Ce séminaire, qui s'est poursuivi durant une semaine, a été pour les nouveaux venus sur le campus de Kedge business school, de faire le grand saut dans l'univers d'une école de commerce, la seule en Corse qui compte aujourd'hui 200 étudiants.
Et Paul Trojani en a tiré une certaine fierté à l'heure de son intervention.
Le président de la CCI a, en effet, rappelé que l'école de management était "une structure de la CCI de la Haute-Corse qui porte depuis plus de 20 ans un projet sans cesse renouvelé : celui d'offrir à la jeunesse de Corse des formations supérieures de qualité sans avoir à subir les impératifs et les contraintes de l'éloignement et de proposer aux entreprises les cadres et dirigeants de demain".
"Dans cette enceinte nous avons acté comme principe que le capital humain doit être considéré comme une source exogène de la croissance économique et que la création de richesses passe par une dynamisation du tissu entrepreunarial qui doit trouver son second souffle dans un contexte de crise internationale" a t-il ajouté.
Pour le président de la CCI "le niveau de la formation à l'intérieur d'une économie doit y contribuer et la diversité de l'enseignement supérieur en Corse est aujourd'hui une richesse à laquelle la CCI de Bastia entend, encore, contribuer".
Paul Trojani a dit aussi que "l'offre locale et ciblée n'a de valeur et pris de l'importance, que grâce au pari de réussir une totale ouverture sur le monde extérieur".
Dispenser des formations en temps réel - au rythme et à la vitesse où vont les autres - où qu'elles se situent " dans le monde si concurrentiel de la formation et de l'entreprise" est une priorité pour la CCI de Haute-Corse.
Les autres ?
Pour Paul Trojani ce sont les écoles de même type, au sein d'un même réseau, et en particulier ce sont les partenaires de la CCI au premier rang desquels " se trouve une grande école, Kedge Business School"
"Mais force est de reconnaitre" a encore ajouté le président de la CCI "que sans ces alliances, sans cette union de nos forces, nous n'aurions pu atteindre les bons niveaux et notamment être considérés comme meilleure programme de notre catégorie 5 années successives au plan national "
Et Paul Trojani en a tiré une certaine fierté à l'heure de son intervention.
Le président de la CCI a, en effet, rappelé que l'école de management était "une structure de la CCI de la Haute-Corse qui porte depuis plus de 20 ans un projet sans cesse renouvelé : celui d'offrir à la jeunesse de Corse des formations supérieures de qualité sans avoir à subir les impératifs et les contraintes de l'éloignement et de proposer aux entreprises les cadres et dirigeants de demain".
"Dans cette enceinte nous avons acté comme principe que le capital humain doit être considéré comme une source exogène de la croissance économique et que la création de richesses passe par une dynamisation du tissu entrepreunarial qui doit trouver son second souffle dans un contexte de crise internationale" a t-il ajouté.
Pour le président de la CCI "le niveau de la formation à l'intérieur d'une économie doit y contribuer et la diversité de l'enseignement supérieur en Corse est aujourd'hui une richesse à laquelle la CCI de Bastia entend, encore, contribuer".
Paul Trojani a dit aussi que "l'offre locale et ciblée n'a de valeur et pris de l'importance, que grâce au pari de réussir une totale ouverture sur le monde extérieur".
Dispenser des formations en temps réel - au rythme et à la vitesse où vont les autres - où qu'elles se situent " dans le monde si concurrentiel de la formation et de l'entreprise" est une priorité pour la CCI de Haute-Corse.
Les autres ?
Pour Paul Trojani ce sont les écoles de même type, au sein d'un même réseau, et en particulier ce sont les partenaires de la CCI au premier rang desquels " se trouve une grande école, Kedge Business School"
"Mais force est de reconnaitre" a encore ajouté le président de la CCI "que sans ces alliances, sans cette union de nos forces, nous n'aurions pu atteindre les bons niveaux et notamment être considérés comme meilleure programme de notre catégorie 5 années successives au plan national "
Pierre Mencacci (Kedge Business School) : Le master en vue…
Les motivations de Pierre Mencacci ? Elles sont simples.
"J'ai choisi cette école de commerce, qui est l'une des meilleures de France, parce qu'elle se situe en Corse et de surcroît à Bastia."
Titulaire d'un Bac ES obtenu au lycée Jeanne-d'Arc, Pierre Mencacci va au cours de cette première année - il y en aura deux autres derrière - suivre essentiellement les cours de l'établissement. "Au cours de la deuxième année nous aurons la possibilité de séjourner durant 4 ou 6 mois dans des pays anglo-saxons. Et la troisième nous avons le choix entre faire un stage en entreprise, soit un effectuer un second stage à l'étranger"
Dans quelle branche ?
Pierre Mencacci n'hésite pas une seconde : " ce sera l'événementiel".
Mais le jeune pensionnaire de Kedge voit plus loin encore : " Cette école nous permet d'aller jusqu'au Master Kedge qui est un bac+5, particulièrement réputé dans le monde du travail".
"J'ai choisi cette école de commerce, qui est l'une des meilleures de France, parce qu'elle se situe en Corse et de surcroît à Bastia."
Titulaire d'un Bac ES obtenu au lycée Jeanne-d'Arc, Pierre Mencacci va au cours de cette première année - il y en aura deux autres derrière - suivre essentiellement les cours de l'établissement. "Au cours de la deuxième année nous aurons la possibilité de séjourner durant 4 ou 6 mois dans des pays anglo-saxons. Et la troisième nous avons le choix entre faire un stage en entreprise, soit un effectuer un second stage à l'étranger"
Dans quelle branche ?
Pierre Mencacci n'hésite pas une seconde : " ce sera l'événementiel".
Mais le jeune pensionnaire de Kedge voit plus loin encore : " Cette école nous permet d'aller jusqu'au Master Kedge qui est un bac+5, particulièrement réputé dans le monde du travail".
Wesley Dumas (Ecole de management) : Pour s'insérer dans la vie active...
Wesley Dumas a quant à lui choisi de suivre les cours de BTS assistant de gestion " parce que c'est un moyen de s'insérer dans la vie active en continuant mes études".
Wesley Dumas espère après ses deux années d'études pouvoir "emprunter une passerelle pour rejoindre une école de commerce et valider sa licence"
S'insérer dans la vie active, commencer à travailler : ce sont les deux préoccupations de ce jeune homme titulaire d'un bac S obtenu au lycée de Montesoro.
Dans quel domaine ?
"Travailler dans la société de mes parents spécialisée dans l'animation pour les enfants, pour plus tard prendre leur suite".
Wesley Dumas espère après ses deux années d'études pouvoir "emprunter une passerelle pour rejoindre une école de commerce et valider sa licence"
S'insérer dans la vie active, commencer à travailler : ce sont les deux préoccupations de ce jeune homme titulaire d'un bac S obtenu au lycée de Montesoro.
Dans quel domaine ?
"Travailler dans la société de mes parents spécialisée dans l'animation pour les enfants, pour plus tard prendre leur suite".
Une semaine d'intégration
Les 80 nouveaux étudiants venus se fondre sur le campus Kedge Business School ont consacré une semaine à s'immerger dans ce nouvel univers.
De l'opération Team building en passant par 3 jours dans la peau d'un chef d'entreprise (Business game) l'entreprise a été ainsi au centre de la semaine et les néo-bacheliers ont, pour la plupart, découvert un monde inconnu où stratégie, management, budget, équipe etc... sont devenus plus familiers pour la grande majorité d'entre eux qui ignoraient tout de l'entreprise et de son fonctionnement.
15 équipes se sont ainsi affrontées durant 3 journées dans un jeu d'entreprise dans lequel prises de décision mais également convivialité, humour et responsabilité se sont mêlés pour le plus grand bonheur des étudiants mais également des coaches chargés de les encadrer et répondre à leurs multiples interrogations.
Une remise des prix a ponctué la cérémonie d'intégration.
En fait, toutes les équipes ont eu un prix pour le "fun" (bonne humeur, persévérance, humour...)
De l'opération Team building en passant par 3 jours dans la peau d'un chef d'entreprise (Business game) l'entreprise a été ainsi au centre de la semaine et les néo-bacheliers ont, pour la plupart, découvert un monde inconnu où stratégie, management, budget, équipe etc... sont devenus plus familiers pour la grande majorité d'entre eux qui ignoraient tout de l'entreprise et de son fonctionnement.
15 équipes se sont ainsi affrontées durant 3 journées dans un jeu d'entreprise dans lequel prises de décision mais également convivialité, humour et responsabilité se sont mêlés pour le plus grand bonheur des étudiants mais également des coaches chargés de les encadrer et répondre à leurs multiples interrogations.
Une remise des prix a ponctué la cérémonie d'intégration.
En fait, toutes les équipes ont eu un prix pour le "fun" (bonne humeur, persévérance, humour...)
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