Ce partenariat entre l'Office de l'Environnement, le SEEP de Haute-Corse (Syndicat d'Électrification et d'Éclairage Public), l'opérateur Orange, EDF, et la Collectivité de Corse vient s'inscrire dans une politique de dissimulation des réseaux électriques et téléphoniques, et vise à diminuer les "atteintes paysagères" de nombreux sites d'intérêt paysager.
Pour François Sargentini, président de l'Office de l'environnement, "ce sont des actions nécessaires pour l'embellissement de nombreux sites". "Il y a une demande forte qui provient des élus locaux, mais nous allons essayer d'investir en priorité sur les villages bénéficiant de sites importants qu'on se doit de protéger, même si évidemment on ne délaisse pas les autres". Il a également tenu à saluer "l'investissement des agents qui permettent à toutes les micro-régions de bénéficier de ce dispositif".
Au-delà de l'aspect esthétique, ces travaux permettront des réseaux plus fiables et moins vulnérables, notamment en cas d'intempéries, "et mettre fin à ces nombreuses coupures de courants longues et contraignantes pour les habitants, notamment dans des endroits reculés".
A noter qu'une convention semblable avait déjà été mise en place jusqu'en 2010, mais n'avait pu se poursuivre, "faute de moyens". Cette décision s'inscrit "dans le cadre d'une convention triennale" qui a débuté en 2018 et prendra fin en 2020. Le montant de l'investissement s'élève à 1,8M€ pour tout le territoire. Gilles Simeoni, président du Conseil exécutif de Corse s'est dit "satisfait de ce partenariat" pour lequel il ne "doute pas de sa continuité dans le temps".
Pour François Sargentini, président de l'Office de l'environnement, "ce sont des actions nécessaires pour l'embellissement de nombreux sites". "Il y a une demande forte qui provient des élus locaux, mais nous allons essayer d'investir en priorité sur les villages bénéficiant de sites importants qu'on se doit de protéger, même si évidemment on ne délaisse pas les autres". Il a également tenu à saluer "l'investissement des agents qui permettent à toutes les micro-régions de bénéficier de ce dispositif".
Au-delà de l'aspect esthétique, ces travaux permettront des réseaux plus fiables et moins vulnérables, notamment en cas d'intempéries, "et mettre fin à ces nombreuses coupures de courants longues et contraignantes pour les habitants, notamment dans des endroits reculés".
A noter qu'une convention semblable avait déjà été mise en place jusqu'en 2010, mais n'avait pu se poursuivre, "faute de moyens". Cette décision s'inscrit "dans le cadre d'une convention triennale" qui a débuté en 2018 et prendra fin en 2020. Le montant de l'investissement s'élève à 1,8M€ pour tout le territoire. Gilles Simeoni, président du Conseil exécutif de Corse s'est dit "satisfait de ce partenariat" pour lequel il ne "doute pas de sa continuité dans le temps".
L'heure est au bilan pour la Chambre des Territoires
Mise en place le 16 Avril 2018, cet organisme a pour objectif de favoriser le dialogue entre les collectivités locales de Corse sur les enjeux du développement local, et notamment sur la cohérence de l'action publique sur l'ensemble du territoire.
Après un an d'activités, la Chambre des Territoires, présidée par Gilles Simeoni, a rendu 32 rapports portant sur 6 thématiques différentes que sont l'économie circulaire, le déneigement, l'eau, les incendies, la protection du littoral et du milieu marin, et enfin, l'urbanisme commercial.
A la suite de cette première année d'exercice, un groupe de travail a été mis en place par le Président. Celui-ci doit permettre "une réflexion sur la réforme du statut de la Chambre des Territoires" et devrait être soumis prochainement au Gouvernement.
Après un an d'activités, la Chambre des Territoires, présidée par Gilles Simeoni, a rendu 32 rapports portant sur 6 thématiques différentes que sont l'économie circulaire, le déneigement, l'eau, les incendies, la protection du littoral et du milieu marin, et enfin, l'urbanisme commercial.
A la suite de cette première année d'exercice, un groupe de travail a été mis en place par le Président. Celui-ci doit permettre "une réflexion sur la réforme du statut de la Chambre des Territoires" et devrait être soumis prochainement au Gouvernement.