Marie-Claude Filippi et Gilles Testou au centre co-président la Société corse de Médecine du sport
- Pourquoi une société de médecine du sport ?
- L'idée était de pouvoir mettre en contact les différents acteurs qui s'occupent de la santé du sportif mais aussi de la performance du sportif. Sont donc concernés les médecins du sport, les kinés, podologues, les ostéopathes, les diététiciennes, les préparateurs physiques ainsi que les entraîneurs. L'objectif est de pouvoir amener le sportif à une optimisation de la performance tout en préservant sa santé. Et cela passe par la formation médicale continue, par la prévention du dopage, par la préparation physique et le suivi de blessure.
- C'était nécessaire en Corse ?
- C'était un besoin dans le sens où il n'y pas d'université qui permet d'apporter une formation aux médecins et aux kinés. Le seul moyen de contourner cette difficulté était de créer une société qui est la représentation corse de la société française de médecine du sport.
- Elle est utile ?
- Elle permet de créer un réseau qui est utilisé, ensuite, par le sportif professionnel comme par le sportif amateur.
- L'objet de la journée à Erbalunga ?
- Nous allons aborder plusieurs pathologies traumatiques mais aussi parler de préparation physique avec notamment la préparation dans les sports d'endurance.
- La société corse de médecine du sport bouge ?
- Notre manifestation tourne à travers toute la Corse. Cette année nous sommes à Erbalunga dans le Cap Corse. L'an dernier nous étions en Balagne. Avant ça nous sommes réunis à Porto-Vecchio, Ajaccio, etc... La journée va tous les ans vers tous ceux qui interviennent dans le cadre de la médecine du sport.
- Avec toujours des intervenants extérieurs ?
- Tout à fait. Le professeur Yves Catonne, chirurgien-orthopédiste sur Paris est des nôtres dans le Cap Corse. Il y aussi Olivier Fichez médecin au centre de rééducation de sportif de haut niveau de Saint-Raphaël, Paul Muracciole, chirurgien-orthopédiste à Ajaccio, Jacques Mercier, physiologiste spécialisé dans les pathologies musculaires, Laurent Schmitt qui est venu nous parler de la performance notamment dans les activités de moyenne montagne et Jean-Georges Cellier, kiné de l'OM à Marseille.
- Les médecins locaux suivent ?
- Oui nous les contactons à partir du réseau qui s'est mis en place avec la création de la société de médecine du sport. Les médecins des clubs - du foot essentiellement - sont là aussi. Les cardiologues du sport également. C'est la preuve que la Société d'ouvrir le débat à beaucoup de monde et à tout le sport.
- L'idée était de pouvoir mettre en contact les différents acteurs qui s'occupent de la santé du sportif mais aussi de la performance du sportif. Sont donc concernés les médecins du sport, les kinés, podologues, les ostéopathes, les diététiciennes, les préparateurs physiques ainsi que les entraîneurs. L'objectif est de pouvoir amener le sportif à une optimisation de la performance tout en préservant sa santé. Et cela passe par la formation médicale continue, par la prévention du dopage, par la préparation physique et le suivi de blessure.
- C'était nécessaire en Corse ?
- C'était un besoin dans le sens où il n'y pas d'université qui permet d'apporter une formation aux médecins et aux kinés. Le seul moyen de contourner cette difficulté était de créer une société qui est la représentation corse de la société française de médecine du sport.
- Elle est utile ?
- Elle permet de créer un réseau qui est utilisé, ensuite, par le sportif professionnel comme par le sportif amateur.
- L'objet de la journée à Erbalunga ?
- Nous allons aborder plusieurs pathologies traumatiques mais aussi parler de préparation physique avec notamment la préparation dans les sports d'endurance.
- La société corse de médecine du sport bouge ?
- Notre manifestation tourne à travers toute la Corse. Cette année nous sommes à Erbalunga dans le Cap Corse. L'an dernier nous étions en Balagne. Avant ça nous sommes réunis à Porto-Vecchio, Ajaccio, etc... La journée va tous les ans vers tous ceux qui interviennent dans le cadre de la médecine du sport.
- Avec toujours des intervenants extérieurs ?
- Tout à fait. Le professeur Yves Catonne, chirurgien-orthopédiste sur Paris est des nôtres dans le Cap Corse. Il y aussi Olivier Fichez médecin au centre de rééducation de sportif de haut niveau de Saint-Raphaël, Paul Muracciole, chirurgien-orthopédiste à Ajaccio, Jacques Mercier, physiologiste spécialisé dans les pathologies musculaires, Laurent Schmitt qui est venu nous parler de la performance notamment dans les activités de moyenne montagne et Jean-Georges Cellier, kiné de l'OM à Marseille.
- Les médecins locaux suivent ?
- Oui nous les contactons à partir du réseau qui s'est mis en place avec la création de la société de médecine du sport. Les médecins des clubs - du foot essentiellement - sont là aussi. Les cardiologues du sport également. C'est la preuve que la Société d'ouvrir le débat à beaucoup de monde et à tout le sport.










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