On se souvient encore de "La puce dans le do" comptant une distribution de dix comédiens. Cette fois, Jean Pietri signe une toute nouvelle comédie plus intimiste avec deux personnages, Charles et Susan, interprétés brillamment par Sylvie Wolinsky et Selim Bensmaïl. La pièce se passe dans les années 50 : musique, costumes, décors sont de mise. On se sent d'emblée dans les années fifties.
C'est l'histoire d'un homme et d'une femme, une rencontre en 1950. De saint Sylvestre en saint Sylvestre, la vie fait qu'ils s'éloignent puis se retrouvent. Leur relation défile dans les couloirs du temps au bon ton des souhaits de bonne année, c'est avant tout une parenthèse de vie qui durera dix ans au coeur du contexte historique des États-Unis de l'époque et de son actualité.
« Bonne Année !» : ça pétille et ça claque comme du champagne. Moments tant touchants que plein d'humour, on se laisse porter et prendre au rythme du jeu délicieux des comédiens.
Rencontre avec Jean Pietri
Jean Pietri est homme à double casquette, pourrait-on dire, car comme il le souligne justement : ce n'est pas le métier qui le fait vivre. « Cette seconde activité me permet certaines libertés, certaines audaces, parfois inconscientes, ajoute-t-il, première création totale avec 10 comédiens sur scène (La puce dans le do) et un lustre qui tombe à vue (certains ont essayé de m'en décourager !), une insouciance dont la seule obligation est de divertir, d'émouvoir. »
L'écriture a toujours été un plaisir viscéral pour lui : « Quand j'ai découvert le théâtre, elle s'est juste rappelée à moi. La mise en scène en est le prolongement, l'envie d'être le meilleur avocat de mes personnages, de mes dialogues, de mes histoires et de toutes les images qui me parviennent lors de l'écriture. C'est d'ailleurs difficile d'abandonner les mots qu'on a écrit, leur phrasé, leurs inflexions, aux comédiens. En même temps, c'est une belle surprise lorsqu'ils se les approprient et les font cheminer vers des voies inattendues. Ici, Continue t-il, Sylvie et Selim sont comme des peintres qui font vivre le cadre que je leur ai fourni. »
Jean Pietri, si vous étiez ?
Une émotion : l'émerveillement...
La pièce sera jouée au Théatre San Angelo à Bastia, samedi 5 mai à 20h30
Dates suivantes : 19 mai à la CCAS de Porticcio (20166) et le 2 juin à Marignana (20141)
Entrée : 15€
Facebook d' A bulabulella
C'est l'histoire d'un homme et d'une femme, une rencontre en 1950. De saint Sylvestre en saint Sylvestre, la vie fait qu'ils s'éloignent puis se retrouvent. Leur relation défile dans les couloirs du temps au bon ton des souhaits de bonne année, c'est avant tout une parenthèse de vie qui durera dix ans au coeur du contexte historique des États-Unis de l'époque et de son actualité.
« Bonne Année !» : ça pétille et ça claque comme du champagne. Moments tant touchants que plein d'humour, on se laisse porter et prendre au rythme du jeu délicieux des comédiens.
Rencontre avec Jean Pietri
Jean Pietri est homme à double casquette, pourrait-on dire, car comme il le souligne justement : ce n'est pas le métier qui le fait vivre. « Cette seconde activité me permet certaines libertés, certaines audaces, parfois inconscientes, ajoute-t-il, première création totale avec 10 comédiens sur scène (La puce dans le do) et un lustre qui tombe à vue (certains ont essayé de m'en décourager !), une insouciance dont la seule obligation est de divertir, d'émouvoir. »
L'écriture a toujours été un plaisir viscéral pour lui : « Quand j'ai découvert le théâtre, elle s'est juste rappelée à moi. La mise en scène en est le prolongement, l'envie d'être le meilleur avocat de mes personnages, de mes dialogues, de mes histoires et de toutes les images qui me parviennent lors de l'écriture. C'est d'ailleurs difficile d'abandonner les mots qu'on a écrit, leur phrasé, leurs inflexions, aux comédiens. En même temps, c'est une belle surprise lorsqu'ils se les approprient et les font cheminer vers des voies inattendues. Ici, Continue t-il, Sylvie et Selim sont comme des peintres qui font vivre le cadre que je leur ai fourni. »
Jean Pietri, si vous étiez ?
Un livre : Je serais le portrait de Dorian Gray ... Chaque phrase est une citation à elle seule. Conte cruel !
Un film : ... il y en a tellement mais toujours pour leur pouvoir de conter des histoires (la fille de Ryan, Tootsie, Les enchaînés, Gilda...)
Un acteur (ou actrice) de cinéma ou de théâtre : Toni Collette (quel caméléon!), Anna Magnani (Madame tout le-monde et cependant Madame comme personne)...
Une pièce de théâtre : je serais La chatte sur un toit brûlant... for ever, le pouvoir élégant de rendre universels les sentiments les plus familiers, les plus beaux ou les plus exécrables.
Un metteur en scène ou réalisateur : je serais David Lean, Hitchcock, Christopher Nolan (de grands conteurs !).
Une chanson (ou musique) : Le sud de Nino Ferrer... un conte nostalgique où on ne peut que se projeter et les voix de Céline Dion et Barbra Streisand (j'assume !) car la voix est une magie puissante qui peut transmettre ce que les mots ne disent pas.
Un objet : N'importe quel objet transmis sans cesse à tous. Un metteur en scène ou réalisateur : je serais David Lean, Hitchcock, Christopher Nolan (de grands conteurs !).
Une chanson (ou musique) : Le sud de Nino Ferrer... un conte nostalgique où on ne peut que se projeter et les voix de Céline Dion et Barbra Streisand (j'assume !) car la voix est une magie puissante qui peut transmettre ce que les mots ne disent pas.
Une émotion : l'émerveillement...
La pièce sera jouée au Théatre San Angelo à Bastia, samedi 5 mai à 20h30
Dates suivantes : 19 mai à la CCAS de Porticcio (20166) et le 2 juin à Marignana (20141)
Entrée : 15€
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