Ses robes au style unique sont reconnaissables entre mille. Depuis près de 20 ans, la créatrice Brigitte Mattei fait rêver les futures mariées corses. Si bien que son atelier installé à Sari d’Orcino, a déjà vu passer des centaines de femmes qui n’hésitent pas à se déplacer depuis l’autre bout de la Corse. « J’ai aussi des clientes qui viennent spécialement du continent », se ravit la créatrice. « Je reçois une ou deux fois par semaine pas plus. J’ai aussi un pied à terre à Ajaccio et également des points de vente où je peux mettre des robes en expo. S’il faut se déplacer pour rencontrer des clientes dans ces boutiques, c’est toujours possible », ajoute-t-elle.
Si à l’heure de choisir la robe qui sera la star du grand jour, de nombreuses femmes décident de faire appel à Brigitte Mattei, c’est avant tout parce qu’elle ne confectionne que du sur-mesure. « Je n’aime pas faire deux fois la même pièce », glisse-t-elle d’ailleurs. Pour ce faire, elle discute longuement avec la future épouse afin de connaître ses goûts. Un rendez-vous au cours duquel la créatrice peut aussi se rendre compte de la morphologie et de la personnalité de sa cliente pour pouvoir lui créer une robe qui lui ressemble. « On me demande beaucoup de dos nu et de dentelle. Ces derniers temps ce qui ressort beaucoup c’est aussi le style bohème », dévoile Brigitte Mattei. « Il m’arrive également de faire des robes plus simples. Mais j’aime ce qui est très féminin et je n’utilise que des matières très haut de gamme. Je pense que je démarque aussi comme cela. Je aussi brode beaucoup et je fais moi-même des pétales en soie. Ce que j’aime c’est surtout le travail des perles, de la dentelle. Je ne me sers d’ailleurs que de la dentelle de Calais, qui est utilisée par les plus grandes marques au monde », précise-t-elle en confiant encore avoir parfois des demandes qui sortent un peu du commun. « J’ai déjà fait des robes rose fuchsia, noire et blanche, ou même bleue. J’aime bien faire des choses rigolotes. J’ai aussi fait une chemise en jean et robe brodée avec des dentelles, des strass, un jupon en tutu et des Stan Smith customisées ». En plus de ces pièces savamment imaginées, Brigitte Mattei propose également des bijoux et accessoires, toujours faits main, qui viendront s’accorder parfaitement avec la robe. Un travail d’orfèvre qui lui a construit au fil des ans une réputation bien établie et qui l’a conduit à remporter de nombreux prix, dont le dernier en date le Zankyou International Wedding Awards (prix qui vient distinguer les meilleurs prestataires du secteur nuptial) qu’elle vient de recevoir une nouvelle fois.
Si à l’heure de choisir la robe qui sera la star du grand jour, de nombreuses femmes décident de faire appel à Brigitte Mattei, c’est avant tout parce qu’elle ne confectionne que du sur-mesure. « Je n’aime pas faire deux fois la même pièce », glisse-t-elle d’ailleurs. Pour ce faire, elle discute longuement avec la future épouse afin de connaître ses goûts. Un rendez-vous au cours duquel la créatrice peut aussi se rendre compte de la morphologie et de la personnalité de sa cliente pour pouvoir lui créer une robe qui lui ressemble. « On me demande beaucoup de dos nu et de dentelle. Ces derniers temps ce qui ressort beaucoup c’est aussi le style bohème », dévoile Brigitte Mattei. « Il m’arrive également de faire des robes plus simples. Mais j’aime ce qui est très féminin et je n’utilise que des matières très haut de gamme. Je pense que je démarque aussi comme cela. Je aussi brode beaucoup et je fais moi-même des pétales en soie. Ce que j’aime c’est surtout le travail des perles, de la dentelle. Je ne me sers d’ailleurs que de la dentelle de Calais, qui est utilisée par les plus grandes marques au monde », précise-t-elle en confiant encore avoir parfois des demandes qui sortent un peu du commun. « J’ai déjà fait des robes rose fuchsia, noire et blanche, ou même bleue. J’aime bien faire des choses rigolotes. J’ai aussi fait une chemise en jean et robe brodée avec des dentelles, des strass, un jupon en tutu et des Stan Smith customisées ». En plus de ces pièces savamment imaginées, Brigitte Mattei propose également des bijoux et accessoires, toujours faits main, qui viendront s’accorder parfaitement avec la robe. Un travail d’orfèvre qui lui a construit au fil des ans une réputation bien établie et qui l’a conduit à remporter de nombreux prix, dont le dernier en date le Zankyou International Wedding Awards (prix qui vient distinguer les meilleurs prestataires du secteur nuptial) qu’elle vient de recevoir une nouvelle fois.
"Chaque robe est confectionnée en y apportant le soin qu’elle mérite
Loin du tumulte de la ville, afin de laisser parler son imagination, Brigitte Mattei a souhaité installer son atelier dans le rural, au cœur de son village de Sari d’Orcino. « C’est un endroit magnifique, pas très loin d’Ajaccio. J’aime travailler au calme. J’ai une vue magnifique depuis mon atelier qui donne sur une église sublime et une vue mer. Cela contribue aussi à me donner de l’inspiration et à travailler en toute sérénité », livre-t-elle en abondant : « Je m’inspire de beaucoup de choses. Cela peut venir d’une matière, d’un tissu, d’un thème de mariage, de la mariée elle-même, ou encore de mes voyages ».
Passionnée, la créatrice indique par ailleurs aimer prendre le temps de confectionner chaque robe en y apportant le soin qu’elle mérite. Elle conseille ainsi à ses clientes de la solliciter au moins 6 mois avant leur mariage. « Mais en général, les futures mariées commencent à me contacter maintenant pour l’été prochain », précise-t-elle. « Et puis je me limite à une vingtaine de robes au maximum par an parce que je ne peux pas travailler dans la contrainte du temps. Il faut vraiment que cela reste un plaisir. Je fais les choses patiemment, tranquillement. Je m’organise toujours pour ne pas avoir la pression, pouvoir donner les robes suffisamment avant le mariage à mes clientes pour que tout se passe bien et prendre le temps de faire les choses en ayant le cœur et l’esprit disposés à attaquer une robe. Pour moi ce sont vraiment des œuvres d’art. Je ne peux pas faire deux robes en même temps. Il faut que j’en finisse une et qu’elle soit nickel pour en attaquer une autre », souffle-t-elle. Elle révèle encore passer parfois jusqu’à 100 heures sur une robe. Le temps nécessaire pour confectionner ces pièces uniques à la main qui seront précieusement gardées après le mariage. « Parfois les mariées me le prêtent pour que je puisse faire des photos. Mais sinon, elles les gardent, les mettent sur un mannequin. Pour certains modèles que je fais, où la jupe est séparée du haut, elles peuvent remettre ce dernier par exemple pour une soirée. Il est aussi arrivé qu’on me demande de transformer la robe, de la raccourcir pour que la personne puisse la remettre à une autre occasion. Même si chez nous la tradition est de bien garder la robe et de ne pas la laver », sourit Brigitte Mattei.
Passionnée, la créatrice indique par ailleurs aimer prendre le temps de confectionner chaque robe en y apportant le soin qu’elle mérite. Elle conseille ainsi à ses clientes de la solliciter au moins 6 mois avant leur mariage. « Mais en général, les futures mariées commencent à me contacter maintenant pour l’été prochain », précise-t-elle. « Et puis je me limite à une vingtaine de robes au maximum par an parce que je ne peux pas travailler dans la contrainte du temps. Il faut vraiment que cela reste un plaisir. Je fais les choses patiemment, tranquillement. Je m’organise toujours pour ne pas avoir la pression, pouvoir donner les robes suffisamment avant le mariage à mes clientes pour que tout se passe bien et prendre le temps de faire les choses en ayant le cœur et l’esprit disposés à attaquer une robe. Pour moi ce sont vraiment des œuvres d’art. Je ne peux pas faire deux robes en même temps. Il faut que j’en finisse une et qu’elle soit nickel pour en attaquer une autre », souffle-t-elle. Elle révèle encore passer parfois jusqu’à 100 heures sur une robe. Le temps nécessaire pour confectionner ces pièces uniques à la main qui seront précieusement gardées après le mariage. « Parfois les mariées me le prêtent pour que je puisse faire des photos. Mais sinon, elles les gardent, les mettent sur un mannequin. Pour certains modèles que je fais, où la jupe est séparée du haut, elles peuvent remettre ce dernier par exemple pour une soirée. Il est aussi arrivé qu’on me demande de transformer la robe, de la raccourcir pour que la personne puisse la remettre à une autre occasion. Même si chez nous la tradition est de bien garder la robe et de ne pas la laver », sourit Brigitte Mattei.