Une partie du courrier qui n'a pas été distribué depuis le 24 octobre.
"7 jours de retenue de salaires - du 24 au 31 Octobre - soit un total de 500 € par agent gréviste ont déjà été opérés par la direction de La Poste, même si cela ne s'était jamais vu, nous ne le contestons pas. Nous faisons grève et c'est normal que cela se traduise de la sorte sur nos bulletins de salaire" expliquent les grévistes du centre de Bastia Cap. "Il est donc mensonger d'affirmer que c'est ce problème de retenues qui bloque la reprise du travail " ajoute t-on sur le site.
Ce qui préoccupe davantage le personnel gréviste tient dans le dispositif prévu pour résorber les centaines de milliers de plis qui se sont accumulés depuis le 24 octobre.
"Aujourd'hui on veut principalement confier ce travail à des CDD et à des cadres : c'est comme si on voulait nous appliquer une double peine : Retenue sur salaires et quelques jours payés - on est quand même passé de 5 à 10 - pour résorber le retard. Bref, La Poste veut nous faire payer la facture de la grève" affirment les grévistes.
Ce vendredi matin les négociations devraient reprendre sur le site de Bastia Cap.
"Tous les jours dès 6 heures nous sommes ici. Nous aspirons à reprendre le travail pour satisfaire la population de Bastia jusqu'à Santa Maria di Lota."
Ce qui préoccupe davantage le personnel gréviste tient dans le dispositif prévu pour résorber les centaines de milliers de plis qui se sont accumulés depuis le 24 octobre.
"Aujourd'hui on veut principalement confier ce travail à des CDD et à des cadres : c'est comme si on voulait nous appliquer une double peine : Retenue sur salaires et quelques jours payés - on est quand même passé de 5 à 10 - pour résorber le retard. Bref, La Poste veut nous faire payer la facture de la grève" affirment les grévistes.
Ce vendredi matin les négociations devraient reprendre sur le site de Bastia Cap.
"Tous les jours dès 6 heures nous sommes ici. Nous aspirons à reprendre le travail pour satisfaire la population de Bastia jusqu'à Santa Maria di Lota."
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