Louis de Casabianca, fils de Philippe, qui œuvre au niveau de l’Evêché d’Ajaccio, a, comme son nom l’indique, ses racines en Corse. Etudiant en commerce international, et habitant Lyon, il pratique le scoutisme depuis l’âge de… 6 ans ! Chef depuis quelques années, il passe ses week-end et l’été à accompagner et initier les nouveaux venus. Tel est le point de départ de la belle aventure vécue du 8 au 25 juillet par 22 jeunes adolescents âgés de 11 à 18 ans. « De par mes racines corses », souligne Louis de Casabianca, « mais aussi par la beauté de ses sites, son climat et ses magnifiques randonnées, j’ai proposé que nous partions, cette année, en Corse. »
L’équipe, 22 scouts et 4 chefs accompagnateurs, quitte la ville des Lumières pour rejoindre, via train et bateau, la cité impériale. Ils s’installent du côté des sept ponts, route d’Alata. Et là, tout est très strict et réglementé. Quatre équipes, où chacun a son rôle (matériel, codes, nourriture et budget, construction…), se déclinent selon les acquis de chacun. Dans un premier temps, elles monteront le campement en bois : cabanes, tables, espace nourriture, espace pour se laver..., tout est préparé et installé dans les règles de l’art et le total respect de l’environnement. « Nous avons ensuite travailler sous forme de jeu » rajoute l’étudiant, « des épreuves avec carte, des concours cuisine avec un budget courses très restreint, du sport : lancer du javelot, poids, tir à l’arc, etc… Nous avons terminé par trois jours d’exploration du côté de Porticcio-Cauro, Alata, Golfe de Lava. »
Axe central de ces journées, la religion, dans ce qu’elle peut avoir de plus noble. « Nous avions un coin prière pour le matin et le soir, un prêtre venait régulièrement dire la messe. L’objectif n’est nullement dogmatique, il consiste, au contraire, à apprendre certaines lois, à s’engager à servir Dieu. Les scouts sont liés à des règles de partage et de fraternité, ils ont aussi un regard sur la religion. Mais ils ont une totale liberté dans leur choix. Ils reçoivent un certain enseignement religieux, mais ils doivent réfléchir et comprendre pourquoi on applique tel ou tel précepte. »
Au terme de ces deux semaines, les ados ont rejoint la cité lyonnaise où ils ont pu partir en vacances avec leurs familles respectives. L’an prochain, ils reprendront chemise, foulard, chapeau et sacs à dos pour un nouveau périple. Certains passeront « expert », d’autres débuteront le rituel du scoutisme. Mais l’essentiel, l’esprit est, quant à lui, transmis tel un fil rouge, depuis des décennies…
L’équipe, 22 scouts et 4 chefs accompagnateurs, quitte la ville des Lumières pour rejoindre, via train et bateau, la cité impériale. Ils s’installent du côté des sept ponts, route d’Alata. Et là, tout est très strict et réglementé. Quatre équipes, où chacun a son rôle (matériel, codes, nourriture et budget, construction…), se déclinent selon les acquis de chacun. Dans un premier temps, elles monteront le campement en bois : cabanes, tables, espace nourriture, espace pour se laver..., tout est préparé et installé dans les règles de l’art et le total respect de l’environnement. « Nous avons ensuite travailler sous forme de jeu » rajoute l’étudiant, « des épreuves avec carte, des concours cuisine avec un budget courses très restreint, du sport : lancer du javelot, poids, tir à l’arc, etc… Nous avons terminé par trois jours d’exploration du côté de Porticcio-Cauro, Alata, Golfe de Lava. »
Axe central de ces journées, la religion, dans ce qu’elle peut avoir de plus noble. « Nous avions un coin prière pour le matin et le soir, un prêtre venait régulièrement dire la messe. L’objectif n’est nullement dogmatique, il consiste, au contraire, à apprendre certaines lois, à s’engager à servir Dieu. Les scouts sont liés à des règles de partage et de fraternité, ils ont aussi un regard sur la religion. Mais ils ont une totale liberté dans leur choix. Ils reçoivent un certain enseignement religieux, mais ils doivent réfléchir et comprendre pourquoi on applique tel ou tel précepte. »
Au terme de ces deux semaines, les ados ont rejoint la cité lyonnaise où ils ont pu partir en vacances avec leurs familles respectives. L’an prochain, ils reprendront chemise, foulard, chapeau et sacs à dos pour un nouveau périple. Certains passeront « expert », d’autres débuteront le rituel du scoutisme. Mais l’essentiel, l’esprit est, quant à lui, transmis tel un fil rouge, depuis des décennies…