Le nouveau Secrétaire Générale pour les Affaires Corses (SGAC) est arrivé depuis le 3 octobre dernier. Benoit Bonnefoi succède ainsi à François Lalanne auprès du préfet de région Bernard Schmeltz. Ce dernier a d’ailleurs souligné l’importance du SGAC. « C’est un rouage essentiel de l’administration en Corse. Il aura la charge de traiter des dossiers d’actualité comme la finalisation du 4ème avenant du PEI qui concerne 450M€ mais aussi du CPER. Il sera également l’interlocuteur privilégié dans les discussions et la préparation de la collectivité unique ».
On l’aura compris, le SGAC joue un rôle important dans les relations entre l’Etat et les territoires. Benoit Bonnefoi ne connaît pas encore la Corse mais risque de s’adapter au terrain assez facilement. En effet, sa formation est celle d’un ingénieur agronome et du Génie Rural, des Eaux et des Forêts. Il s’agit donc d’une personnalité qui devrait bien s’acclimater et comprendre la Corse « île montagne » dont il a déjà arpenté les hauteurs en réalisant la partie sud du GR20 il y a une trentaine d’années.
« Je suis optimiste quant à ma prise de fonctions, je suis en train de m’approprier les dossiers. L’organisation en place favorise les échanges. Nous faisons des réunions internes régulièrement, ce qui permet de mieux coordonner les actions et l’instruction des dossiers. Il s’agit pour ma part d’animer le travail de manière collégiale et d’œuvrer souvent en transversalité ».
On l’aura compris, le SGAC joue un rôle important dans les relations entre l’Etat et les territoires. Benoit Bonnefoi ne connaît pas encore la Corse mais risque de s’adapter au terrain assez facilement. En effet, sa formation est celle d’un ingénieur agronome et du Génie Rural, des Eaux et des Forêts. Il s’agit donc d’une personnalité qui devrait bien s’acclimater et comprendre la Corse « île montagne » dont il a déjà arpenté les hauteurs en réalisant la partie sud du GR20 il y a une trentaine d’années.
« Je suis optimiste quant à ma prise de fonctions, je suis en train de m’approprier les dossiers. L’organisation en place favorise les échanges. Nous faisons des réunions internes régulièrement, ce qui permet de mieux coordonner les actions et l’instruction des dossiers. Il s’agit pour ma part d’animer le travail de manière collégiale et d’œuvrer souvent en transversalité ».
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