Corse Net Infos - Pure player corse

Erosion Littoral : La réaction de l’UMIH et d'Action Littoral Corse


Nicole Mari le Vendredi 20 Décembre 2019 à 20:14

Suite à l’article « Erosion du Littoral : l'assemblée de Corse se penche sur les moyens d’arrêter l'hémorragie », paru le 20 décembre dans nos colonnes, la présidente de l'UMIH de Haute Corse, Karina Goffi, et le président de l'association d'Action Littoral Corse, Don Louis Cipriani, ont réagi dans un communiqué. Ils remercient le président de l’Exécutif, Gilles Simeoni, des actions entreprises et les services de l’Etat pour le soutien apporté.



Erosion Littoral : La réaction de l’UMIH et d'Action Littoral Corse
https://www.corsenetinfos.corsica/Haute-Corse-L-Etat-veut-il-sacrifier-le-littoral-de-la-plaine-orientale_a5226.html

Voici le communiqué :

 
« La présidente de l'UMIH (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie) de Haute Corse, Karina Goffi, et le président de l'association d'Action Littoral Corse, Don Louis Cipriani, remercient les actions du Président du Conseil exécutif de Corse, Gilles Simeoni, et de l'ensemble de ses services sur la problématique importante de l'érosion anthropique.
 
Par ailleurs, l'Umih Haute Corse et l'Association Action Littoral Corse tiennent à le féliciter d'avoir rapidement pris en main ce dossier et remercient le vote unanime des conseillers territoriaux présents dans l'hémicycle.
 
Pour autant, il est important de préciser que l’État a toujours été bienveillant à l'égard des autorisations temporaires de protection délivrées tant aux professionnels qu'aux particuliers et financées sur leurs fonds propres.
 
Les différents préfets et sous-préfets de Haute Corse, les services de la DDTM et la CCI de Haute Corse nous ont véritablement soutenus d'un point de vue technique et humain pour l'obtention des autorisations qui nous ont été nécessaires pour protéger nos établissements et assurer nos saisons.
 
Au cours des dernières années, l'Umih de Haute Corse et l'Association Action Littoral Corse ont organisé différentes réunions avec les différents représentants de l’État et représentants politiques en vue de créer un Syndicat mixte ou un GIP (Groupement d'intérêt Public), comme cela a été le cas en Aquitaine.
 
Si ces démarches n'ont pas abouti, c'est parce que l’État ne dispose pas des compétences nécessaires dans ce domaine car elles ont été transférées à la Région.
 
A ceci, il est important d'ajouter que l’État a toujours été prêt à soutenir toutes les actions menées par la Région, comme par les professionnels, au sujet de la problématique liée à l'érosion ».