Certains commerçants corses sont mécontents et tiennent à le faire savoir. A la suite des annonces du président de la République de prolonger la fermeture des bars et restaurants, Philippe Albertini, propriétaire de la Paillotte "U paradisu" à Tamarone, a créé le lundi 13 avril au soir, le groupe Facebook : "Le collectif corse de défense pour nos commerces".
Le restaurateur invite tous les commerçants à ouvrir le 11 Mai pour soutenir l'activité insulaire. Il explique sa démarche sur le groupe Facebook :
"Suite aux déclarations du gouvernement de prolonger la date d'ouverture de nos commerces, cela va engendrer la fermeture définitive de beaucoup d'entre nous. Soyons solidaires.
A ce jour, aucune mesures concrètes et aides ne sont valables pour la survie de nos commerces. Nous appelons tout les commerçants à nous rejoindre et à ouvrir le 11 mai !"
Philippe Albertini, s'indigne d'entendre le chef de l'Etat annoncer que les enfants retourneront à l'école dès le 11 Mai alors que de leurs côtés, les restaurants et bars resteront fermés. "En tant que gérant de ma société je n’ai droit à aucune aide. Je ne vais pas mourir de faim pour faire plaisir au gouvernement. J'ai une famille à nourrir et quoi qu'il en soit j'ouvrirai mon restaurant car il est hors de question que je mette les pieds sous la table.", lance-t-il.
Alors l'appel du 11 mai sera-t-il suivi ?
Le restaurateur invite tous les commerçants à ouvrir le 11 Mai pour soutenir l'activité insulaire. Il explique sa démarche sur le groupe Facebook :
"Suite aux déclarations du gouvernement de prolonger la date d'ouverture de nos commerces, cela va engendrer la fermeture définitive de beaucoup d'entre nous. Soyons solidaires.
A ce jour, aucune mesures concrètes et aides ne sont valables pour la survie de nos commerces. Nous appelons tout les commerçants à nous rejoindre et à ouvrir le 11 mai !"
Philippe Albertini, s'indigne d'entendre le chef de l'Etat annoncer que les enfants retourneront à l'école dès le 11 Mai alors que de leurs côtés, les restaurants et bars resteront fermés. "En tant que gérant de ma société je n’ai droit à aucune aide. Je ne vais pas mourir de faim pour faire plaisir au gouvernement. J'ai une famille à nourrir et quoi qu'il en soit j'ouvrirai mon restaurant car il est hors de question que je mette les pieds sous la table.", lance-t-il.
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