
Max Simeoni était né le 28 août 1929 à Lozzi.
Il était fils de Ferdinand Simeoni, maire de la commune où il est né et le frère d'Edmond Simeoni et de Roland Simeoni, tous deux disparus, et l'oncle de Gilles Simeoni, le président du Conseil exécutif de Corse.
Décrire ce que fut son combat politique et son fort engagement sur le terrain dès la fin de ses études de médecine, de la création du Comité de défense des intérêts de la Corse à la fin de ses jours nécessiterait bien plus de place que ces quelques lignes que nous lui consacrons aujourd'hui.
Fondateur, aux côtés de son frère Edmond, de l'Action régionaliste Corse (ARC), qui sera dissoute par le Gouvernement de l'époque, puis de l'Union du peuple corse, il a siégé au Parlement européen de 1989 à 1994, élu qu'il fut sur la liste des Verts menée par Antoine Waechter.
Ses assistants parlementaires étaient François Alfonsi, avec qui il créera plus tard le Partitu di a Nazione Corsa, le Breton Christian Guyonvarc'h et Marie-Antoinette Maupertuis.
Entre-temps il n'avait pas hésité à mener une action spectaculaire armée contre une cave vinicole d'Aghione en plaine orientale.
Il a ensuite pris la tête de la première liste de la Fédération régions et peuples solidaires au scrutin européen de 1994. Cette liste n'a obtenu aucun élu. Il a également tenté, en vain, de se présenter à l'élection présidentielle française de 1995.
Il était fils de Ferdinand Simeoni, maire de la commune où il est né et le frère d'Edmond Simeoni et de Roland Simeoni, tous deux disparus, et l'oncle de Gilles Simeoni, le président du Conseil exécutif de Corse.
Décrire ce que fut son combat politique et son fort engagement sur le terrain dès la fin de ses études de médecine, de la création du Comité de défense des intérêts de la Corse à la fin de ses jours nécessiterait bien plus de place que ces quelques lignes que nous lui consacrons aujourd'hui.
Fondateur, aux côtés de son frère Edmond, de l'Action régionaliste Corse (ARC), qui sera dissoute par le Gouvernement de l'époque, puis de l'Union du peuple corse, il a siégé au Parlement européen de 1989 à 1994, élu qu'il fut sur la liste des Verts menée par Antoine Waechter.
Ses assistants parlementaires étaient François Alfonsi, avec qui il créera plus tard le Partitu di a Nazione Corsa, le Breton Christian Guyonvarc'h et Marie-Antoinette Maupertuis.
Entre-temps il n'avait pas hésité à mener une action spectaculaire armée contre une cave vinicole d'Aghione en plaine orientale.
Il a ensuite pris la tête de la première liste de la Fédération régions et peuples solidaires au scrutin européen de 1994. Cette liste n'a obtenu aucun élu. Il a également tenté, en vain, de se présenter à l'élection présidentielle française de 1995.
Max Simeoni si n’hé andatu. Semu numarosi stamane l’urfanelli di u fundatore di u naziunalismu corsu. Ogni fiatu di a so vita fù dedicata á a lotta cumuna, A so visione à long’andá, a so intellingenza, u so impegnu militante hanu apartu a strada. Pinghjemu un omu di grande valore pic.twitter.com/fUTGU0bFdU
— François Alfonsi (@F_Alfonsi) September 9, 2023
[Avis de décès] C'est avec une tristesse infinie que nous apprenons ce matin le décès de Max Simeoni.
Nous lui rendons hommage.
L'héritage politique de Max Simeoni est immense.
Père du nationalisme corse moderne, il fonde avec son..
👉lire l'hommage: https://t.co/RG5osCAJry
— Régions et Peuples solidaires (R&PS) 🇺🇦 (@RetPS) September 9, 2023