Pour sa septième édition, le festival Ballà Boum pose ses valises à l’église San Bartulumeu, à Pozzu Brandu les 14 et 15 juin prochains. Une fois de plus, des artistes venus de France et d’ailleurs se succéderont sur scène, dans une ambiance de « bal de village » revisité. Par cet événement, Ballà Boum entend proposer au public une programmation « moderne, éclectique et audacieuse ». Et pour cause, de 21 heures 30 à 2 heures le vendredi, et de 21 heures 30 à 3 heures le samedi soir, pop mélancolique, bruxelloise, disco house, lisboète, électro montréalaise ou encore parisienne promettent de satisfaire les quelque 500 festivaliers attendus chaque soir. En première partie de soirée (19 heures – 21 heures 30), des dj – y compris corses – ouvriront le bal avec la Cabane disco. Une plage horaire destinée à accompagner l’apéritif.
« Nous avons envie d’inviter des artistes que nous aimons depuis longtemps, ou des coups de cœur que nous découvrions et que nous avons envie de défendre », assure Anaïs Monnet, co-créatrice de l’événement (avec François Dagregorio). Le choix des musiciens s’articule autour d’un « fil rouge », afin de construire une programmation « cohérente pour accompagner progressivement les festivaliers ».
« Nous avons envie d’inviter des artistes que nous aimons depuis longtemps, ou des coups de cœur que nous découvrions et que nous avons envie de défendre », assure Anaïs Monnet, co-créatrice de l’événement (avec François Dagregorio). Le choix des musiciens s’articule autour d’un « fil rouge », afin de construire une programmation « cohérente pour accompagner progressivement les festivaliers ».
« Faire la fête ensemble »
Si la musique est le point de ralliement de ce festival, le bien-manger et le bien-boire ne sont pas laissés à la marge. Et pour cause, une volonté de proposer un week-end « tout en un » convie vignerons, producteurs, restaurateurs et commerçants locaux à se joindre à l’événement. Au bar, seront proposés uniquement des vins et des bières produites dans les environs. « Nous avons pris le soin de sélectionner des vins de Patrimonio, mais aussi des vignerons du Cap et de Balagne », assure Anaïs Monnet. Côté restauration, le Ballà Boum a laissé carte blanche au restaurant l’Odéon, basé à Bastia. Le chef est ainsi chargé de proposer une carte sur mesure à déguster sur place.
Les organisateurs misent sur un événement « multigénérationnel », en accord avec les nouvelles attentes d’une Corse qui « affirme son identité (…) pour faire la fête ensemble », tout en faisant un clin d’œil aux bals de villages qui ont « bercé leur jeunesse ».
Les organisateurs misent sur un événement « multigénérationnel », en accord avec les nouvelles attentes d’une Corse qui « affirme son identité (…) pour faire la fête ensemble », tout en faisant un clin d’œil aux bals de villages qui ont « bercé leur jeunesse ».