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Incendie du hangar de motos de Jean-André Miniconi : les premières réactions de soutien


La rédaction le Dimanche 28 Juillet 2019 à 07:17

Dans la nuit entre vendredi et samedi un incendie s'est déclaré à l'extérieur d'une concession moto, à l'enseigne Dasy Moto à Ajaccio.
Après cet acte criminel les réactions de soutien à Jean-André Miniconi, propriétaire de l’enseigne et Président de la Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises de Corse, n’ont pas tardé à arriver sur les réseaux sociaux.

Une enquête a été ouverte par le Procureur de la Republique.



Femu a Corsica

Femu a Corsica condamne avec la plus grande fermeté la destruction volontaire d'un atelier de l'entreprise de Jean-André Miniconi. 
A n'en pas douter l'objectif était de détruire la totalité de son garage.

Il assure de son soutien le plus total ce chef d'entreprise dont la probité et la rigueur ne sont plus à démontrer.

Femu a Corsica appelle ses militants et élus à la plus grande vigilance, et à participer nombreux au rassemblement de soutien qui sera organisé sur Aiacciu dans les jours qui viennent afin de démontrer que rien ne pourra empêcher l'accomplissement d'une Corse démocratique et émancipée.


Jean-Felix Acquaviva


François Alfonsi


Le PNC

Le PNC apporte son soutien à Jean-André Miniconi, dont les locaux ont été visés par un incendie d’origine criminelle. 

La recrudescence des incendies ayant touché ces derniers mois de nombreux professionnels (agriculteurs, entreprises BTP, établissements de plage, etc) nous inquiète au plus haut point.

Les violences de cet ordre, particulièrement lorsqu’elles affectent des outils de travail, sont totalement inacceptables et doivent cesser sans délai.

Le PNC redit donc son entier soutien à M. Miniconi, fortement engagé par ailleurs dans le débat public, ainsi qu’à tous les siens. 

La ligue des droits de l’homme

"La ligue des droits de l’Homme condamne fermement l’acte criminel qui a visé Jean-André Miniconi. Elle lui apporte son soutien. 
Quelle qu’en soit la motivation, cet acte n’a qu’un but : imposer la peur.
Il revient à la justice d’agir pour la victime et pour rappeler que la menace est incompatible avec la liberté et la démocratie."