. Comment voulez-vous ne pas réussir une telle manifestation avec autant de cœur ?
Le rendez-vous 2018 est d’ores et déjà dans la boîte. Avec de nouvelles surprises ça va de soit !
J. F.
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