Fanou Taddei était une figure emblématique de la cité paoline
François Taddei, affectueusement surnommé "Fanou" s'en est allé hier entouré de l'affection des siens.
Même si l'on pouvait s'attendre à cette douloureuse issue, en raison de son état de santé qui se dégradait au fil du temps, au point qu'il devait être hospitalisé à l'Hôpital Clairval à Marseille, c'est un immense déchirement pour toute sa famille, pour ses amis et pour tous ceux qui ont eu le bonheur de le connaître.
"Fanou" on l'a dit était une figure emblématique de la ville. C'était un des personnages de la rue Napoléon ou il a exploité une épicerie familiale de générations en générations, avec cette gentillesse qui le caractérisait.
Le coeur sur la main, à l'écoute de tous, toujours souriant malgré les souffrances qu'il gardait pour lui, par pudeur.
"Fanou" faisait partie de ces gens que l'on a envie d'avoir à ses côtés, d'être son ami.
Jamais le dernier à plaisanter, toujours d'humeur égale, il inspirait à la vie. Rue Napoléon, sur la place Paoli, au café des Platanes et ailleurs, sa silhouette joviale va hanter les esprits. Les occasions seront nombreuses d'évoquer sa mémoire, de se rappeler combien la place qu'(il occupait parmi nous était grande.
Tout au long de sa maladie, "Fanou" a fait preuve d'un courage extraordinaire. Les souffrances, ils les as enduré dans le silence, comme une fatalité, sans jamais se plaindre.
Dialysé depuis pratiquement une vingtaine d'années, il a livré un combat de chaque instant, affrontant toutes les épreuves avec courage et dignité.
La maladie, il ne voulait pas qu'elle soit un frein à sa vie, il ne voulait pas la faire subir à tous. C'était sa vie, c'était son chemin de croix qu'il voulait porter seul.
L'amour de sa mère Marie-Jeanne, de son épouse Nicole, toujours présente à ses côtés jusqu'à son dernier souffle, ses enfants Julien et Tony qui étaient sa grande fierté et ses petits enfants qu'il chérissait tant, son frère Joseph ont été pour lui d'un grand réconfort, sans oublier ses amis qui ont été pour lui comme des frères, François Mambrini, Vincent Savelli, "Gugu" et autres, aujourd'hui bien seuls.
Avec la disparition de "Fanou", c'est une page de la vie île-roussienne qui se referme.
Nous garderons de toi, ce regard, ce sourire et cette bonté.
Adieu l'ami.
Ses obsèques seront célébrées ce lundi 13 mai à 15 heures, en l'église de l'Immaculée Conception à l'Ile-Rousse.
En cette douloureuse circonstance, la rédaction de Corsenetinfos, présente à toute sa famille et à toutes les personnes que ce deuil afflige ses sincères condoléances.
Même si l'on pouvait s'attendre à cette douloureuse issue, en raison de son état de santé qui se dégradait au fil du temps, au point qu'il devait être hospitalisé à l'Hôpital Clairval à Marseille, c'est un immense déchirement pour toute sa famille, pour ses amis et pour tous ceux qui ont eu le bonheur de le connaître.
"Fanou" on l'a dit était une figure emblématique de la ville. C'était un des personnages de la rue Napoléon ou il a exploité une épicerie familiale de générations en générations, avec cette gentillesse qui le caractérisait.
Le coeur sur la main, à l'écoute de tous, toujours souriant malgré les souffrances qu'il gardait pour lui, par pudeur.
"Fanou" faisait partie de ces gens que l'on a envie d'avoir à ses côtés, d'être son ami.
Jamais le dernier à plaisanter, toujours d'humeur égale, il inspirait à la vie. Rue Napoléon, sur la place Paoli, au café des Platanes et ailleurs, sa silhouette joviale va hanter les esprits. Les occasions seront nombreuses d'évoquer sa mémoire, de se rappeler combien la place qu'(il occupait parmi nous était grande.
Tout au long de sa maladie, "Fanou" a fait preuve d'un courage extraordinaire. Les souffrances, ils les as enduré dans le silence, comme une fatalité, sans jamais se plaindre.
Dialysé depuis pratiquement une vingtaine d'années, il a livré un combat de chaque instant, affrontant toutes les épreuves avec courage et dignité.
La maladie, il ne voulait pas qu'elle soit un frein à sa vie, il ne voulait pas la faire subir à tous. C'était sa vie, c'était son chemin de croix qu'il voulait porter seul.
L'amour de sa mère Marie-Jeanne, de son épouse Nicole, toujours présente à ses côtés jusqu'à son dernier souffle, ses enfants Julien et Tony qui étaient sa grande fierté et ses petits enfants qu'il chérissait tant, son frère Joseph ont été pour lui d'un grand réconfort, sans oublier ses amis qui ont été pour lui comme des frères, François Mambrini, Vincent Savelli, "Gugu" et autres, aujourd'hui bien seuls.
Avec la disparition de "Fanou", c'est une page de la vie île-roussienne qui se referme.
Nous garderons de toi, ce regard, ce sourire et cette bonté.
Adieu l'ami.
Ses obsèques seront célébrées ce lundi 13 mai à 15 heures, en l'église de l'Immaculée Conception à l'Ile-Rousse.
En cette douloureuse circonstance, la rédaction de Corsenetinfos, présente à toute sa famille et à toutes les personnes que ce deuil afflige ses sincères condoléances.
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