Si Mossa Palatina incarne l’action politique concrète et électorale du « palatinisme », l’Associu Palatinu se veut le reflet de la réflexion idéologique et philosophique qui en sous-tend les thèses. Ce samedi à Bastia, lors de la rentrée de l'association, son président Nicolas Battini a réaffirmé cette dualité en précisant que, bien que distinctes, ces deux entités restent complémentaires. « Le champ électoral et le champ culturel sont deux entités distinctes, a priori indépendantes », a-t-il souligné avant de rappeler que l’association reste ouverte à toutes et à tous. Il a aussi réaffirmé l'orientation idéologique claire de l'organisation : « Défendre un nationalisme de droite qui conteste l’idéologie dominante d'une bourgeoisie de gauche, hautaine et hostile aux identités, dont l’unique préoccupation semble être la déconstruction. »
Pour Nicolas Battini, le palatinisme incarnerait « l’expression d’une majorité silencieuse », issue des classes moyennes et populaires. Il a appuyé ses propos en mentionnant l’essor impressionnant des adhésions enregistrées depuis deux ans, qui surpasseraient désormais celles des grands partis politiques insulaires. « L’Associu compte aujourd’hui plus d’un millier d’adhérents, un chiffre comparable à celui de Femu a Corsica », a-t-il précisé.
Au cours de la matinée Nicolas Battini a également évoqué la nécessité de « réveiller les consciences » pour une réforme profonde du nationalisme corse. Selon lui, ce dernier se serait, au fil des ans, éloigné de ses origines. « L’objectif de Palatinu est de travailler sur les concepts, d’établir un écosystème nouveau au sein du nationalisme corse et au de-là, qui fédère également une partie de la droite insulaire la plus corsiste, identitaire et régionaliste. », a-t-il affirmé, en appelant à la construction d’une école de pensée nouvelle.
L’engagement des jeunes, moteurs du mouvement
Un autre axe fondamental abordé par Battini a été l’engagement des jeunes, qu’il considère comme moteur du mouvement. Il a d’ailleurs confirmé que l’idée de créer un syndicat étudiant au sein de l’Université de Corse restait à l’ordre du jour. Saluant l’enthousiasme de cette jeunesse, qu’il décrit comme le socle solide de l’association, il a précisé : « Cette base militante très investie partage et défend l’idée d’enracinement, de défense de l’identité corse et d’une vision civilisationnelle européenne. » Pour lui, cet engouement correspond à une majorité silencieuse, acquise aux thèses de l’Associu mais étouffée dans certains milieux où seule « la pensée de la déconstruction des identités » est tolérée.
En esquissant les perspectives d’avenir de l’association, Nicolas Battini a clairement affiché sa volonté de « continuer à bouleverser le paysage des débats », en intégrant des sujets longtemps restés tabous, mais désormais incontournables dans le cadre de la politique insulaire.
Pour Nicolas Battini, le palatinisme incarnerait « l’expression d’une majorité silencieuse », issue des classes moyennes et populaires. Il a appuyé ses propos en mentionnant l’essor impressionnant des adhésions enregistrées depuis deux ans, qui surpasseraient désormais celles des grands partis politiques insulaires. « L’Associu compte aujourd’hui plus d’un millier d’adhérents, un chiffre comparable à celui de Femu a Corsica », a-t-il précisé.
Au cours de la matinée Nicolas Battini a également évoqué la nécessité de « réveiller les consciences » pour une réforme profonde du nationalisme corse. Selon lui, ce dernier se serait, au fil des ans, éloigné de ses origines. « L’objectif de Palatinu est de travailler sur les concepts, d’établir un écosystème nouveau au sein du nationalisme corse et au de-là, qui fédère également une partie de la droite insulaire la plus corsiste, identitaire et régionaliste. », a-t-il affirmé, en appelant à la construction d’une école de pensée nouvelle.
L’engagement des jeunes, moteurs du mouvement
Un autre axe fondamental abordé par Battini a été l’engagement des jeunes, qu’il considère comme moteur du mouvement. Il a d’ailleurs confirmé que l’idée de créer un syndicat étudiant au sein de l’Université de Corse restait à l’ordre du jour. Saluant l’enthousiasme de cette jeunesse, qu’il décrit comme le socle solide de l’association, il a précisé : « Cette base militante très investie partage et défend l’idée d’enracinement, de défense de l’identité corse et d’une vision civilisationnelle européenne. » Pour lui, cet engouement correspond à une majorité silencieuse, acquise aux thèses de l’Associu mais étouffée dans certains milieux où seule « la pensée de la déconstruction des identités » est tolérée.
En esquissant les perspectives d’avenir de l’association, Nicolas Battini a clairement affiché sa volonté de « continuer à bouleverser le paysage des débats », en intégrant des sujets longtemps restés tabous, mais désormais incontournables dans le cadre de la politique insulaire.