Modèle d’étiquette environnementale pour le secteur de l’hôtellerie : Une lettre allant de A à E est attribuée à l’hôtel participant à partir d’une analyse sur les émissions de carbone, la consommation d’eau, de ressources non-renouvelables et le pourcentage de produits biologiques et écologiques.
Réduire les émissions de gaz à effet de serre de l’hôtellerie et les consommations d’eau, d’énergie, alléger le poids des déchets, consommer local et biologique : tels sont les objectifs du projet Rispettu (‘Respect’ en Corse) porté par l’Union des Métiers de Industrie Hôtelière de Corse (UMIH).
La réunion de lancement du projet Rispettu a eu lieu à la mi-novembre après 20 pré-diagnostics et à une première expérimentation sur un hôtel de l’Île de Beauté en 2015.
En collaboration avec M. Furt et 16 étudiants de l’IAE, du master tourisme, de l’université de Corte, 10 hôtels seront accompagnés en 2016 et 2017 pour réduire drastiquement leurs impacts sur l’environnement ainsi que leurs coûts de fonctionnement. Ce projet ambitieux s’inscrit dans la dynamique nationale de l’affichage environnemental, projet qui vise à mesurer et communiquer aux clients les impacts environnementaux des hôtels à travers une étiquette. Cette étiquette conçue par Hubert Vendeville du cabinet EVEA tourisme de Nantes, partenaire du projet, délivre des informations chiffrées et transparentes sur l’impact de l’hôtel, ramené à la nuit passée par le client.
En plus de leur étiquette, les hôtels engagés travailleront sur le menu proposé au petit-déjeuner.
L’objectif ?
Relocaliser les produits, renforcer le caractère corse du menu, augmenter la part des produits biologiques et réduire les coûts de fonctionnement.
L’UMIH Corse, par ce projet encore pionnier, démontre ainsi l’engagement du secteur sur l’Île de Beauté pour préserver à long terme le patrimoine naturel si apprécié des visiteurs. L
e projet a été présenté comme exemplaire par Mme Guilloteau et M. Pain pour la partie nationale et pour la partie corse par Gérard Jodineau et Dominique Vaschalde, en présence de Bernard Giudicceli, le 24 novembre 2015, au congrès national de l’UMIH, à Bordeaux.
A cette occasion l’ensemble des partenaires ont été cités et remerciés officiellement pour leurs contributions positives.
La réunion de lancement du projet Rispettu a eu lieu à la mi-novembre après 20 pré-diagnostics et à une première expérimentation sur un hôtel de l’Île de Beauté en 2015.
En collaboration avec M. Furt et 16 étudiants de l’IAE, du master tourisme, de l’université de Corte, 10 hôtels seront accompagnés en 2016 et 2017 pour réduire drastiquement leurs impacts sur l’environnement ainsi que leurs coûts de fonctionnement. Ce projet ambitieux s’inscrit dans la dynamique nationale de l’affichage environnemental, projet qui vise à mesurer et communiquer aux clients les impacts environnementaux des hôtels à travers une étiquette. Cette étiquette conçue par Hubert Vendeville du cabinet EVEA tourisme de Nantes, partenaire du projet, délivre des informations chiffrées et transparentes sur l’impact de l’hôtel, ramené à la nuit passée par le client.
En plus de leur étiquette, les hôtels engagés travailleront sur le menu proposé au petit-déjeuner.
L’objectif ?
Relocaliser les produits, renforcer le caractère corse du menu, augmenter la part des produits biologiques et réduire les coûts de fonctionnement.
L’UMIH Corse, par ce projet encore pionnier, démontre ainsi l’engagement du secteur sur l’Île de Beauté pour préserver à long terme le patrimoine naturel si apprécié des visiteurs. L
e projet a été présenté comme exemplaire par Mme Guilloteau et M. Pain pour la partie nationale et pour la partie corse par Gérard Jodineau et Dominique Vaschalde, en présence de Bernard Giudicceli, le 24 novembre 2015, au congrès national de l’UMIH, à Bordeaux.
A cette occasion l’ensemble des partenaires ont été cités et remerciés officiellement pour leurs contributions positives.
Ce projet est financé par l’Ademe Corse avec l’implication de M. Filippi , l’OEC (Office de l’environnement de la Corse) avec l’implication de Mme Bozzi et EDF avec l’implication de M. Mondoloni.
Le Syvadec, avec l’implication de Mme Antonelli et Mme Arrighi participe à ce projet par la fourniture de boîte à piles, boite à lampes, et composteurs ; mise en lien avec les collectivités concernées pour qu’elles mettent à disposition le matériel de collecte de tri sélectif, réponse aux stagiaires sur la question des déchets (tri, biodéchets, gaspillage…), communication auprès de l’ensemble des adhérents du Syvadec sur l’existence du projet et de ses résultats.
Quelques chiffres clés
Le Syvadec, avec l’implication de Mme Antonelli et Mme Arrighi participe à ce projet par la fourniture de boîte à piles, boite à lampes, et composteurs ; mise en lien avec les collectivités concernées pour qu’elles mettent à disposition le matériel de collecte de tri sélectif, réponse aux stagiaires sur la question des déchets (tri, biodéchets, gaspillage…), communication auprès de l’ensemble des adhérents du Syvadec sur l’existence du projet et de ses résultats.
Quelques chiffres clés
- En moyenne : 7 kg de CO2 sont émis pour une nuit passée à l’hôtel
- 180 litres d’eau sont consommés en moyenne pour chaque client d’hôtel
- La démarche d’affichage environnementale permet de réduire de 0,5 € à 2 € par nuitée le coût de fonctionnement de l’hôtel, ce qui peut représenter par exemple 13 000 € pour un hôtel moyen.
- Environ 150 hôtels ont expérimenté en France le dispositif d’affichage environnemental
Envoyer à un ami
Version imprimable
